La négociation commerciale est une démarche de communication ayant pour but de parvenir à un accord commercial. Ce processus passe par la confrontation des attentes, intérêts, positions et points de vue des négociateurs.
La négociation commerciale n'a qu'un seul objectif, qui est de parvenir à un accord. Les protagonistes ont donc intérêt à s'entendre. Une zone d'entente va être recherchée par le vendeur et l'acheteur car celui-ci veut combler son besoin et celui-là veut commercialiser son produit.
L'objectif de la négociation est de parvenir à un accord par le biais d'entretiens et d'échanges de vues entre les partenaires. Elle fait partie du quotidien et représente même un élément-clé de toute relation sociale. Dans le contexte de l'entreprise, sa maîtrise est essentielle, tant à l'externe qu'à l'interne.
Une négociation commerciale ne doit pas être envisagée comme un rapport de force, avec un gagnant et un perdant. L'objectif d'une négociation est d'atteindre un accord mutuel qui profite autant au vendeur qu'à l'acheteur.
La négociation permet d'adapter les offres à la demande. Au terme de la négociation, l'acheteur public aura à déterminer l'offre présentant le meilleur rapport qualité-prix, c'est-à-dire la meilleure offre susceptible d'être faite à ce moment en fonction des capacités économiques et techniques des entreprises.
Une stratégie basée sur le rapport de force. La coopération. La compétition.
La négociation est le moyen le plus pratique et le plus constructif d'y arriver et de contribuer à établir une nouvelle relation entre les gouvernements, les gens des Premières nations et les Canadiens de l'Atlantique.
Les enjeux sont multiples : développer la performance commerciale des entreprises et des organisations, mieux anticiper et piloter les évolutions qu'elle connaît et va connaître, mieux former les commerciaux à sa pratique.
Une négociation commerciale est nécessairement la rencontre entre deux parties dont l'une personnifie l'offre (le « vendeur » ou le « fournisseur ») et l'autre sa contrepartie (l'« acheteur » ou le « client »). Cette rencontre constitue effectivement la « situation de négociation ».
Les méthodes OSIRIS (outil 1) et ATROCE (outil 2). L'angle alpha (outil 3) pour visualiser l'angle des objectifs maximum et minimum. Les plages de négociation (outil 4) pour comparer les priorités de ses objectifs avec celles des interlocuteurs.
Une bonne négociation sera celle qui réussira à instaurer un dialogue «ouvert» où chacun connaît son intérêt mais reste attentif aux arguments et contraintes de l'autre. Acceptez que l'on discute vos propositions et prenez en compte toutes les remarques.
Il vous faut lui faire dire ce que vous voulez, ainsi il en sera d'autant plus convaincu. Pour cela, posez lui des questions, reformulez-les afin de lui montrer que vous avez compris ce qu'il recherche et que vous allez dans son sens. N'essayez pas de jouer un rôle lors de la négociation, soyez honnête.
Elle a la même structure. La négociation met en jeu trois éléments fondamentaux : des acteurs dans une relation de face à face : vendeur et acheteur ; • des divergences entre eux ; • une volonté d'aboutir à un accord.
Le Larousse de 1923 en deux volumes établit clairement la différence : est négociant celui qui fait le commerce alors que le négociateur est « celui qui négocie une affaire considérable auprès d'un Prince ou d'un État, et, par extension, celui qui négocie une affaire quelconque ».
Apprendre à négocier avec soi-même, c'est obtenir de meilleurs résultats, des relations plus fortes et davantage d'expériences personnelles gratifiantes. Cela semble étrange à première vue. Peut-on se parler à soi-même sans devenir fou ?
Je vais vous donner 4 bonnes raisons de négocier : La première : Si vous ne demandez pas, vous ne connaîtrez jamais la réponse. Deuxième chose : Vous avez intérêt à négocier, à demander, parce que vous ne savez pas ce qui se passe dans la tête de votre interlocuteur.
Étape 1 : la préparation de la négociation. Étape 2 : la planification et l'organisation de la rencontre de négociation. Étape 3 : la négociation. Étape 4 : la rédaction de l'entente.
L'analyse est réalisée à partir d'éléments observables d'ordre linguistique, paralinguistique et situationnel. Les résultats de l'expérimentation sont multifacettes et concernent l'étude de trois types de négociation ouverte ou présentant une plus ou moins grande marge de liberté pour l'un des protagonistes.
La vente est avant tout l'art de convaincre les clients. Pour être plus productif, un commercial doit connaître la règle des 4 C (contact, connaître, convaincre, conclure) de la vente.