Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
C'est le Googolplex qui nous intéresse : un 1 suivi de Googol zéros, pour être plus explicite : un 1 suivi de 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 zéros !!!
1 000 000 000 000 000 se lit "un million de milliards", ou un billiard. 1 000 000 000 000 000 000 se lit "un milliard de milliards".
Au-dessus du milliard, on trouve le billion (12 zéros), le billiard (15 zéros), le trillion (18 zéros), le trilliard (21 zéros), le quadrillion (24 zéros), le quadrilliard (27 zéros)... » Billions.
Un milliard est égal à 1000 millions : 1 000 000 000 Il faut 6 zéros pour écrire un million. Il faut 9 zéros pour écrire un milliard.
On peut ainsi construire ainsi de très grands nombres entiers en utilisant trois ou quatre symboles. En résumé, l'imagination mathématique de l'Homme n'a qu'une seule limite : l'infini.
Un trillion est l'entier naturel qui vaut 1018 (1 000 000 000 000 000 000) dans l'échelle longue, soit mille billiards ou un milliard de milliards, ou encore un million de millions de millions.
Puis un quadrillion qui est un million de millions de millions de millions. Puis un quadrillard qui est mille quadrillons. Puis un quintillon qui est un millions de millions de millions de millions de millions. Puis un quintillard qui est mille quintillons.
En chiffres ou en lettres
Dans les textes suivis, les grands nombres (mille, million, milliard, billion, billiard, trillion, etc. )
(Mathématiques) Un million de millions, ou mille milliards, selon l'échelle longue. 1012, c'est-à-dire 1 000 000 000 000.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
Quant aux numéros Chance les plus rares, le 5 et le 1 sont les grands champions.
Le premier nombre parfait est 6. En effet 1, 2 et 3 sont les diviseurs propres de 6 et 1+2+3=6. 28 est également un nombre parfait : 1+2+4+7+14=28. Les nombres parfaits sont rares, il n'en existe que trois inférieurs à 1000 qui sont 6, 28 et 496.
Sans surprise, c'est le 7, considéré par beaucoup comme un chiffre magique ou chanceux, qui a remporté le suffrage. 7, comme dans les sept péchés capitaux, les sept jours de la semaine, le septième ciel, les sept merveilles du monde, les sept couleurs de l'arc-en-ciel…
Les chiffres (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) et le système décimal (selon leur place dans un nombre, ces chiffres sont des unités, des dizaines, des centaines…) ont été inventés par les Indiens. Au 9e siècle, les Arabes trouvent que ces chiffres facilitent beaucoup les calculs et ils les diffusent dans le monde entier.
Symbole du mégaeuro, unité monétaire valant un million d'euros.
donc le plus petit nombre entier est l'infini négatif et le plus grand nombre entier est l'infini positif.
Dans l'échelle courte, un billion vaut mille-millions 1, un trillion vaut mille-billions, et ainsi de suite.
Un billiard est l'entier naturel qui vaut 1015 (1 000 000 000 000 000) ou 1 000 0002,5, soit 1 000 billions ou 1 million de milliards. Par exemple, « 1 288 269 950 042 115 » représente 1 billiard 288 billions 269 milliards 950 millions 42 mille 115.
Le préfixe SI pour mille est « kilo ». C'est aussi un raccourci comme k : 30 000 peut être écrit 30 k. Le mot mille, en tant que numéral cardinal, est invariable en français.
Vous avez peut-être déjà vu cette idée séduisante : nos chiffres correspondraient au nombre d'angles contenus dans chacune de leur forme.
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.
Ce sont les Babyloniens qui vont les premiers utiliser le zéro (vers le IIIe siècle après J. -C.), non pas comme un nombre ni même un chiffre, mais en tant que marqueur signifiant l'absence.