L'Acamprosate et la Naltrexone constituent des traitements de première intention, utilisables dès que possible après l'arrêt de la consommation d'alcool dans l'objectif de réduire l'appétence pour l'alcool et ainsi les risques de rechute.
Trois médicaments sont approuvés pour le traitement des patients aux prises avec des troubles de l'usage de l'alcool dans le cadre des soins primaires : la naltrexone. l'acamprosate. le disulfirame.
2 médicaments diminuent l'envie de boire, ce sont des antagonistes des opiacés : Acamprosate : Campral ® Naltrexone : Nemexin ® Revia ®
Transpiration excessive, tremblements, perte d'équilibre sont les principaux symptômes. L'irritation, des actes violents ou encore, les delirium tremens sont les manifestations psychiques qui peuvent conduire au déclic".
Depuis février 2013, le nalméfène (Selincro®) dispose d'une autorisation européenne de mise sur le marché pour le traitement de la dépendance à l'alcool. Il est remboursé par la Sécurité sociale depuis septembre 2014. Ce médicament agit sur le système de récompense en diminuant l'envie irrépressible de boire.
« L'alcoolisme est une maladie que l'on peut soigner. Le chemin pour le patient est long et difficile, avec des rechutes et des moments de découragement, mais il peut s'en sortir », explique le Dr Bernard Basset de l'Association nationale de prévention en alcoolisme et addictologie (Anpaa).
Reconnaître sa dépendance à l'alcool est une première étape qui peut prendre du temps. En effet, pour sortir de l'alcoolisme, il faut apprendre à changer de vie et souvent modifier son rapport aux autres et donc être prêt à le faire et avoir conscience qu'il y a un problème.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Passez en revue vos habitudes et modifiez celles qui vous incitent à boire de l'alcool. Privilégiez les activités où vous n'allez pas être tenté de boire. Retardez le premier verre en commençant par des boissons non alcoolisées. N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées.
Un ventre qui dégonfle
"Un ventre gonflé est typique des buveurs de bière par exemple, ce sont des gens très minces avec des gros ventres à cause de l'alcool, de son action déshydratante sur l'organisme et du manque d'eau" argue le spécialiste.
Des services d'écoute téléphonique. Si vous avez un problème avec l'alcool, il faut oser en parler. Vous pouvez le faire, de manière anonyme, en appelant des services d'écoute. Fil Santé Jeunes : 0800 235 236 (tous les jours de 9h à 23h).
Les tricycliques de type imipramine sont plus efficaces dans les dépressions sévères, mais les SSRI restent le traitement de première intention chez le patient dépendant de l'alcool en raison de leur bonne tolérance, de leur faible toxicité et de leur faible pouvoir sédatif même s'ils ne présentent pas une efficacité ...
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
Le kudzu ne présente aucun danger aux doses recommandées.
Il a suggéré un autre substitut à l'alcool : l'O-acetylpsilocin, qui est une alternative à la psilocybine – une substance hallucinogène. La psilocybine a été notée 6 sur 100 par l'étude britannique, ce qui en fait la drogue la moins dangereuse selon les chercheurs.
Le pastis. Roi de la pétanque et du soleil, c'est aussi et surtout le roi du sucre. Avec 274 calories pour 100 ml, il se situe en haut du classement des alcools les plus caloriques.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Le fait d'avoir un foie gras peut réduire sa capacité à accomplir des fonctions vitales, et peut donc engendrer une grande fatigue. Après seulement 2 semaines d'abstention, votre foie commence à se régénérer et dans les 4 à 8 semaines suivant l'arrêt de votre consommation, votre foie peut être complètement rétabli.