Les enfants déguisés en sorcières ou en fantômes défilent dans les rues en frappant aux portes et en revendiquant des petits cadeaux (des bonbons) sous menace de malédiction en cas de refus. La coutume du Trick or treat est apparue aux États-Unis dans les années 1930.
Ils pensaient qu'au cours de cette nuit, les frontières entre le monde des morts et celui des vivants étaient ouvertes et ils revêtaient des costumes effrayants pour éloigner les mauvais esprits. Ces légendes se sont exportées aux Etats-Unis avec les migrants irlandais et écossais au milieu du XIXe siècle.
Sémantiquement, le mot est une contraction de l'anglais "All Hallows'Eve". Une locution que l'on pourrait traduire en français par la "veille de tous les saints" ou "la veillée de la Toussaint".
Une croyance voudrait également que la fête de l'Halloween marque le jour de l'ouverture entre le monde des morts et le monde des vivants. Selon ses origines chrétiennes, l'Halloween serait inspirée de la fête de la Toussaint, célébrée en l'honneur de tous les saints, le 1er novembre, dans les églises occidentales.
A l'époque, la nuit d'Halloween était redoutée. On pensait que des esprits maléfiques pouvaient venir faire du mal aux vivants. Pour les faire fuir, les habitants faisaient de grands feux et mettaient des vêtements effrayants.
Si on peut traduire sa signification par « la veille de tous les saints », le sens d'Halloween n'est en aucun cas religieux. Elle est plutôt l'héritage de la fête païenne de la Samain, très populaire en Grande-Bretagne, célébrée historiquement au début de l'automne par les Celtes.
Pour certains croyants musulmans ou chrétiens, l'Halloween est une fête païenne. Certains l'associent même au satanisme. En raison de leur conviction, ils s'opposent à ces célébrations et évitent de laisser leurs enfants faire du porte-à-porte. Jessica Caron est de confession catholique.
Comme beaucoup de rites et fêtes chrétiens et musulmans, Halloween est à l'origine une fête païenne, en l'occurence, une fête celte.
Dès les années 50, il y a des traces d'Halloween mais c'était dû à des Américains qui vivaient en France. Ce mouvement que nous connaissons a été marketé pour donner quelque chose à vendre ou une occasion de se réjouir entre la rentrée des classes et Noël.
Dans la tradition de Samain, les celtes avaient une peur bleue des fantômes. C'est pourquoi une fois par an, ils se réunissaient vêtus de terrifiants déguisements puis déposaient des gâteaux et des pommes à l'entrée du village. Ces offrandes leurs assuraient une certaine sécurité.
Comme beaucoup de rites et fêtes chrétiens et musulmans, Halloween est à l'origine une fête païenne, en l'occurence, une fête celte.
Les gens portaient des costumes sombres pour que ces mauvais esprits les considèrent comme leurs pairs et les épargnent. On retrouve ces caractéristiques de Samain dans les coutumes modernes d'Halloween ainsi que dans l'actuelle fête chrétienne de la Toussaint, dont nous parlerons ensuite.
Chaque année, le 31 octobre au soir, la tradition d'Halloween veut que les enfants et adultes déambulent dans les rues vêtus de déguisements parfois terrifiants. Cette fête païenne est célébrée la veille de la Toussaint et ses rituels varient d'un pays à l'autre.
Halloween en France
Si ce sont les Irlandais qui ont amené avec eux la tradition d'Halloween aux Etats-Unis lors des grands mouvements de migration du 19e siècle, c'est France Télécom qui l'a amené en France.
Halloween est fêtée la veille de la Toussaint chrétienne par les Irlandais et les Américains entre autres… Les couleurs du décor de cette fête sont l'orange et le noir. L'orange pour le symbole du feu, le noir pour celui de la nuit.
Toutes les occasions sont bonnes pour faire la fête, se déguiser, organiser des processions à la lueur des bougies… et même faire manger de la citrouille aux enfants – surtout les plus réticents – qui les auront vidées de leur chair pour les transformer en lanterne pour l'évènement.
ce mot ne se trouve pas dans la Bible. Cette fête n'est pas biblique. le mot qui se trouve dans la Bible, et qui est proche de halloween est hallow et hallowed. C'est la première requête dans la prière que le Seigneur Jésus-Christ a enseigné à ses disciples.
«Mettre l'horreur à l'honneur», surtout pour les évangéliques, c'est prendre le risque d'habituer les enfants à l'horreur et à la laideur, dans un monde où la peur et la violence sont de plus en plus présentes. «En tant que chrétien, on n'a pas besoin d'Halloween.
Halloween est une fête du négatif : la peur, la frayeur, la mort anonyme. La Toussaint, elle, est une fête positive : les saints ou la mémoire des autres. Les saints sont des personnes qui, soucieuses de suivre l'évangile, ont aimé les autres, se sont dévoués pour servir les plus faibles.
De manière générale, les chrétiens ne sont pas tenus de s'abstenir de manger du porc en vertu de leur foi, mais ils peuvent choisir de le faire ou de ne pas le faire en fonction de leurs convictions personnelles.
Royaume-Uni. Londres... La ville brumeuse, avec son histoire parfois mouvementée, ses donjons terrifiants, ses petites rues troublantes et la légende du plus célèbre tueur en série au monde, Jack l'Éventreur, est la candidate idéale pour Halloween.
Pour beaucoup, la Toussaint, célébrée le 1er novembre, est la fête des morts.
Cette fête est célébrée chaque année le 31 octobre au soir, la veille de la Toussaint. Son origine remonterait à la fête celtique de Samain. Chaque année, le soir du 31 octobre, les enfants, mais aussi les adultes, déambulent dans les rues avec des déguisements toujours plus terrifiants.
Halloween est au départ une fête celtique d'origine irlandaise. Le Nouvel An Celtique ! Il y a environ 3000 ans, le calendrier Celte ne se terminait pas le 31 décembre, mais le 31 octobre. Et cette dernière nuit de l'année était la nuit du dieu de la mort (Samain ou Samhain).
La Samhainophobie, la peur d'Halloween
Mais pour certaines personnes, cette fete est synonyme de peur et d'anxiete. D'ailleurs, pour ceux qui redoutent veritablement ce moment de l'annee, il se pourrait bien que vous soyez atteints de Samhainophobiae >>, autrement, la peur extreme de feter Halloween.