Le Coca Light et Coca Zéro sont fabriqués en utilisant les mêmes édulcorants : de l'aspartame et acésulfame-K. Il existe également une différence au niveau des acidifiants utilisés : l'un utilise de l'acide citrique (Coca Light) tandis qu'un autre utilise du citrate de sodium (Coca Zéro).
Coca‑Cola light et Coca‑Cola zéro sucre sont fabriqués en utilisant les mêmes édulcorants (aspartame et acésulfame-K). Ils sont donc tous deux sans sucre ni calorie, mais ne perdent rien de leur goût délicieux Coca‑Cola. C'est pourtant en matière de goût que ces deux boissons diffèrent légèrement.
Comme son nom l'indique, le Coca-Cola Zéro ne contient certes aucun sucre mais fait la part belle aux édulcorants (acésulfame K, aspartame).
Combien d'aspartame contiennent les produits Coca‑Cola et quels sont ses effets? La teneur en aspartame dans le Coca‑Cola Zero et Coca‑Cola light en Suisse est d'environ 130 mg / L. L'Ordonnance sur les additifs tolère jusqu'à 600 mg / L.
Les boissons light ou zéro qui ne contiennent pas de sucres n'entraînent aucune élévation du taux de sucre dans le sang, raison pour laquelle leur index glycémique est nul.
Les métabolites (produits de dégradation) de l'édulcorant (en particulier le phénylalanine, le méthanol et son dérivé le formaldéhyde) sont dangereux, avec des incidences possibles sur le développement de l'embryon (retard de développement intra-utérin, malformations cardiaques et viscérales, effets neurologiques…).
A ce jour, l'aspartame n'est pas considéré comme cancérigène. La sécurité de ce produit est régulièrement remise en question.
Celui de l'aspartame est 200 fois supérieur à celui du sucre. Problème : ce ne sont que des molécules vides, c'est à dire des non-aliments, car ils ne contiennent aucun nutriment et le corps ne va quasiment pas les reconnaître.
Ceux qui pensent s'épargner une prise de poids en buvant des boissons allégées en sucre risquent d'être déçus. Selon des chercheurs américains, les consommateurs occasionnels de ce genre de boissons (comme le Coca-Cola light ou zero) prennent trois fois plus de ventre que ceux qui n'en boivent pas.
Concernant Coca‑Cola zero sucres, un verre (250 ml) contient 1 calorie (kcal) ; il en va de même pour un verre de Coca‑Cola zero sucres sans caféine ou Coca‑Cola light taste sans caféine.
Si les formules Light ou Zéro du Coca-Cola ont remplacé le sucre par l'aspartame, elles n'en sont pas moins dangereuses pour la santé. On impute en effet à l'édulcorant plus de 32 effets secondaires, parmi lesquels des risques d'épilepsie ou le développement de certains cancers.
Le Coca Zero est mort. Le géant mondial des sodas a annoncé mercredi qu'il vendrait dès cet été aux Etats-Unis sa boisson Coca Zero Sucre, fort de son succès sur d'autres marchés à l'étranger et dans une tentative de lutter contre l'obésité.
"Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, non seulement l'aspartame ne fait pas maigrir, mais il fait même grossir, car il est un leurre pour le cerveau. Quand vous prenez de l'aspartame, le cerveau réagit comme lorsque vous consommez du sucre, il dit au pancréas de fabriquer de l'insuline.
Coca‑Cola light taste et Coca‑Cola sans sucres (anciennement commercialisé sous le nom de Coca‑Cola zero sucres) sont fabriqués en utilisant les mêmes édulcorants (aspartame et acésulfame-K). Ils sont donc tous deux sans sucres ni calories, mais ne perdent rien de leur délicieux goût de Coca‑Cola.
Bien que Coca-Cola ero sucre et Coke diète contiennent les mêmes édulcorants (un mélange d'aspartame et d'acésulfame-potassium ou Ace-K) et contiennent zéro calorie, Coca-Cola zero utilise une base de saveur différente et fournit le bon goût de Coca-Cola avec zéro sucre.
La consommation d'aspartame, de saccharine, d'acésulfame-potassium, de cyclamates, de sucralose, de glycosides de stéviol et de polyols est sécuritaire pour les personnes diabétiques.
Allégation : Le méthanol contenu dans l'aspartame est toxique et relié à de nombreux problèmes de santé, y compris le lupus et la cécité. Il produit aussi des effets semblables à ceux de la sclérose en plaques.
A l'heure actuelle, aucun effet secondaire n'est à déplorer même si la controverse demeure : pas d'effets cancérogènes, mutagènes, elle n'est pas toxique en tous cas dans les quantités raisonnables (ne pas dépasser 1 g de stévia par jour, ce qui est malgré tout considérable).
Aucun effet cancérigène n'a jamais été établi pour l'aspartame ou le stévia, ni chez les animaux ni chez l'homme, même à fortes doses. Par contre, un effet cancérigène a pu être constaté chez les animaux, dans le cas d'une consommation de très fortes doses d'acésulfame-K, de cyclamate et de saccharine.
Les résultats des études longitudinales indiquent de plus que la consommation régulière d'édulcorants non nutritifs est associée à une augmentation du poids et du tour de taille, ainsi qu'à une incidence accrue d'obésité, d'hypertension, de diabète et d'accidents cardiovasculaires.
Étourdissements et vertiges. Tremblements. Migraines et violents maux de têtes (en cas de consommation chronique) Pertes de mémoire.
Seulement problème : les édulcorants présents dans ces boissons pour remplacer le sucre favoriseraient le surpoids et l'obésité.