La chanson a pour but d'encourager les troupes à défendre la patrie en danger. À l'origine, ce chant patriotique s'appelait Chant de guerre pour l'armée du Rhin. Il sera rebaptisé La Marseillaise car il fut repris par des soldats de Marseille lors de l'insurrection des Tuileries en août 1792.
Initialement conçue comme un "chant de guerre pour l'armée du Rhin", La Marseillaise se présentait également comme un appel à la lutte contre la tyrannie. Adoptée par les volontaires venus de Marseille pour rejoindre les armées des frontières, elle accompagna la chute de la monarchie au cours du mois d'août 1792.
Contenu de l'article. Claude Joseph Rouget de Lisle, capitaine du génie en garnison à Strasbourg, écrit à la demande de Frédéric de Dietrich, maire de la ville, le Chant de guerre pour l'armée du Rhin, le 25 avril 1792, peu après la déclaration de guerre de la France révolutionnaire au Roi de Bohême et de Hongrie.
Elles sont principalement : les droits de l'Homme et du Citoyen, La Marseillaise, Marianne, le drapeau tricolore, la langue Française et le principe Liberté-Égalité-Fraternité. La Marseillaise défend l'égalité de tous, sans distinction d'origine. Elle nous unit, elle est notre hymne national.
Les hymnes nationaux sont une sorte de carte de visite à l'extérieur du pays; à l'intérieur, ils favorisent le sentiment de cohésion. Les hymnes parlent aux humains – par la musique, les voix, le langage et le texte; ils génèrent des réactions au niveau des sens, des émotions et du cerveau.
Le thème de la chanson de Rouget de Lisle est la défense de la patrie en danger, c'est-à-dire la terre de la liberté, qu'elle se trouve en France ou en Europe. Aussi ce chant, symbole de la Révolution française, est repris au cours de l'Histoire sur différents continents par de nombreux révolutionnaires.
Dans ce contexte, La Marseillaise est un chant de guerre révolutionnaire, une exhortation au combat contre l'invasion étrangère et un appel patriotique à la mobilisation générale, mais aussi un hymne à la liberté et un appel au combat contre la tyrannie.
Beaucoup de sportives et de sportifs de haut niveau le répètent. Lorsqu'une première sélection en équipe nationale survient, entendre retentir l'hymne de son pays est un moment à part, mélange de solennité et d'émotion, et marqueur d'une nouvelle étape.
Et les sillons sont des tranchées creusées un peu partout dans la campagne et les champs, lors des sanglantes batailles. Ainsi, « Qu'un sang impur abreuve nos sillons » signifie donc que c'est notre « Sang impur » à nous, le peuple, qui nourrira nos terres ! En aucun cas il ne s'agit du sang de l'ennemi.
1) La France est toujours associée à la romance, à l'amour, bien que La Marseillaise soit un peu à l'opposé de ce que signifie réellement la chanson. 2) La chanson est sortie à un moment de la montée de l'ultra-nationalisme en Grande-Bretagne alors ils voulaient bouleverser beaucoup de gens.
Il semble considérer le sang impur comme celui de l'étranger, les sillons devenant les tranchées des batailles. C'est ici qu'un rappel historique s'impose. Avant la Révolution, la société est divisée selon l'origine, la naissance, le sang donc. Les nobles ont du sang noble, ils en tirent leur supériorité sur le peuple.
La Marseillaise redevient officiellement l'hymne de la France en 1879, avec la fondation de la IIIe République. Puis, le même mécanisme s'est répété sous l'occupation allemande, en France. Il était alors interdit de chanter l'hymne national.
Composée en avril 1792 par Claude Rouget de Lisle, officier en poste à Strasbourg, à la suite de la déclaration de guerre de la France à l'Autriche, La Marseillaise fut ensuite diffusée massivement par l'intermédiaire des volontaires marseillais qui entonnèrent ce chant lors de leur marche vers Paris.
Le refrain « Bella ciao » (« Ma belle, salut ! ») est en italien d'une syntaxe inhabituelle mais peut aussi se lire avec une autre ponctuation : O Bella, ciao bella, ciao Bella, ciao ciao ciao.
Les soldats qui sont peints ici, ce sont donc, au sens premier, les soldats autrichiens, mais d'un point de vue plus général, ils symbolisent toute oppression, tout ce qui entrave la liberté. Ces guerriers sont fortement dévalorisés. Ils « mugissent » ils sont « féroces ».
« Français, en guerriers magnanimes/Portez ou retenez vos coups ! » précise le cinquième couplet. Les ennemis véritables des citoyens libres sont les « despotes sanguinaires ».
Qu'elle soit apportée à Paris en juillet 1792 par les volontaires marseillais venus défendre la patrie en danger et qu'elle soit chantée le 10 août 1792 lors de la prise des Tuileries, du renversement de la monarchie, cela lui donne de fortes racines révolutionnaires s'ajoutant à son origine guerrière.
Le Danemark est l'un des deux seuls pays au monde, avec la Nouvelle-Zélande, à posséder deux hymnes nationaux officiels de même statut.
Le Danemark a deux hymnes nationaux officiels.
Les murs de la paix (anglais : Peace Walls, appelés aussi Peace Lines : « Lignes de la paix ») désignent une série de barrières de séparation construites pour la plupart à Belfast, Londonderry et Portadown en Irlande du Nord pour séparer les quartiers catholiques des quartiers protestants de la ville.
Dans la nuit du 25 au 26 avril 1792, à la suite de la déclaration de guerre de la France à l'empereur d'Autriche, il composa chez le maire de Strasbourg, dénommé Dietrich, un morceau qu'il intitula "Chant de guerre pour l'armée du Rhin".
La première proposition signifierait tout simplement que nous nous battons contre une tyrannie. Par ailleurs, « L'étendard sanglant est levé » signifierait que, sur le champ de bataille, les ennemis brandissent ledit étendard.
« Chant national » et interdiction
C'est après la chute de Robespierre que la Marseillaise devient le 14 juillet 1795 le « chant national » de la France. Une première fois, car son caractère révolutionnaire le rend suspect à bien des régimes. Ainsi, le Consulat et l'Empire l'interdisent purement et simplement.
L'hymne national officiel des Pays-Bas est le « Wilhelmus ». Si ce statut ne lui a été reconnu qu'en 1932, le Wilhelmus est tout de même considéré comme le plus vieil hymne national du monde : il a été écrit entre 1569 et 1572.
Mais sachez qu'entre 1914 et 1918, personne n'appelait ces soldats 'les Poilus'. Eux-mêmes se surnommaient 'les hommes'. Un 'poilu', à l'époque, et même bien avant, désignait un homme courageux. Molière, dans Les précieuses ridicules, utilise l'expression 'être un brave à trois poils'.