Selon le choix que vous opérez, l'investissement initial ne sera pas le même. Chez Autosur, l'apport personnel minimum est de 30 000 €, tandis que chez Dekra-Norisko, le chiffre de 60 000 € est avancé. Avec Autovision, le budget est intermédiaire : environ 40 000 €.
La première condition est liée au gérant du centre de contrôle. Il doit justifier soit : D'une formation d'une durée de 35 heures, dispensée par un organisme de formation reconnu par les pouvoirs publics ; Du suivi d'une formation permettant la qualification de contrôleur technique.
Toute personne issue ou non du secteur automobile peut envisager l'ouverture d'un centre de contrôle technique automobile. Dans certains cas, une formation de gérant exploitant, sera exigée par l'administration afin d'obtenir l'agrément pour l'installation de contrôle.
Le CAP automobile, ainsi que les bacs professionnels construction des carrosseries, et maintenance des véhicules ouvrent la voie pour accéder à ce métier. Pour aller plus loin, le futur professionnel du bilan automobile peut se diriger vers un BTS maintenance des véhicules.
Salaires. Autour de 1 500 € brut par mois pour un contrôleur technique débutant (selon la région, le centre de contrôle et la qualification).
- 175 heures pour les titulaires d'un CAP avec 2 ans d'expérience professionnelle, et pour les personnes sans diplôme avec 5 ans d'expérience professionnelle. La formation spécifique peut déboucher sur un CQP (certificat de qualification professionnelle) ou sur un titre professionnel reconnu de contrôleur technique.
Un métier d'avenir, où on évolue
Fort d'un développement permanent, le secteur du contrôle technique automobile garantit la sécurité de l'emploi et vous permet d'envisager sereinement votre évolution professionnelle, la reprise ou la création de votre propre centre de contrôle automobile.
Avec une enveloppe globale initiale comprise entre 350 000 et 450 000 €, il est possible de viser un chiffre d'affaires de 1 200 000 € après deux ans. Pourquoi de tels écarts dans les prix ? Car chaque enseigne à ses propres contraintes et ses exigences notamment en termes de choix du local.
Pour se lancer et ouvrir un centre de contrôle technique en France, le candidat doit obtenir un agrément valable 10 ans lorsque l'activité est développée en réseau et illimitée lorsque l'activité n'est pas rattachée à un réseau.
Ce contrôle est réalisé dans des centres et par des contrôleurs techniques agréés par les préfets de département. La périodicité et le contenu de ce contrôle dépendent du type de véhicule.
POEC - CQP Controleur technique de vehicules legers (PIC)
Etablissement chargé de vérifier le bon état de marche et l'état satisfaisant d'entretien des véhicules légers (dont le poids total autorisé en charge est inférieur ou égal à 3,5 tonnes) et / ou des véhicules lourds (dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 3,5 tonnes).
- La création d'une agence de contrôle technique de véhicules automobiles, en vue de son exploitation, est subordonnée à l'obtention d'un agrément délivré par le ministre chargé des transports après avis technique de l'établissement national de contrôle technique automobile "ENACTA".
Si vous ignorez dans quel centre automobile le contrôle technique a été effectué, vous pouvez le retrouver via le numéro d'agrément inscrit sur la vignette apposée sur le pare-brise de votre véhicule. Vous pouvez ensuite saisir le numéro d'agrément sur le site web de l'OTC (organisme technique central).
Clap de fin pour le contrôle technique obligatoire des deux-roues en France. Alors que la mesure devait entrer en vigueur dès octobre 2022 comme l'exigeait le Conseil d'État, elle a finalement été annulée par un nouveau décret publié ce mardi 26 juillet 2022. C'est la fin d'un dossier aux multiples rebondissements.
Les contrôleurs embauchés dès à présent (et rétroactivement depuis le 1er juillet 2018) accèdent automatiquement à l'échelon 9, Tous les contrôleurs techniques confirmés (VL/PL) embauchés dès à présent (et rétroactivement depuis le 1er juillet 2018) doivent être positionnés sur l'échelon 12.
PUBLIC CONCERNÉ / PREREQUIS : Niveau de mathématiques et physique de fin de 1ère, fin de BEP ou équivalent. Permis B (véhicules légers) indispensable pour l'exercice de l'emploi.
Pour exercer en tant qu'expert automobile il faut obtenir le Diplôme d'Etat d'expert automobile (DEA) reconnu de niveau III (bac+2). Le DEA se compose de 3 unités d'épreuves (A, B et C en fin d'études).
Le marché du contrôle technique est porteur car le centre de contrôle technique est en effet le seul habilité à réaliser les contrôles techniques obligatoires imposés par la loi. Mais l'entrepreneur qui souhaite ouvrir un centre doit d'abord obtenir un agrément délivré par le Préfet du département où il se trouve.
Pour être habilité TMD, le contrôleur doit justifier de la qualification Q1 et d'une formation initiale d'au minimum 30 heures, comprenant à minima 20 heures de théorie et 10 heures de pratique.
À ce jour, il n'existe pas de diplôme requis pour postuler sur un emploi de contrôleur SNCF. En général, il suffit d'être titulaire du bac (général ou professionnel) pour postuler. Les diplômes dans le commerce ou la vente sont appréciés.
En application de l'ordonnance 2020-306 du 25 mars 2020, vous disposez désormais de 3 mois et 12 jours pour mettre votre contrôle technique à jour, soit 104 jours en moyenne à compter de sa fin de validité. Bon à savoir : le délai de 18 jours applicable aux véhicules lourds reste, pour sa part, inchangé.
Le contrôle technique doit être effectué dans les 6 mois précédent le 4ème anniversaire de la première mise en circulation de votre véhicule, puis tous les deux ans, dans un centre de contrôle technique agréé.
Vous devez faire passer le premier contrôle technique à votre véhicule dans les 6 mois qui précèdent son 4ème anniversaire.