Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha[1] à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
Le bouddhisme est une voie individuelle dont le but est l'éveil, par l'extinction du désir égotique et de l'illusion, causes de la souffrance de l'homme. L'éveil est une base à l'action altruiste.
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
n'est pas une religion. Il est tout sauf une religion. Il s'agit de faire comprendre qu'il n'y est pas question de « Dieu » et, plus précisément, que le bouddhisme n'a rien à voir avec des religions de type monothéiste, avec ces religions « occidentales » que sont le judaïsme, le christianisme ou l'islam.
La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l'enseignement de la doctrine et l'union de toutes choses. Elle peut apparaître comme motif dans l'empreinte de pied Bouddha.
Les bouddhistes sont les fidèles du bouddhisme. Le bouddhisme est né au Népal à Lumbini. C'est pourquoi cette religion est principalement pratiquée en Asie. Une grande partie des bouddhistes vivent en Chine soit environ 105 millions.
Les États comptant le plus grand nombre de bouddhistes au monde sont la Chine, la Thaïlande, la Birmanie, le Japon, et le Cambodge. Les pays ayant les plus petites communautés bouddhistes sont – entre autres – l'Angola, la Bolivie, l'Égypte, les Fidji, et Maurice.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
Dans la mythologie chinoise, l'estomac est le reflet de l'âme. Par conclusion, le gros ventre de Bouddha serait à l'origine de son gros cœur, de sa bienveillance et de son amour pour autrui. Ce Bouddha au gros ventre symboliserait donc l'abondance, la plénitude, la richesse et la prospérité.
Shiva est considéré comme le dieu suprême et le créateur de l'univers dans le shivaïsme. Il est mentionné dans la mythologie hindoue que l'origine, la destruction et le maintien de l'univers sont associés à la danse de Shiva. Le concept de Shiva peut être repéré dans plusieurs traditions bouddhistes.
Fonctions et attributs
Shiva est le dieu de la destruction de l'illusion et de l'ignorance. Il représente la destruction, mais celle-ci a pour but la création d'un monde nouveau : Shiva transforme, et conduit la manifestation à travers le « courant des formes ».
Ganesh ou Ganesa est l'un des dieux les plus connus et les plus sacrés du panthéon hindou. Facilement identifiable en raison de sa tête d'éléphanteau, il est invoqué avant toute action afin qu'il abatte les obstacles qui pourraient en entraver le bon déroulement.
Yashodhara (glorieuse) est la cousine et l'épouse principale de Gautama, mère de son fils Rahula. Connue par les Jatakas (légendes de la vie du Bouddha), elle serait devenue du vivant de Gautama une ascète, une nonne prééminente et l'un des quatre arahants de son entourage possédant l'intuition absolue.
L'enterrement bouddhiste et conception de la mort
Elle est perçue comme une libération et permet de rentrer dans un état de paix appelé également le Nirvana. De plus, le décès d'un être humain n'est que le début d'une nouvelle existence car le bouddhiste croit à la réincarnation du nom de punarbhava.
La vie des femmes dans l'ère culturelle bouddhiste traditionnelle est généralement divisée en trois temps : celui de l'enfance, celui de l'épouse, et celui de la mère de famille. Aux seuils de ces trois temps se trouvent la naissance, le mariage et la maternité.
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.
Il est aussi possible d'avoir une statue de bouddha chez soi pour symboliser la prospérité, la richesse, la plénitude ainsi que la sagesse. Par ailleurs, avoir une statue de bouddha chez soi peut être aussi lié à une pratique spirituelle, à une communion avec l'illuminé, à partir de la méditation.
Les lions et tigres sont les rois de la doctrine bouddhique car ils ont réussi à soumettre les êtres avec leur amour, leur compassion et leur sagesse. Les lions et tigres, comme les gardiens des temples, sont représentés par deux à l'entrées des enceintes de temple ou de lieux sacrés.
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
Un bol ; une robe double ; une robe du haut ; une robe du bas ; une ceinture (pour fixer sa robe autour de la taille) ; une aiguille à coudre avec du fil (pour raccommoder ses robes) ; un rasoir (pour se raser le crâne et la barbe) ; un filtre à eau (pour utiliser de l'eau sans tuer d'êtres, pour filtrer les impuretés ...
Dans la tradition bouddhiste, le mariage vient de la volonté de deux personnes (et de leurs familles) d'officialiser leur relation. Afin de pouvoir s'unir l'un à l'autre, les fiancés devront obtenir l'accord de leurs parents respectifs.