Les températures ont augmenté de 0,42°C en France entre la période 1981-2010 et 1991-2020. Il existe toutefois des disparités régionales. Avec +0,35°C, la Bretagne est la région qui s'est le moins réchauffée. À l'inverse, c'est le Grand-Est qui enregistre l'augmentation la plus élevée avec +0,50°C.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
- D'ici 2040 : entre +1,5 °C pour le scénario le plus optimiste à +1,6 °C pour le plus pessimiste ; - Entre 2041 et 2060 : entre +1,6 °C pour le plus optimiste et +2,4 °C pour le plus pessimiste ; - Entre 2081 et 2100 : entre +1,4 °C pour le plus optimiste et + 4,4 °C pour le plus pessimiste.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
L'étude estime que dans 50 ans, environ 30 % de la population mondiale vivra dans des zones d'extrême chaleur, d'une température annuelle moyenne de 29 degrés, comme ce n'est aujourd'hui le cas que dans les zones les plus chaudes du Sahara.
Les Tuvalu, menacés par la montée des eaux
Et d'ici 2050 à 2100, si la hausse des températures ne se maintient pas en dessous de 1,5 °C, 95 % du territoire pourrait bien disparaître, précise le Huffington Post. Alors pour éviter de sombrer dans l'oubli, les Tuvalu vont… se numériser !
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
D'après les projections du site Climadiag de Météo France, le niveau de la mer pourrait monter de 13 à 30 cm à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) en 2050.
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
Le climat unique de la Costa Blanca
Comme il s'agit d'un microclimat, plutôt sec, l'OMS à classé la Costa Blanca comme ayant un des climats les plus sains du monde !
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
Un climat plus violent
Dès 2050, les vagues de chaleur seront deux fois plus nombreuses sur l'ensemble du territoire, avec des pics pouvant atteindre 50° par endroits. Idem pour les sécheresses.
Roubaix, 94 000 habitants, est la ville la plus pauvre de France. Plus de 30% de chômeurs, 75% du territoire placé en Zone urbaine sensible (ZUS) et surtout, une réputation pourrie, celle d'un endroit où rien ne va depuis que l'industrie du textile s'est effondrée à la fin des années 70.
Villes à risque :
Il est possible d'investir aujourd'hui à Marseille, Montpellier ou encore Nice. Cependant, il faut prendre ses précautions sur les localisations pour ne pas choisir les terrains les plus enclins à connaître les feux de forêt.
Direction Soulages, dans le Cantal, pour prendre un grand bol d'air ! Car c'est dans ce petit village d'à peine 80 habitants que l'air est le moins pollué.
2050, OUVRONS LES YEUX - Les premiers signes de la hausse du niveau de la mer viendront de l'augmentation de phénomènes météorologiques extrêmes mais, à terme, des zones entières de l'Hexagone pourraient se retrouver sous l'eau.
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Les pays de l'extrême nord semblent rester à l'écart de ces préoccupations d'ici 2040 : le Canada, la Russie, les pays scandinaves, le Groenland mais aussi ceux de la grande muraille verte de l'Afrique et le Brésil utiliseront moins de 19 % de leurs ressources en eau.
Parmi les grandes villes les plus à risque entre 2020 et 2050, on trouve Le Havre (de loin la grande ville la plus menacée), Caen, Bordeaux, Arcachon, Deauville, Bayonne, Toulon et Sète. « Au Havre, par exemple, 3,6 % des biens vendus entre 2016 et 2021 vont devenir inondables avant 2050 », selon le cabinet Calendar.
Selon une étude citée par le Giec, cinq États (les Maldives, les Tuvalu, les Iles Marshall, Nauru et Kiribati) risquent ainsi de devenir inhabitables d'ici 2100, créant 600 000 réfugiés climatiques apatrides.
Voici quelques endroits idéals pour être à l'abri de la canicule : La Bretagne : la région bretonne sera plutôt épargnée de l'augmentation de la chaleur. Elle sera certainement le département français qui va être le plus peuplé d'ici 30 ans. Cette région peut même devenir une zone hyper touristique.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
Les gaz à effet de serre, dus à la combustion du pétrole, du gaz et du charbon qui servent entre autre à produire de l'électricité et de la chaleur participent à la pollution de la planète et sont la principale cause du réchauffement climatique actuel.