Quelle viande privilégier ? Les viandes les plus intéressantes nutritionnellement sont la volaille comme la dinde, le poulet, voire la pintade riche en fer. Mais aussi les œufs, bio en priorité. Le label Bleu-Blanc-Cœur garantit une alimentation aux graines de lin, qui enrichissent les œufs en acides gras Omega 3.
La volaille, le lapin et la viande de cheval sont les viandes qui en contiennent le moins. Alors que les abats (cervelle, foie, rognons) et les charcuteries grasses (lards, rillettes, pâtés) en sont riches et donc à limiter. Source : base Ciqual de l'ANSES.
Le célèbre Wagyu, aussi appelé bœuf de Kobe, est sans doute la race la plus renommée pour l'extraordinaire qualité de sa viande. Son élevage selon des méthodes ancestrales lui confère ses qualités exceptionnelles. Marbrée, fondante et savoureuse, la viande de Wagyu constitue un véritable régal pour les fins gourmets.
Les viandes blanches késako ? Les viandes blanches sont celles provenant des volailles (poulet ou dinde) et du lapin. Elles sont considérées comme des alliées importantes d'une alimentation saine. Leur teneur en matières grasses est plus modérée que celle des viandes rouges et leur taux en protéines varie.
De la viande rouge (bœuf, veau, agneau) : 1 à 2 fois par semaine ; De la viande blanche (porc, volaille, lapin) : 1 à 3 fois par semaine ; De la charcuterie, du gibier ou des abats : 1 à 2 fois par semaine et pas plus de 50 g par jour.
La volaille est la viande à privilégier au quotidien selon le PNNS*. Comme de nombreuses viandes de volaille, le poulet possède de qualités pour le corps… et la santé ! Son premier atout : le poulet est riche en protéines (26g/100g) : un plus pour augmenter la masse musculaire (et donc, la performance des sportifs !).
Le poulet : champion en vitamines
Riche en vitamines du groupe B, à l'origine du métabolisme des lipides, glucides et protéines, le poulet agit sur les systèmes nerveux et contribue au bon fonctionnement général de l'organisme. En outre, il permet de conserver une peau saine et en bonne santé.
Le cheval. Le cheval fait partie des viandes rouges. Il contient 18,8% de protéines et 10% de lipides dont 3,6% d'acides gras saturés.
Une viande savoureuse et riche en protéines
Le porc est une bonne source de fer qui contribue à maintenir son niveau d'énergie. Le zinc, vitamine présente dans la viande de porc, favorise le bon fonctionnement du système immunitaire, protège des infections et favorise la cicatrisation.
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires. Un poisson est considéré comme « gras » si sa teneur dépasse 5%.
Connue pour ses bienfaits sur l'organisme, la viande est la principale source de croissance chez les enfants. Vous trouverez sur le marché des viandes rouges et blanches en fonction de vos goûts. En vertu de sa composition, la viande blanche est reconnue comme la viande bébé la plus digeste.
Il est riche en potassium et en zinc. Son apport en fer est moindre comparé à la viande rouge, il s'agit toutefois de fer bien assimilable. Enfin, le veau apporte des vitamines du groupe B, en particulier PP (B3) et B12 : selon le morceau, 100 g représentent jusqu'à 50 % de l'apport quotidien conseillé en vitamine PP.
Il est recommandé d'éviter la consommation de viande crue ou peu cuite (viande hachée de cheval ou de bœuf, steak tartare, barbecue sans cuisson à cœur, viande de volailles pas suffisamment cuite…) en particulier par les personnes sensibles : jeunes enfants, femmes enceintes et personnes âgées ou immunodéprimées.
Pour votre repas du soir, n'oubliez pas de manger quelques protéines comme : des sardines ou des conserves de poissons gras (maquereau, etc.) des viandes séchées comme la viande des grisons, le pastrami ou la bresaola (évitez la charcuterie trop grasse comme le saucisson, les rillettes, etc.)
Lardons : Intérêt nutritionnel
Riche en protéines : comme tous les produits issus de viandes, le lardon est riche en protéines avec 17g/100g, et concourt donc au bon développement comme à l'entretien des os, des muscles ou encore de la peau.
Préférer la viande blanche (volaille, dinde, porc, etc.) permet de diviser ses émissions de CO2 quasiment par 10 par rapport à la consommation de viande rouge ! Cela ne veut pas dire qu'il faut se priver de viande rouge mais une fois par semaine suffit. Mangez moins de viande rouge mais de meilleure qualité.
D'après les directives officielles de la pyramide alimentaire, les personnes en bonne santé peuvent sans problème manger jusqu'à 6 œufs par semaine.
Consommer de la viande blanche est avantageux grâce à : Sa richesse en protéines de très bonne qualité avec un apport en acides aminés indispensables satisfaisant. Elles ont un rôle constructeur indispensable au bon fonctionnement de notre organisme.
Le régime au poulet et au riz est idéal si vous avez besoin de perdre quelques kilos rapidement. Cela est acceptable même si vous décidez de changer vos habitudes alimentaires. D'ailleurs, ce régime est également parfait pour les sportifs en raison de sa teneur élevée en protéines.
Des scientifiques chinois ont constaté que consommer un œuf par jour pouvait contribuer à réduire le risque de troubles cardiovasculaires. Sur les œufs on entend tout et son contraire : il ne faut pas en abuser, ils font grimper le cholestérol, ils sont bons pour la santé…
Le Programme National Nutrition Santé recommande ainsi de ne pas manger du poisson tous les jours : deux fois par semaine suffiraient. Pourquoi ? Bien que le poisson soit source de protéines et qu'il reste en général moins gras que la viande, il contient également moins de fer.
Le campylobacter est une autre bactérie que l'on peut trouver dans le poulet. Elle cause la campylobactériose, une toxi-infection dont les symptômes peuvent être graves. Les enfants, les personnes âgées et celles qui ont un système immunitaire affaibli sont plus à risque d'en être atteints.
Risques pour la santé
La volaille crue est souvent contaminée par des salmonelles ou des campylobactéries. Faites toujours cuire votre volaille jusqu'à ce qu'elle atteigne une température interne sans risque afin de détruire les bactéries.