Contraire : conséquent, juste, logique, normal, raisonnable, raisonné, rationnel, sensé, suivi, sûr. 2.
Qui est contraire à la raison, au sens commun, qui est aberrant, insensé : Ce raisonnement absurde aboutit à un non-sens. Il est absurde de croire aux revenants.
Absurdus. On fait venir habituellement absurdus de ab et surdus, sourd ; mais on ne voit pas comment cela pourrait signifier absurde. Dès lors on a cherché ailleurs : absurdus a le même sens que absonus, et signifie par conséquent qui sonne mal, d'où absurde.
Antonymes : démence, déraison. Ce qui est conforme à une norme de vérité. Exemple : il veut toujours avoir raison. Antonymes : tort, erreur.
Contraire : apocryphe, captieux, contestable, douteux, erroné, fantaisiste, fantasmagorique, faux, inexact, mensonger, présumé, prétendu. – Littéraire : fallacieux. 2.
Contraire : bouché, brumeux, chargé, fumeux, gris, nébuleux, noir, nuageux, obscur, opaque, sombre, trouble.
Contraire : probabilité, réalité, vérité.
Contraire : bataille, combat, conflit, guerre, hostilités, insurrection. 2. État de concorde.
Contraire : abominable, affreux, chétif, difforme, disgracié, disgracieux, hideux, inesthétique, informe, ingrat, laid, malingre, mauvais, vilain. – Familier : atroce, moche, sale.
CONTRADICTEUR, subst. masc. Personne qui contredit, souvent oralement, une opinion, une affirmation. Ses plus verbeux contradicteurs étaient ceux qui ne parlaient jamais à la tribune (De Vogüé, Les Morts qui parlent,1899, p.
Vieux a pour antonymes (contraires) : jeune, neuf, nouveau, récent... Des mots de la même famille : envieillir, envieillissement, vieillard, vieillerie, vieillesse, vieillir, vieillissement...
Autrefois appelé hystérie, l'histrionisme est aujourd'hui défini comme un trouble de la personnalité très expansif qui vise à combler ou entretenir un besoin permanent d'attention.
Contraire : âgé, d'un certain âge, croulant, décati, décrépit, déliquescent, gâteux, hors d'âge, mûr, ramolli, sans âge, sénile, vieux.
Contraire : aide, bien, bienfait, service.
Eugène Ionesco (1909-1994), Académicien, membre du Collège de Pataphysique, révolutionne l'art dramatique. Chef de file du théâtre de l'absurde, son oeuvre qui voit s'effondrer le langage, exprime un sentiment de vide métaphysique.
Le raisonnement par l'absurde (ou apagogie) est un raisonnement qui permet de démontrer qu'une affirmation est vraie en montrant que son contraire est faux. Il s'appuie sur la règle logique que : Si "non P" est faux, alors P est vraie.
La solution est pratique : à la place d'une théorie de la valeur de la vie, projet impossible à cause des limites de la raison humaine, Camus « dessine » des « styles de vie ». Vivre ainsi « sans appel », c'est maintenir la tension difficile, mais essentielle, entre les « esquives » de la mort et de l'espoir.
L'absurde prend sa source dans la Seconde Guerre mondiale, qui laisse les hommes désemparés quant au sens de leur existence. Il se caractérise par le sentiment d'être étranger au monde et par le constat de l'absurdité de la condition humaine.
Contraire à la logique, à la raison ou au sens commun. Exemple : Un raisonnement absurde.
Qu'est-ce que l'absurde selon Camus ? Lorsque Camus parle de l'absurde, il fait référence à l'absurdité de la condition humaine. Selon Camus, l'homme cherche toujours un sens au monde, un sens à son existence sur terre, un sens à ses actions. Or le monde dans lequel nous vivons n'a pas de sens.
NARCISSE2, subst. masc.
– Populaire : dégoiser, jaspiner. Contraire : se taire. 2.
Contraire : brin, fraction, morceau.
Contraire : châtier, condamner, punir, réprimer, sanctionner.
Nom commun. Sentiment ressenti lorsqu'une autre personne manifeste de la joie ou ressent du plaisir. Bonheur ressenti lorsqu'un être aimé aime quelqu'un d'autre, par opposition à la jalousie.