Les valeurs normales se situent entre 100 % et 94 % ; une valeur de 90 % ou inférieure indique une hypoxémie [3, 4]. Il s'agit de la méthode la plus précise pour mesurer la saturation en oxygène.
Si le taux de saturation baisse très rapidement, ou lorsqu'il se trouve en-dessous de 85%-90%, cela peut indiquer un problème de santé grave, comme une pneumonie, l'insuffisance cardiaque ou l'anémie. Dans ce cas, il est recommandé d'aller aux urgences pour une prise en charge rapide.
La saturation en oxygène normale pour une personne en bonne santé est comprise entre 95% et 100% en fonction de l'âge. SpO2 (Saturation pulsée mesurée avec un oxymètre de pouls). Elle est insuffisante en dessous de 95%. On parle d'hypoxémie.
Un niveau normal d'oxygène dans le sang se situe entre 95 % et 100 %. Ces chiffres varient chez les personnes atteintes de maladies pulmonaires ou ayant d'autres problèmes de santé spécifiques. Une SpO2 sous les 90 % est considérée comme basse, on appelle cela l'hypoxémie.
Dans le cas de la saturation pulsée (SPO2), en dessous de 95%, on considère qu'une personne est en hypoxie, c'est-à-dire qu'elle manque d'oxygène. « Lorsque le corps manque d'oxygène, il s'ensuit une souffrance cellulaire et un risque pour les différents organes.
des céphalées ou maux de tête ; une hyperventilation ; une tachycardie ; des troubles du comportement.
L'oxygène, est un comburant indispensable à l'organisme. Les organes et les muscles l'utilisent pour fonctionner avant de rejeter du gaz carbonique. Une insuffisance respiratoire chronique se manifeste par un manque d'oxygène dans le sang qui explique la fatigue, l'essoufflement au moindre effort.
Par exemple, la plupart des adultes respirent à un rythme d'environ 15 respirations par minutes. Si cette fréquence est réduite à 10 respirations par minute, celle-ci améliore beaucoup la saturation en oxygène. Il est également conseillé de respirer par les narines et de rester détendu durant la respiration.
Effectuez des exercices de respiration.
Vous pouvez améliorer la saturation en oxygène si vous faites de temps en temps l'effort conscient de respirer plus lentement et plus profondément, mais vous obtiendrez de meilleurs résultats si vous apportez des modifications plus durables à vos habitudes respiratoires.
L'exercice physique contribue à la bonne santé du cerveau ; le mouvement agit en effet à deux niveaux : il accroît d'une part le débit cardiaque et donc le flux sanguin et d'autre part la fréquence respiratoire, et donc les niveaux d'oxygène dans le sang.
Une légère augmentation de la saturation en oxygène du sang peut être obtenue en inspirant et expirant très rapidement et profondément (hyperventilation). Dans le même temps, la teneur en dioxyde de carbone (CO2) est réduite. De plus, la saturation en oxygène peut également être augmentée pendant l'oxygénothérapie.
En mesurant la moyenne du taux de saturation en oxygène pendant le sommeil, ils ont calculé qu'une baisse de 1% de ce dernier entraînait une perte moyenne du volume de certaines régions du cerveau de 0,63%.
Il est des cas (souvent prévisibles) ou` l'oxygénation ne peut être maintenue, soit du fait d'une pathologie de l'échangeur pulmonaire, soit du fait de l'impossibilité de ventilation au masque et d'intubation.
Les principale cause d'hypoxie sont les pneumopathies, les cardiopathies cyanogènes, les troubles ischémiques cérébraux et périphériques, les accidents par atmosphère viciée (incendie, etc.), l'inhalation de mélanges pauvres en oxygène et la vie en altitude.
Il est souhaitable de recourir à une oxygénothérapie par lunettes nasales avec titration, dans le but de maintenir une saturation naturelle en oxygène comprise entre 88 et 92 %. Une gazométrie artérielle doit être faite, pour connaître le pH et le niveau de capnie.
Résultats. La saturation est exprimée en pourcentage. Elle vaut entre 95 et 100 % chez le sujet normal, mais baisse sensiblement chez le fumeur qui dans ce cas peut varier entre 90 et 95%. Elle dépendra surtout de l'état clinique général du patient.
L'hypoxémie peut compliquer diverses pathologies comme une insuffisance respiratoire chronique ou aigüe, une insuffisance cardiaque, une anémie sévère, etc. Le traitement de l'hypoxémie peut passer par l'administration d'oxygène, mais aussi par la prise en charge de la pathologie causale.
Le cerveau ne reçoit plus l'oxygène dont il a besoin pour fonctionner. Le visage devient pâle, le pouls s'accélère. La victime étourdie perd alors connaissance, rarement pendant plus de quelques secondes.
En-dessous de 95%, le taux est insuffisant : on parle d'hypoxémie (baisse de l'oxygénation). En-dessous de 90%, la situation est critique : on parle de désaturation.
Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Apport d'oxygène indispensable
Le diagnostic est biologique, par la mesure de la saturation de l'hémoglobine du sang. «Normalement, elle est saturée à plus de 95 % par l'oxygène (O2) respiré. Il y a insuffisance respiratoire chronique quand cette saturation reste inférieure à 92 %.
La toxicité de l'oxygène, causée par un apport excessif ou inadéquat en oxygène, peut causer de graves lésions aux poumons et à d'autres organes. Des concentrations élevées d'oxygène administrées sur une longue période peuvent intensifier la formation de radicaux libres et occasionner des dommages aux poumons.
L'oxygène peut vous être apporté directement en bouteille (oxygène gazeux comprimé) ou dans un réservoir (oxygène liquide). Dans ce cas, il s'agit d'oxygène médicinal, qui a le statut de médicament. Une source qui peut vous être proposée est le concentrateur (parfois appelé extracteur) en oxygène.