Des agonistes dopaminergiques : pramipexole, rotigotine, ropinirole. Ces médicaments, également utilisés dans la maladie de Parkinson à plus fortes doses, permettent de diminuer les mouvements des jambes pendant la nuit chez les personnes atteintes de ce syndrome.
Le plus souvent, des psychotropes (surtout antidépresseurs et neuroleptiques) sont impliqués.
Placer un oreiller sous les jambes
Pour soulager les douleurs et les gênes provoquées par le syndrome des jambes sans repos, et faciliter la circulation du sang, le dormeur peut placer un oreiller sous ses jambes, afin de les surélever légèrement.
Traitements : le syndrome des jambes sans repos peut-il disparaître ? Aucun traitement ne guérit définitivement ce syndrome. Aucun traitement ne guérit définitivement ce syndrome. Pour soulager momentanément ces impatiences, il faut marcher, s'étirer et effectuer des mouvements de jambes, éventuellement les masser.
Le Zincum metallicum 5CH pour les jambes sans repos est très prescrit à raison de 5 granules 3 à 4 fois par jour. Ajouter Mercurius solubilis 9CH si vos nuits sont très agitées. Si l'impatience de vos jambes s'améliorent par le mouvement, ajouter Rhus toxicodendron 7CH.
Marcher est souvent la seule solution pour soulager temporairement ces sensations désagréables, aussi appelées «impatiences».
On soupçonne une origine génétique, car il existe des familles qui sont plus affectées. Chez les personnes atteintes par le syndrome des jambes sans repos, il existerait un déséquilibre dans la production de dopamine, une substance utilisée par les cellules nerveuses pour communiquer entre elles (un neurotransmetteur).
Les pathologies vasculaires et nerveuses :
insuffisance veineuse : sensation de jambes lourdes. présence de varices : veines dilatées et tortueuses. une sciatique (ou inflammation du nerf sciatique) : la douleur part d'une fesse et descend dans la jambe en suivant le trajet du nerf sciatique.
Si vous ressentez des douleurs dans les jambes lorsque vous dormez, cela peut être dû à une mauvaise posture. Tout comme lorsque nous dormons longtemps sur notre bras ou notre jambe et que la circulation sanguine s'arrête, dormir longtemps dans une certaine posture peut entraîner une gêne au niveau des jambes.
Quelles en sont les causes ? Le syndrome SJSR primaire aura une cause plutôt génétique. On croit que c'est trouble du système nerveux central (SNC). Il n'est pas causé par des troubles psychiatriques ni par le stress, mais peut contribuer ou être exacerbé par ces conditions.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Les veinotoniques pour soulager les jambes lourdes
soit des extraits de plantes (hamamélis, ginkgo biloba, mélilot, marron d'Inde, vigne rouge, etc.). Ils visent à soulager les symptômes causés par une mauvaise circulation veineuse, tels que les jambes lourdes.
Quels sont les symptômes du syndrome des jambes sans repos ? Les personnes qui souffrent d'impatiences se plaignent d'un besoin impérieux de bouger les jambes, voire de fourmillements, de picotements ou de sensations de courant électrique, essentiellement au repos : au lit, dans un fauteuil, au spectacle, etc.
Plus haut dans les jambes, les mollets se contractent et facilitent eux aussi le retour veineux. De légers gonflements des jambes, souvent localisés au niveau des chevilles ou au-dessus des pieds.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Cette douleur aux jambes peut avoir une cause musculaire, être le symptôme d'une maladie (phlébite) ou encore une mauvaise circulation. Elle peut aussi amplifier avec la chaleur quand on souffre d'insuffance veineuse.
Le port d'une attelle. Le port de bas de contention. Des séances de kinésithérapie, à la fois pour soulager les symptômes (douleurs, gonflement) et pour rééduquer votre jambe grâce à des exercices spécifiques. Enfin et plus rarement, une intervention chirurgicale.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Les anti-inflammatoires stéroïdiens, eux, sont des corticoïdes, dérivés du cortisol et de la cortisone, et ont un effet plus puissant. " Parmi les anti-inflammatoires stéroïdiens, on trouve le prednisone, prednisolone, méthylprednisolone ,ou encore, avec un effet plus prolongé, le bêtaméthasone ou le dexaméthasone.
Cette substance opioïde est intéressante pour soulager les douleurs modérées à intenses qu'elles soient chroniques ou aiguës. On peut, par exemple, l'utiliser en cas de lombalgie ou de lumbago (douleur dans le bas du dos) ou de zona en phase aiguë.
Les douleurs aux jambes, souvent confondues avec des douleurs de croissance chez les enfants, peuvent être un symptôme de cancer. Les différencier peut sauver des vies. En Europe et aux États-Unis, les cancers les plus courants chez les jeunes sont les leucémies, les tumeurs cérébrales et les lymphomes.
Le froid. L'application de compresses ou de linges froids contribue à réduire l'enflure et à apaiser la douleur à court terme. Appliquez-les sur la région sensible ou enflée pendant 10 minutes, toutes les heures. Suivez bien les directives du médecin si vous utilisez cette méthode chez les bébés et les jeunes enfants.