faire évoluer les modes de vie vers un modèle plus durable ; garantir la santé et le bien-être de toutes et tous ; inciter les citoyens à participer pour atteindre les ODD ; travailler pour la transformation durable des sociétés, la paix et la solidarité à l'échelle internationale.
Contrairement au développement économique, le développement durable est un développement qui prend en compte trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Les trois piliers du développement durable qui sont traditionnellement utilisés pour le définir sont donc : l'économie, le social et l'environnement.
Agir pour une transition juste, en luttant contre toutes les discriminations et inégalités et en garantissant les mêmes droits, opportunités et libertés à toutes et à tous.
L'amélioration des conditions de travail : garantir des conditions de travail justes et durables pour les travailleurs. Le bien-être et la qualité de vie : favoriser un mode de vie sain et équilibré pour tous. L'égalité et droits humains : garantir l'égalité des droits et la dignité humaine pour tous.
Ces indicateurs se rapportent aux quatre piliers du développement durable : économique, social, environnemental et institutionnel.
Le développement durable est un processus qui concilie progrès social et économique, et protection de l'environnement, dans le but de ne pas compromettre les capacités des générations futures. En une phrase on y retrouve l'idée de durabilité et celle de justice sociale.
Les indicateurs « phares » de développement durable
Taux de croissance du PIB par habitant 2. Émissions totales de gaz à effet de serre 3. Part des énergies renouvelables dans la consommation intérieure brute d'énergie 4. Consommation d'énergie des transports et PIB 5.
Les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), ou environmental, social and governance en anglais, sont les 3 piliers que les investisseurs analysent dans leurs décisions d'investissement lorsqu'il s'agit de la performance extra-financière des entreprises.
En France, l'Insee fait néanmoins figurer le PIB comme l'un des onze indicateurs de la stratégie. nationale de développement durable.
La précarité des ressources en eau douce, la gestion des déchets, les changements climatiques, l'élévation du niveau des mers constituent autant de défis à relever qui nécessitent des ressources financières et humaines dont ne disposent pas ces pays.
Ces 3 piliers RSE sont : économique, social et environnemental. C'est sur ces axes que la stratégie de développement durable d'une entreprise va se baser et à partir desquels les plans d'action vont être créés.
Réduire la consommation des ressources (matières premières, eau, énergie…) incorporées dans les produits et ainsi réduire les quantités à recycler en fin de vie. Remplacer les ressources non renouvelables par les ressources renouvelables.
Les principaux indicateurs d'efficacité marketing sont les suivants : Indicateurs internes et externes : part de marché, taux de notoriété, fidélité des clients, coûts d'acquisition client (CAC), valeur de vie client ou Customer Lifetime Value (CLV), etc.
L'acronyme ESG signifie environnemental, social et de gouvernance. Ces trois catégories modifient la façon dont les gens envisagent l'investissement à l'échelle mondiale.
En plus des critères financiers, les critères ESG jouent un rôle accru dans les décisions d'investissement. Ils constituent un indicateur important des risques potentiels au sein d'une entreprise, risques qui pourraient avoir un impact négatif sur le prix des parts et des obligations.
Le célèbre sigle ESG désigne les critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance utilisés pour analyser et évaluer le degré de prise en compte des enjeux de développement durable dans la stratégie des entreprises.
L'ESG (Environnement, Social et Gouvernance), l'alter ego de la RSE qui permet l'analyse extra-financière d'une entreprise. Environnement, social, gouvernance, des notions qui forment également l'acronyme ESG, dont on entend souvent parler lorsqu'on évoque la RSE.
C'est Kofi Annan qui a « inventé » et popularisé les critères ESG en 2004, dans le cadre du Pacte mondial des Nations unies.