En sociologie, l'intégration est le processus ethnologique qui permet à une personne ou à un groupe de personnes de se rapprocher et de devenir membre d'un autre groupe plus vaste par l'adoption de ses valeurs et des normes de son système social.
Il vise à accroître la compréhension des aspects du vieillissement liés aux politiques afin d'améliorer la qualité de la fin de vie, de réduire les inégalités et d'assurer le caractère durable du développement social.
L'intégration règle les relations entre les membres d'un groupe et articule leurs actions respectives. En pratique, elle favorise la communication entre les acteurs, la coordination de leurs activités, la coopération, la capacité à formuler des accords et l'unité d'action.
En combinant ces deux dimensions, quatre types d'intégration professionnelle sont distingués : l'intégration assurée, l'intégration incertaine, l'intégration laborieuse et l'intégration disqualifiante.
Définition. L'intégration est le processus débouchant sur le partage de valeurs communes, de buts communs, entre des individus en interaction au sein d'une société ou d'un groupe social. Le mot peut aussi désigner le résultat de ce processus.
Un facteur d'intégration est une instance, une forme d'organisation qui structure les relations sociales entre les individus et qui contribue à l'intégration sociale, telle que le travail par exemple. Celle-ci génère donc une socialisation, source d'intégration et de cohésion sociale.
Qu'est-ce que la stratégie d'intégration ? La stratégie d'intégration consiste à internaliser au sein de l'entreprise des activités complémentaires situées en amont et/ou en aval des activités actuelles.
Les avantages d'avoir une stratégie d'intégration
Permet à l'organisation de mieux planifier les autres investissements dans les applications et les systèmes dans l'organisation. Permet à l'organisation d'atteindre un point où elle peut en profiter de façon compétitive.
L'intégration sociale est essentielle pour garantir une société stable, harmonieuse et pacifique. Il ne s'agit pas d'une tentative d'uniformité mais bien de « créer une société pour tous », a-t-il dit.
L'intégration professionnelle est fréquemment appelée socialisation organisationnelle par bon nombre d'auteurs. « La socialisation est le processus par lequel une personne acquiert les connaissances, les compétences et les dispositions qui feront d'elle un membre plus ou moins efficace d'une société ».
C'est un processus résultant d'une démarche volontaire de deux ou de plusieurs États différents en vue d'une mise en commun d'une partie ou de l'ensemble de leurs ressources.
Les experts conviennent que l'intégration régionale élargit les marchés et les échanges, améliore la coopération, atténue les risques et promeut la coopération socioculturelle et la stabilité régionale.
Le concept d'inclusion accepte que tout le monde entre dans la société et puisse s'y retrouver avec ses différences sans jamais laisser quelqu'un seul ou en difficulté. L'intégration, quant à elle, ne veut pas faire changer la société.
une volonté et une démarche individuelles de s'insérer et de s'adapter, c'est-à-dire l'intégrabilité de la personne, la capacité intégratrice de la société par le respect des différences et des particularités de l'individu.
l'intégration en aval : l'entreprise choisit d'assurer elle-même la distribution de sa production en prenant le contrôle du réseau de distribution. l'intégration en amont : l'entreprise choisit d'assurer elle-même l'approvisionnement nécessaire à sa production en prenant le contrôle des fournisseurs.
Au contraire de l'intégration, l'externalisation se traduit par une diminution du périmètre d'activité de l'entreprise puisqu'une partie de ses fonctions est déléguée à des fournisseurs ou des sous-traitants.
Une stratégie d'intégration existe sous deux formes et méthodes : l'intégration verticale et l'intégration horizontale. Elle correspond à l'inverse d'une activité d'outsourcing.
L'intégration consiste à garder au sein de l'entreprise les activités qui créent de la valeur. L'externalisation consiste à confier une partie de ses activités à d'autres entreprises (sous-traitants). Autrement dit, l'intégration consiste à « faire soi-même » ; l'externalisation à « faire – faire ».
Le travail occupe donc une place centrale dans l'intégration sociale des individus : il leur procure un revenu et une identité sociale, liée à la place qu'ils occupent dans le processus de production. Il contribue donc à assurer la cohésion sociale.
La socialisation permet l'intégration sociale des individus qui se sentent alors appartenir à la société. Elle permet d'autre part une cohésion sociale, c'est-à-dire la mise en place de solidarités entre les individus. La socialisation permet donc à la fois de se sentir membre d'une société et de « faire société ».
L'école participe à la socialisation des individus et, par là, à leur intégration sociale ; par la formation qu'elle donne, elle favorise aussi l'insertion professionnelle des individus. 4.1.1. Le rôle socialisateur de l'école qui diffuse à tous les enfants des valeurs, des façons de juger communes.