Le nombre de cyberattaques visant les entreprises augmente de manière impressionnante. Le personnel en constitue à la fois le principal point faible et le meilleur rempart.
Quel est le meilleur rempart lors d'une cyberattaque ? L'une des portes d'entrée les plus faciles à franchir pour les cyberattaquants est de nature humaine. Une entreprise peut disposer des outils de protection les plus sophistiqués, ceux-ci n'auront aucune utilité si le personnel n'est pas suffisamment vigilant.
Les chiffres sont formels : commerçants, artisans, TPE et autres PME sont de plus en plus victimes de cyberattaques, ce qui peut conduire à un ralentissement, voire un arrêt total de leur activité. On vous dit comment vous protéger.
Une cyberattaque peut émaner de personnes isolées ou d'un groupe de pirates informatiques, éventuellement étatique. Une cyberattaque est presque systématiquement malveillante, mais peut s'inscrire dans une approche éthique, lorsqu'elle a pour seul but de mettre en évidence une faille de sécurité.
1- Porter plainte pour permettre l'enquête et l'identification des criminels. Police et gendarmerie disposent toutes deux d'un département consacré à la cybercriminalité. ComCyberGend, le nouveau service de gendarmerie créé en août 2021, comprend 7000 cyber-enquêteurs.
Fondements de la sécurité informatique
L'intégrité : garantir que les données sont bien celles que l'on croit être. La disponibilité : maintenir le bon fonctionnement du système d'information. La confidentialité : rendre l'information inintelligible à d'autres personnes que les seuls acteurs d'une transaction.
La démarche de prévention doit d'abord s'appuyer sur les principes de prévention primaire : supprimer l'origine du risque ou le réduire. Lors de la conception de la machine, le fabricant ou le concepteur doit veiller aux caractéristiques géométriques, physiques, mécanique de l'équipement.
Les sites concernés sont les suivants : Dubsmash (162 millions de données), MyFitnessPal (151 millions), MyHeritage (92 millions), ShareThis (41 millions), HauteLook (28 millions), Animoto (25 millions), EyeEm (22 millions), 8fit (20 millions), Whitepages (18 millions), Fotolog (16 millions), 500px (15 millions), Armor ...
Les attaques passives sont les attaques où l'attaquant se met en écoute non autorisée, en surveillant simplement la transmission ou la collecte d'informations. L'oreille indiscrète n'apporte aucun changement aux données ou au système.
Une vulnérabilité zero-day ou 0-day (en anglais zero-day vulnerability) désigne une faille de sécurité informatique dont l'éditeur du logiciel ou le fournisseur de service n'a pas encore connaissance, ou qui n'a pas encore reçu de correctif.
L'objectif des pirates du numérique est de gagner la guerre de l'information en installant la crainte dans les esprits.
Une cyberattaque se déroule en six étapes : Le cybercriminel, ou auteur de l'attaque, utilise un e-mail, un fichier, une vulnérabilité dans une application ou dans la configuration du réseau pour s'infiltrer dans l'entreprise et y installer un logiciel malveillant, ou malware. La cible est alors compromise.
La démarche de prévention des risques professionnels relève d'obligations réglementaires. Elle s'appuie sur la mise en place d'une politique de prévention, qui repose sur le respect des personnes, la transparence dans la mise en œuvre et le dialogue social.
Les vers se propagent d'un ordinateur à un autre, mais à l'inverse des virus, ils sont capables de voyager sans intervention humaine. Un ver profite des fonctions de transfert d'informations ou de fichiers de votre système, qui lui permettent de voyager sans intervention.
Les différents types de sécurité informatique sont les pare-feu (ou firewall) qui servent à protéger le système informatique connecté à Internet des tentatives d'intrusion. Les logiciels antivirus qui servent à prévenir et empêcher un virus d'infecter les systèmes informatiques et de leur porter préjudice.
Feu Aaron Swartz est considéré par beaucoup comme l'un des plus grands et des plus célèbres pirates de tous les temps. Swartz était plus un activiste Internet, ou hacktiviste, qu'un cybercriminel motivé par l'argent.
gendarmerie nationale : le centre d'action contre les criminalités numériques (C3N) du Service central du renseignement criminel (SCRC) : [email protected].