Selon le rapport publié en août 2021, poursuivre ses études dans la capitale coûte en moyenne 1276,69 euros par mois, à peu de choses près l'équivalent d'un SMIC net. Cela reste un total très élevé, même si le coût de la vie parisienne aurait baissé de 1,54% entre 2020 et 2021.
Selon une étude de 2020 réalisée par l'Unef (l'Union nationale des étudiants de France), étudier à Paris coûterait en moyenne 1 300 € par mois, ce qui est sensiblement identique aux autres grandes métropoles françaises comme Lyon ou Marseille (entre 950 € et 1 000 € selon l'emplacement du logement, l'abonnement de ...
Des dépenses moyennes, à adapter à la situation
Selon la Fédération des Associations Générales Étudiantes (FAGE), pour l'année 2021-2022, les frais mensuels d'un étudiant se chiffrent en moyenne à 2393 euros (8), ce qui représente une augmentation de 1,35 % par rapport à 2020.
Ce qui n'empêche pas deux millions de personnes d'y vivre. Le salaire moyen à Paris après impôts est autour de 2250€/mois. Mais il est possible de vivre à Paris à partir de 1400€/mois en vivant en colocation. Le loyer occupe plus de la moitié des dépenses et les courses en supermarché environ 25%.
Le budget mensuel moyen d'un étudiant s'échelonnera donc de 600 à plus de 1000 € par mois, soit de 8000 à 12000 € par an environ.
Les gourmands le savent bien : l'alimentation constitue un pôle de dépense important. En moyenne, le budget alimentation mensuel pour un Français se situerait aux alentours de 295€, soit plus de 70€ par semaine.
Le budget peut varier entre 800 et 1000 euros selon la taille des villes. Pour vous faire une idée, vous pouvez regarder le prix des loyers dans les villes sélectionnées : c'est un bon indicatif pour connaitre le coût de la vie.
Si jamais les loyers parisiens restent au-dessus de vos moyens, vous pouvez toujours opter pour une solution moins chère comme la colocation, par exemple, ou consulter les logements dans les villes de la petite couronne : beaucoup offrent un cadre de vie également très agréable, pour un loyer souvent moins élevé.
Les habitants de Paris (Paris) gagnent en moyenne 3 921 € nets par mois, soit 47 046 € nets par an.
Les dépenses mensuelles : les paiements pour l'habitation, l'électricité et le gaz, les assurances, les remboursements de l'emprunt pour l'auto, la carte de transport en commun, les dépenses liées aux communications (téléphone, câble et Internet).
En tant que jeune, l'étudiant a aussi besoin de s'amuser, aller en boîte de nuit avec ses amis et faire du shopping. Si vous devez toujours attendre vos parents, vous ne ferez jamais ce dont vous avez envie. Alors la solution est de se faire de l'argent en travaillant bien sûr.
Gobelins / Mouffetard. Quartier très étudiant avec la proximité de nombreuses facs et écoles (Sorbonne, Assas, Jussieu), la rue Mouffetard est une des rues les appréciées des étudiants pour faire la fête... moisn central que le quartier latin il reste cher car très vivant et recherché.
La ville de Paris regroupe en elle-même certaines des institutions les mieux classées d'un point de vue éducationnel. Que ce soit les écoles de commerce, d'ingénierie, ou encore les prestigieuses grandes écoles, Paris offre la possibilité d'acquérir un enseignement supérieur d'exception.
Un loyer d'un tiers du salaire est généralement conseillé. Ainsi par exemple, pour louer un appartement au loyer de 800 €, un salaire de 2800 € serait exigé. Vous l'aurez compris !
« Exemple: pour un loyer CC de 550€, le salaire minimum du locataire doit- être de 1760€ net mensuel. »
Gagner 3 fois le loyer : ce n'est pas une obligation !
La pratique consistant à demander des revenus supérieurs à trois fois le montant du loyer est donc finalement un usage, mais rien n'interdit à un propriétaire de choisir un locataire qui gagne moins.
L'Université Paris-Saclay est également l'université la moins chère de France pour les étudiants internationaux avec des frais de scolarité de 206 $ par an.
En 2019, la France a consacré 32,6 milliards d'euros pour l'enseignement supérieur, soit 1,3 % du PIB. Cette dépense est en hausse quasi ininterrompue depuis les années 1980.
Parmi les étudiants interrogés, 30% jugent leurs ressources insuffisantes et sont contraints de travailler pour subvenir à leurs besoins primaires (alimentation, logement, transport, etc.). Le pourcentage d'étudiants qui déclarent être en activité rémunérée pendant l'année universitaire est de 46%.