Contrairement à l'idée reçue (ne pas utiliser le pouce et l'index) tous les doigts peuvent être utilisés pour effectuer un prélèvement capillaire. Selon les Référentiels de bonnes pratiques actualisés publiés par la SFD Paramédical sur la surveillance de la glycémie, il convient d'utiliser tous les doigts.
Evitez de piquer le pouce et l'index dont on se sert le plus au quotidien. Il vous reste les 3 derniers doigts de chaque main soit 12 localisations !
Attention ! Evitez de piquer le pouce et l'index : c'est ce que l'on appelle « la pince ». En effet, la réalisation des glycémies capillaires à répétition peuvent entraîner une perte de sensibilité au bout des doigts et rendre plus difficile le fait d'attraper des objets.
Résultats? Lorsque les mains étaient lavées à l'eau, les glycémies étaient les mêmes qu'avant la manipulation des fruits. Toutefois, les glycémies obtenus sans qu'un lavage des mains ne soit effectué révélaient des résultats souvent deux fois plus élevés, dûs au sucre résiduel sur la peau.
Le dextro ou la glycémie capillaire en pratique
Le test dextro consiste à prélever une goutte de sang, habituellement au bout d'un doigt, et à la transférer sur une bandelette introduite dans le lecteur qui affiche la glycémie.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
Le taux normal de la glycémie à jeun oscille entre 0.7 g/L et 1 g/L. En dessous d'un certain taux, on parle d'hypoglycémie, tandis qu'au-dessus, il s'agit plutôt d'une hyperglycémie. Le diabète quant à lui se caractérise par une glycémie supérieure à 1.26 g/L à jeun.
Mesurer la glycémie au bon moment
Habituellement les [GA1] mesures de glycémie peuvent se faire avant les repas, deux heures après les repas, au coucher ou la nuit. Au besoin, vous pouvez aussi mesurer la glycémie hors de ces moments, par exemple si vous pensez faire de l'hypoglycémie (glycémie trop basse).
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Même une toute petite quantité de sucre sur les doigts peut fausser votre résultat (par exemple, si vous avez mangé un aliment sucré, comme des cerises, et que vous ne vous êtes pas lavé les mains). Conseil : N'oubliez pas de vous laver les mains avec de l'eau et du savon, même si vos mains semblent propres.
La glycémie d'une personne qui n'est pas atteinte du diabète se situe entre 3,5 mmol/L et 7,8 mmol/L,en fonction du moment où il a mangé pour la dernière fois. On diagnostique le diabète lorsque la glycémie dépasse 11 mmol/L.
La glycémie normale 2 h après le début d'un repas doit être inférieure à 1,40 g/L (7,8 mmol/L) et ce chiffre s'élève de 0,10 g/L par décennie après l'âge de 50 ans.
Après le prélèvement, effectué au bout de votre doigt, la goutte de sang est appliquée sur une bandelette réactive, reliée au lecteur. Ce geste permet de mesurer la glycémie (taux de sucre dans le sang).
Les objectifs glycémiques chez le sujet âgé (à partir de 65 ans) en bonne santé, visent une glycémie à jeun entre 0,90 et 1,26 g/L et une HbA1c entre 6,5 et 7,5 %. Les objectifs glycémiques chez le sujet âgé fragile visent une glycémie à jeun entre 1,26 et 1,60 g/L et une HbA1c entre 7,5 et 8,5 % (3).
Voici quelques causes de l'hypoglycémie nocturne: Une dose d'insuline trop élevée au coucher. Un problème relié à votre technique d'injection de l'insuline. Une consommation de glucides plus faible qu'à l'habitude au souper ou durant la soirée.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
Le thé vert est une boisson qui serait capable de faire baisser la glycémie naturellement. Il réduirait le taux de sucre dans le sang et stimulerait le métabolisme. C'est principalement grâce à L'EGCG (un antioxydant de la famille des catéchines) que l'on accorde au thé vert des vertus de brûleur naturel de graisse.
Les diabétiques peuvent en abuser : le citron leur sera d'une aide précieuse. Il est d'abord très riche en vitamine C. Par ailleurs, il a une action antifatigue grâce aux flavonoïdes (substances antioxydantes). Il permet aussi de réduire l'indice glycémique.
Les personnes diabétiques peuvent consommer des bananes. Le corps a besoin de glucides, il est recommandé de suivre un régime alimentaire équilibré et varié, qui comprend une ration normale de glucides.
La glycémie à jeun n'augmente normalement pas ou peu avec l'âge.
Diabète : aliments à éviter
Le riz rapide, la purée de pomme de terre, les frites (à consommer une fois par semaine au maximum), les chips, les plats cuisinés du commerce, les viennoiseries, pâtisseries et les céréales du petit déjeuner chocolatées ou au miel ou fourrées.