Le cancer du sein est l'un des cancers les plus fréquents chez la femme pré-ménopausée. La chimiothérapie, avant ou après l'opération, peut conduire à une aménorrhée (absence de règles supérieure à 6 mois) transitoire ou permanente.
Le cycle menstruel de la femme peut être perturbé par certains des traitements reçus contre le cancer du sein. Les conséquences sont souvent réversibles, mais ce n'est pas toujours le cas. La chimiothérapie utilisée dans le cancer du sein peut être toxique pour les ovaires.
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)
Ce syndrome SOPK est fréquent (5 à 10 % des femmes en âge d'avoir des enfants). Il associe aux symptômes de virilisation des cycles menstruels irréguliers, qui durent plus de 35 à 40 jours et ce, depuis l'adolescence, voire une absence totale de règles ( aménorrhée ).
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Le cancer du poumon, le cancer de l'ovaire, le cancer colorectal, les cancers du col utérin ainsi que le cancer du sein, peuvent tous passer inaperçus par les patients jusqu'à ce qu'ils soient très avancés, au stade 3 ou 4. Ces tumeurs sont souvent définies comme les cancers de «stade tardif».
Pour diagnostiquer la maladie, un frottis est effectué, c'est à dire un prélèvement de cellules au niveau du col de l'utérus. Par la suite, un examen cytologique permettra d'observer au microscope si les cellules du col de l'utérus présentent des anomalies.
A partir de l'âge de 25 ans, il est en effet conseillé de réaliser tous les 3 ans un frottis du col. Cet examen gynécologique consiste à prélever des cellules sur le col de l'utérus afin de les analyser en laboratoire et de dépister un éventuel cancer, la présence de cellules ou de lésions précancéreuses.
Les situations stressantes ou entraînant une forte émotion peuvent expliquer un retard de règles. Le stress interfère en effet avec les signaux du cerveau et peut aller jusqu'à bloquer l'ovulation et ainsi retarder l'arrivée des règles.
Mes règles s'arrêtent et recommencent
C'est normal, et ce n'est pas du tout inquiétant. C'est juste l'utérus qui va se vider de son endomètre différemment d'une personne à l'autre, mais aussi différemment d'un cycle menstruel à l'autre. Donc on peut tout à fait observer un jour d'arrêt de règles, et puis ça redémarre.
Parmi les causes d'absence de règles autres que la grossesse, il convient de citer le stress, l'insuffisance pondérale, l'obésité, le syndrome des ovaires polykystiques, l'utilisation de contraceptifs, les maladies chroniques, les troubles de la thyroïde et la périménopause précoce.
Le cancer du col de l'utérus est principalement dû à une infection persistante, d'une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle.
Si les règles ne sont pas encore apparues à l'âge de 16 ans ou si elles sont interrompues pendant plus de 3 mois, consultez votre médecin. Il en recherchera la cause car cette situation est le symptôme d'un dysfonctionnement de l'organisme.
Les fibromes utérins ont tendance à aggraver votre cycle menstruel, provoquant une augmentation de la douleur et des saignements. Ils peuvent également entraîner une irrégularité du cycle menstruel, certaines femmes pouvant sauter un mois et avoir des saignements abondants le mois suivant.
Quels sont les symptômes du kyste ovarien ? Le plus souvent, ces kystes sont asymptomatiques et sont découverts de façon fortuite au cours d'une échographie ou d'un autre examen, comme un scanner, réalisé pour d'autres raisons. Certaines fois, ils peuvent être à l'origine de pesanteurs pelviennes plutôt aspécifiques.
La survie globale au carcinome péritonéal primitif après 5 ans est d'environ 20 %. Cependant, la survie à long terme peut être supérieure à 20 % si le plan de traitement comprend une chimiothérapie.
Si la tumeur ou le kyste sont localisés profondément dans le corps, le médecin pourra procéder à une échographie pour évaluer si la masse est vide, remplie de liquide ou bien solide.
Il y a deux moyens efficaces pour prévenir le cancer du col de l'utérus : le frottis de dépistage qui va détecter des cellules pré-cancéreuses du col ou la présence du virus HPV et la vaccination contre les papillomavirus humains.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Dans la plupart des cas, il s'agit du poumon ou du pancréas. Le CPI peut aussi prendre naissance dans d'autres organes. Dans un petit nombre de cas, on ne découvre pas le siège primitif et le cancer reste un CPI.
Certains cancers peuvent être asymptomatiques. Le problème, c'est qu'ils peuvent conduire à un diagnostic trop tardif et réduire les chances de guérison. Ils peuvent être sournois et impliquer des signaux discrets, qui semblent anodins, et n'amènent pas à alerter.
Diagnostic précoce
Les technologies modernes d'imagerie diagnostique, notamment l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomodensitométrie (TDM), permettent de visualiser les tissus avec une excellente résolution.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.