Une alimentation riche en protéines animales favorise l'implantation de bactéries intestinales productrices de sulfure d'hydrogène, un gaz très toxique qui augmente le risque de cancer colorectal.
Les premiers signes avant-coureur et symptômes du cancer du côlon sont essentiellement digestifs. On observe habituellement des crampes abdominales, des ballonnements, des gaz et des troubles du transit intestinal (épisodes persistants de diarrhées et constipations ). L'aspect des selles peut sembler anormal.
douleurs abdominales ; découverte d'une anémie au cours d'un bilan sanguin pour un autre motif, en raison des saignements digestifs prolongés et souvent invisibles ; grande fatigue (asthénie) ; fièvre qui dure...
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Un marqueur tumoral est une substance présente dans le sang, les tissus ou les liquides prélevés du corps. Si la quantité d'un certain marqueur tumoral est anormale, cela peut signifier qu'une personne est atteinte d'un cancer colorectal.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Le plus souvent, il s'agit de : Douleurs intenses et persistantes derrière l'estomac ou au niveau du dos. Les douleurs abdominales sont plus fréquentes lorsque la tumeur se trouve sur la queue du pancréas. Manifestations digestives : manque d'appétit, nausées.
la présence de sang rouge (rectorragies) ou noir dans les selles ; des troubles du transit intestinal (constipation) ; des douleurs abdominales ; des saignements digestifs invisibles mais prolongés, détectés lors d'un bilan effectué pour une anémie par carence en fer.
La douleur abdominale
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
La surveillance consiste en un examen clinique, une échographie abdominale et/ou un scanner thoraco-abdomino-pelvien et une prise de sang. Sa fréquence varie entre 3 et 6 mois en fonction du risque de récidive.
La maladie cœliaque, la sprue tropicale, l'insuffisance pancréatique et d'autres causes de malabsorption des glucides doivent également être envisagées en cas d'excès de gaz coliques. Le CH4 (méthane) est également produit par le métabolisme bactérien colique des mêmes aliments (p. ex., fibres diététiques).
La cause principale des gaz intestinaux est l'alimentation et sa décomposition par les bactéries intestinales. Les aliments qui provoquent le plus de gaz intestinaux sont : Les légumes tels que les choux, choux-fleurs, brocolis, choux de Bruxelles. Les légumineuses telles que les pois, haricots, fèves, lentilles.
Réduisez les aliments et compléments alimentaires riches en fibres. Mangez moins d'aliments gras : ils prolongent le temps nécessaire pour vider l'estomac, ce qui vous donne une sensation de ballonnement. Évitez les boissons gazeuses. Mangez des portions plus petites et mangez lentement.
Cette propagation porte le nom de métastase. Le cancer primitif inconnu (CPI) est un cancer qui a été détecté dans le corps, mais pour lequel il est difficile de dire où il a pris naissance. Il est parfois aussi appelé cancer primitif occulte ou cancer d'origine primitive inconnue.
Diagnostic précoce
Les technologies modernes d'imagerie diagnostique, notamment l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomodensitométrie (TDM), permettent de visualiser les tissus avec une excellente résolution.
Notre recommandation. Si vous avez entre 50 et 74 ans et que vous n'êtes pas à haut risque de cancer colorectal, faites une analyse des selles tous les deux ans. Si vous avez 75 ans ou plus, demandez à votre médecin si une analyse des selles est indiquée dans votre cas.
Une méta-analyse de 2012 a révélé qu'un taux de CRP élevé était associé à une augmentation de 33 % du développement de cancers du poumon, sur la base de 10 études portant sur 1 918 cancers du poumon.
Les hémorroïdes externes peuvent se voir et se toucher au niveau du bord de l'anus. Le cancer anal implique plutôt une ulcération ou masse plus profonde et moins mobile. Les hémorroïdes internes peuvent sortir de l'anus à l'effort de poussée, mais elle se remet naturellement ou manuellement en place.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
La survie (survie nette standardisée) des personnes atteintes d'un cancer colorectal s'élève à 63% 5 ans après leur diagnostic pour les personnes diagnostiquées en 2010-2015, légèrement plus élevée chez la femme (65%) que chez l'homme (62%).
Perte de poids
Selon le type de cancer, 30 à 80 % des patients perdent du poids à cause de leur maladie. Le métabolisme des personnes touchées se modifie, ce qui peut entraîner une augmentation des besoins en calories et en protéines (ce qu'on appelle la cachexie cancéreuse, du grec : « amaigrissement »).