je (j' devant un verbe commençant par une voyelle ou un h muet) Forme atone du pronom personnel, sujet du verbe à la première personne du singulier, désignant le locuteur, la personne qui parle, sans distinction de sexe : Je mange.
Les pronoms personnels, possessifs et démonstratifs
la personne (je, tu, il, nous, etc.) ; le genre (lui, elle) ; le nombre (lui, eux) ; la fonction (il, le, lui, y, en).
Pronom de la première personne du singulier.
Les pronoms personnels j', je (1re personne du singulier) et toi (2e personne du singulier) sont des pronoms nominaux.
"Je" renvoie au locuteur (ou, pour un texte écrit, au scripteur, au narrateur...) ; il est toujours singulier, exclusivement sujet, et invariable. "Tu" renvoie à l'interlocuteur (ou, pour un texte écrit, au destinataire, au narrataire...) ; il est toujours singulier, exclusivement sujet, et invariable.
– Les pronoms personnels de la 1re personne du singulier ou du pluriel (je, nous) révèlent un regard intérieur, donc subjectif. Ils caractérisent un texte expressif ou narratif quand le narrateur devient un personnage qui prend partie à l'histoire. Je sentis monter la colère en moi : nous étions trahis par nos pairs.
L'utiliser est assez simple. Quand le but est de faire passer un sentiment personnel par rapport à une chose exécutée -ou non- par quelqu'un, il suffit d'utiliser le « je ». Comme dans le cas d'une situation remédiable, par exemple.
Forme des PRONOMS indéfinis : personne, rien, aucun(e), d'aucun(e)s, nul(e)s, l'un(e), l'autre, l'un(e) et l'autre, ni l'un(e) ni l'autre, pas un(e), plus d'un(e), plusieurs, tout, on, quelqu'un(e), quelque chose, autrui, certain(e)s, autre chose, chacun(e), tout un chacun, d'autres.
pronom personnel et nom masculin invariable. Pronom personnel de la première personne du singulier des deux genres, au cas sujet (➙ me, moi). Je parle. J'entends.
On reconnaît qu'un mot est un verbe quand on peut mettre, devant ce mot, un des pronoms : je, tu , il, nous, vous, ils…. ou encore : il faut, on peut, on doit, etc. Ainsi chanter, dormir, voir … sont des verbes car on peut dire : je chante, il faut dormir, on peut voir,….
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
« Qui », « que », « dont » et « où » sont tous des pronoms relatifs.
Les pronoms possessifs
Mine (le mien, la mienne, les miens, les miennes), yours (le tien, la tienne, les tiens, les tiennes), his-hers-its (le sien, la sienne, les siens, les siennes), ours (la nôtre, le nôtre, les nôtres), yours (la vôtre, le vôtre, les vôtres).
L'analyse du pronom doit mettre en évidence sa fonction, sa nature, son genre et son nombre, sa personne pour les PRONOMS possessifs, les PRONOMS personnels, les PRONOMS relatifs, les PRONOMS interrogatifs.
Forme interrogative de "je peux" qui induit que le sujet questionne sur sa possibilité de faire quelque chose. Exemple : Puis-je vous parler en privé madame, ce que j'ai à vous dire ne peut être entendu par vos hôtes.
On utilise les pronoms démonstratifs pour désigner la chose ou la personne dont on parle. Il en existe plusieurs formes : celui (au masculin singulier), celle (au féminin singulier), ceux (au masculin pluriel) et celles (au féminin pluriel). Il existe également des pronoms démonstratifs neutres : cela, ça, ce, ceci.
Chose qu'on ne saurait définir mais dont l'existence est intuitivement appréhendée : Elle avait un je-ne-sais-quoi de touchant.
« Moi je », « nous on », « personnellement » : il s'agit de formes d'insistance sur l'égo qui sont devenues des tics de langage dans la plupart des discussions. Faire précéder le pronom « je » du pronom tonique « moi » peut être un effet de style.
Faire précéder le pronom atone je du pronom tonique de même personne moi peut être un effet de style qui permet de mettre en valeur le sujet et de souligner une opposition avec les autres personnes en présence.
De 3 à 4 ans, l'enfant apprend à utiliser les pronoms personnels « je », « tu », « il », « elle », « on », « vous », « ils » et « elles ». Par exemple, un tout-petit peut dire : « Elle veut un biscuit » ou « On mange des biscuits ».