La tension artérielle diastolique indique la pression résiduelle au moment de la phase de relâchement du cœur. Idéalement, le sang circule avec une tension maximale de 120 sur 80 mmHg. La tension est considérée comme normale jusqu'à une valeur de 129/84, et normale haute jusqu'à une valeur de 139/89.
Elle doit normalement se situer entre 115/75 et 120/80 mm Hg. On distingue trois niveaux de tension artérielle. La tension systolique se situe entre 120 et 139 mm Hg ou la tension diastolique entre 80 and 89 mm Hg. La tension systolique se situe entre 140 et 159 mm Hg ou la tension diastolique entre 90 and 99 mm Hg.
On considère généralement qu'une tension (ou pression) normale, au repos, est comprise entre 90/60 mmHg et 130/80 mmHg. En dessous de 90 mmHg de pression systolique ou de 60 mmHg de pression diastolique, on est donc en présence d'une hypotension.
CHICAGO, 15 avril (APM-Reuters) - Dans l'hypertension, c'est bien la pression systolique qui est la plus importante, quel que soit l'âge, car c'est elle qui est corrélée au risque d'avoir un événement cardiovasculaire, confirme une étude française.
La valeur limite au-delà de laquelle on parle d'hypertension artérielle est de 140/901 lorsque la mesure est faite au cabinet médical et 135/851 lors d'une automesure. Plus la tension est élevée, plus le risque de maladie cardio-vasculaire est important.
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
On considère qu'une tension normale doit se situer à 12 ou 13 pour le premier chiffre, et 8 pour le second. Si l'on prend en compte la fourchette haute, l'hypertension légère commence à partir de 14/9. Quant à l'hypotension, elle commence à partir de 10/6.
La tension artérielle diastolique indique la pression résiduelle au moment de la phase de relâchement du cœur. Idéalement, le sang circule avec une tension maximale de 120 sur 80 mmHg. La tension est considérée comme normale jusqu'à une valeur de 129/84, et normale haute jusqu'à une valeur de 139/89.
Mesure de la pression artérielle diastolique
Ce phénomène est lié au fait que la PAD reste constante le long de l'arbre artériel alors que la PAS augmente progressivement en s'éloignant de la valve aortique en raison de l'augmentation croissante de la rigidité des artères avec l'éloignement du cœur.
Les causes de l'hypotension sont multiples : problème neurologique, effet secondaire d'un médicament, déshydratation, etc. La baisse soudaine de la pression sanguine peut s'accompagner d'étourdissements et de faiblesse durant quelques secondes, et parfois d'un évanouissement.
Le plus grand chiffre, c'est-à-dire la pression systolique, correspond à la contraction du coeur. Quant au petit chiffre, appelé aussi pression diastolique, il correspond à la phase de repos. Par exemple, une tension de 14/9 signifie que la pression systolique est de 140 mmHg. Et la diastolique de 90mmHg.
La diastole est la phase de dilatation du coeur, lorsque ses cavités se remplissent à nouveau de sang, avant la phase d'éjection du sang (appelée " la systole "). On détermine la pression artérielle en mesurant à la fois la pression diastolique et la pression systolique.
Une tension est considérée comme normale jusqu'à environ 14/8, encore que cette valeur seuil varie légèrement selon l'âge de la personne (la tension augmente naturellement avec l'âge). Entre 14/8 et 16/9,5, elle est modérément élevée, au-delà, elle est élevée, et on parle d'hypertension.
Pour la plupart des gens, on considère que la pression est trop élevée et nécessite un traitement lorsqu'elle demeure au-dessus de la barre des 140/90 mm Hg.
Quelles sont les conséquences d'une pression diastolique élevée ? Lorsque la pression diastolique dépasse le seuil précédemment cité, il s'agit d'hypertension. L'hypertension est l'augmentation anormale, et à long terme, de la pression sanguine qui circule dans les artères. Elle est parfois difficile à diagnostiquer.
Le tension diastolique doit être inférieure à 90. En effet, le seuil d'hypertension se situe à 90. On parle d'hypertension modérée à partir de 100 et élevée pour une valeur supérieure à 110. En-dessous de 70, on commence à parler d'hypotension.
Le matin et le soir, répétez la manœuvre 3 fois de suite, à une ou deux minutes d'intervalle. Il ne sert à rien de mesurer votre pression artérielle dans d'autres moments de la journée. Ces mesures supplémentaires compliqueraient inutilement l'analyse de votre médecin.
La pression diastolique, le second chiffre, le plus bas, est celui de la pression dans les artères entre deux contractions cardiaques. Elle est habituellement comprise entre 50 et 130 mm Hg.
La pression artérielle est jugée élevée lorsque la valeur de votre pression systolique est de 140 mmHg ou plus ou que celle de votre pression diastolique est de 90 mmHg ou plus. Les personnes dont la pression artérielle est élevée souffrent d'hypertension artérielle.
Une tension est dite normale lorsqu'elle est inférieure à 140/90 mmHg au cabinet médical. Lorsque la TA est prise en automesure ou en MAPA, elle est normale lorsqu'elle est inférieure à 135/85 mmHg.
Le stress est une réponse normale de l'organisme face à une situation déstabilisante : angoisse, douleur, colère, joie… Autant d'émotions auxquelles votre corps va répondre par un ensemble de réactions biologiques. Entre autres effets, votre tension augmente, et votre rythme cardiaque s'accélère.
Une tension équilibrée se situe entre 120 et 130mmHg pour la première, et entre 70 et 80mmHg pour la seconde, soit de 12/7 à 13/8. Lorsque ces chiffres s'affolent, dans un sens comme dans l'autre, des problèmes de santé parfois sévères surviennent.
On parle généralement d'hypotension artérielle lorsque la tension artérielle systolique (le premier des deux chiffres indiquant tension artérielle) est inférieure à 90 mm Hg. Une valeur tensionnelle systolique de moins de 50 mm Hg indique une hypotension artérielle sévère.
Les études montrent que chez les individus qui ne boivent jamais de café, la caféine peut effectivement augmenter la pression artérielle à court terme (de 10 mm Hg environ), mais cet effet est transitoire et disparaît complètement chez les buveurs réguliers en raison de l'apparition d'un phénomène de tolérance.