Le clonage dit non reproductif, encore appelé thérapeutique ou plutôt à visée thérapeutique, consiste à transférer le noyau d'une cellule somatique adulte dans un ovule énucléé avec pour objectif d'engendrer des cellules souches embryonnaires dont la culture in vitro pourrait fournir des lignées de cellules ...
Le clonage thérapeutique aurait ainsi le double avantage de remédier à la pénurie d'organes, et d'éviter pour le malade opéré la prise de traitements à vie contre le rejet, par son organisme, de l'organe greffé.
Le but du clonage n'est pas de modifier le génome, mais de le transmettre d'une façon qui ne nécessite pas la reproduction sexuée et qui génère des individus identiques présentant les mêmes caractéristiques que leur (unique) parent.
Le clonage humain vise la production asexuée d'un nouvel être humain qui serait génétiquement presque identique à un être humain actuellement ou précédemment existant.
II / les avantages du clonage : Mais le clonage a aussi des avantages notamment d'un point de vue thérapeutique où il peut servir à la greffe de peau ou d'organes par exemple. De plus le clonage peut servir à reproduire des espèces en voie de disparition afin que celle-ci ne puissent pas s'éteindre.
Le clonage reproductif vise à donner naissance à un individu génétiquement identique à un autre. Le clonage thérapeutique, encore à l'état de projet, consiste à cloner des cellules d'un patient et à utiliser celles de l'embryon résultant pour recréer des cellules, tissus ou organes pour soigner ce patient.
On distinguera deux types différents de clonages : -Le clonage reproductif : son but est de créer entièrement un individu identique à la base à un autre individu, mais qui pourrait se développer de manière différente. -Le clonage therapeutique qui consiste à reproduire des cellules distinguées aux fonctions précises.
Seule la dernière étape diffère, dans le cas du clonage thérapeutique, les cellules souches sont prélevées et servent aux recherches, dans le cas du clonage reproductif, l'embryon entier est implanté dans l'utérus d'une mère porteuse.
L'article 15 de la nouvelle loi précise -Est interdite toute intervention ayant pour but de faire naître un enfant, ou se développer un embryon humain, qui ne seraient pas directement issus des gamètes d'un homme et d'une femme." et précise aussi Art. L. 2151-2.
L'inconvénient majeur du clonage est que l'on crée un individu planifié d'avance pour ressembler biologiquement à un individu existant.
Étant donné que le clonage porte atteinte à la dignité et à l'intégrité d'êtres humains perçus à la fois comme individus et comme membres de l'espèce humaine, cet article interdit lui aussi le clonage d'êtres humains. 4.
Le clonage est une technique qui permet, par exemple, d'obtenir des animaux sans passer par la reproduction sexuée c'est à dire sans la rencontre de deux gamètes. Autrement dit le clonage est une reproduction asexuée.
Ensemble des techniques qui permettent d'isoler un fragment d'acide nucléique dans un organisme donné, de le multiplier (clonage) et de le réintroduire dans le génome d'un autre organisme.
Technique permettant d'obtenir en laboratoire des lignées de cellules ou des embryons à partir d'une cellule, sans qu'il y ait fécondation.
Il est ainsi facile de comprendre les deux avantages principaux du clonage végétal pour l'homme : 1/ reproduire à l'identique un grand nombre de fois la même plante (par ex les plantes ornementales), en se passant de la reproduction sexuée, source de variabilité; 2/ pouvoir reproduire des espèces dont la reproduction ...
Dorénavant, l'article 25 de la loi du 6 août 2004 dispose : « Est également interdite toute constitution par clonage d'un embryon humain à des fins thérapeutiques. » Cette interdiction, insérée par cette loi à l'article L.
Après le Royaume-Uni en janvier 2001, le Corée du Sud a autorisé le clonage thérapeutique en décembre 2003. En février dernier, des scientifiques de la péninsule affirmaient être les premiers au monde à avoir réussi à cloner un embryon humain pour la recherche sur les cellules souches.
Il n'en est pas de même du clonage reproductif chez l'individu. Cette méthode est rejetée quasi unanimement et sans équivoque car non-éthique et irresponsable au niveau médical. Selon les conventions nationales et internationales, le clonage à des fins de production artificielle d'un individu est interdit.
Aucun être humain n'a encore été cloné, même si certaines personnes essaient d'y parvenir. Le premier mammifère cloné a été la brebis Dolly, morte au début de 2003. Depuis, on a créé des clones de moutons, de vaches, de lapins, de cochons… Quand on clone un animal, on en réalise une copie.
Le clonage est un mode artificiel de reproduction non sexué. Pour diverses raisons, il est apparu intéressant d'obtenir des clones d'animaux. Le clonage qui a donné naissance à la brebis Dolly avait pour but de faciliter l'obtention de protéines médicaments dans le lait de mammifères transgéniques.
Le clonage reproductif consiste à prélever l'ADN d'une cellule d'un individu et à l'injecter dans un ovocyte péalablement vidé de son contenu génétique; cette "cellule-oeuf" reconstruite est transférée dans une mère porteuse, qui donnera naissance à un clone de l'individu initial.
Malformations, vieillissement et mort prématurés, utilisation de femmes comme cobayes et dérives mercantiles, le clonage d'un bébé humain comporte risques médicaux et éthiques, selon les spécialistes.
Le premier clonage réalisé avec des cellules adultes est réalisé par John Gurdon, en 1961 en Angleterre, en utilisant des cellules de l'intestin d'une autre grenouille appelée Xenopus.
Le clonage issu d'une manipulation humaine existe depuis les années 1950. Jusqu'à la naissance de la brebis Dolly en 1997, le clonage s'effectuait par scission d'un embryon composé de deux cellules, ou d'embryons plus tardifs.