Le manioc se reproduit par bouturage. Chaque bouture mesure entre 20 et 30 cm et porte entre quatre et six bourgeons. On enterre le gros bout, droit ou penché.
On enlève d'abord les tubercules secondaires en laissant au moins une partie du tubercule principal. Après cela, la terre est ramenée et tassée à la base des tiges pour permettre le développement des tubercules plus jeunes et immatures. Le macabo est traité dans ce cas comme une culture pérenne.
Sa température optimale de culture est supérieure à 20 °C. Très sensible au gel, le macabo meurt en dessous de températures inférieures à 10 °C. La pluviosité idéale pour sa culture se situe entre 1500 et 2000 mm de pluie. Le macabo pousse mieux sur des sols profonds et légers, riches en matière organiques.
L'engrais pour Macabo contient un mélange spécifique d'éléments nutritifs, chacun d'entre eux étant présent en quantité relativement faible. Un engrais idéal aura un rapport N-P-K de 3-1-2.
Pauvre en calories, riche en fibres et en glucides complexes, c'est un aliment rassasiant qui peut être utilisé comme une alternative aux céréales. Enfin, il peut être consommé par les personnes souffrant de la maladie cœliaque, car ils sont dépourvus de gluten.
Step 1 Pelez le macabo et passez-le sous l'eau pour enlever le maximum de saleté et de mucilage (gluant). Râpez finement le macabo à l'aide d'un gretta. Step 2 Mettre le macabo râpé dans une terrine profonde.
Ce sont des plantes herbacées acaules, aux feuilles en forme d'oreilles d'éléphant, pouvant atteindre 1 à 2 mètres de haut et produisant des cormes (sorte de tubercules formés par l'épaississement de la racine principale). Certaines plantes de macabos peuvent ou non, connaître une floraison.
Les engrais verts croissent rapide- ment et sont arrachés à 2 ou 3 mois, puis paillés entre les rangs de manioc. Les plantes à engrais vert Canavalia ensiformis et Crotalaria juncea se sont montrés particulièrement efficaces pour augmenter le rendement du manioc.
Pour s'épanouir, le manioc a besoin d'une bonne exposition au soleil, d'un arrosage fréquent et d'un sol léger, meuble et riche en éléments minéraux. Les boutures sont composées de tiges de bois de manioc d'environ 30 cm, que l'on plante de façon oblique avant de les recouvrir de terre.
Dès le mois d'avril, il est possible de planter le taro en pleine terre. Dans ce cas, enfoncez le tubercule à une profondeur de 20 à 40 cm afin qu'il ne remonte pas en surface ou alors pensez à buter la plante au fur et à mesure de son développement. Le dachine ou taro ne supporte pas l'arrêt momentané de l'arrosage.
L'igname préfère un sol riche en matière organique, bien drainé et légèrement acide. Évitez les sols argileux ou sablonneux. Labourez le sol en profondeur et retirez les pierres, les mauvaises herbes et les racines. Ajoutez de la matière organique comme du compost ou du fumier pour enrichir le sol.
Au Cameroun, le manioc est consommé en tubercules et également transformé sous plusieurs formes parmi lesquelles : le tapioca, le couscous et le bâton de manioc, très prisé chez les Eton. Encore appelé « Bobolo », le bâton de manioc est aussi appelé « Ndeng » chez les Eton et « Miondo » chez les Douala.
Traditionnellement, la multiplication de l'igname s'effectue par voie végétative. La plante naît d'un fragment de tubercule appelé bouture ou semenceau mis en terre à la plantation. En effet, les ignames sont fructifiées en plantant des tubercules entiers ou des morceaux de plus de 200 g.
5.2 Plantation et matériel végétal. Dans la majorité des cas, l'igname est reproduite de manière végétative : des tubercules entiers ou des fragments de tubercules (semenceaux) issus de la récolte précédente sont plantés pour engendrer une nouvelle plante qui fournira la récolte suivante.
En culture potagère sous climat tropical, le malanga est planté en zone humide sur des buttes de 50 cm et 30 à 50 cm de diamètre, distancées en moyenne de 80 cm en tous sens, après avoir déforesté la zone. La plantation se fait en début de saison des pluies le cas échéant.
- Le manioc a un cycle de 12 à 24 mois. Si vous voulez le manger, récoltez-le à partir de 12 mois. - Si vous voulez le vendre à une usine, récoltez-le entre 15 et 20 mois. - Si vous voulez le donner aux animaux, récoltez-le très tard, lorsque les racines sont plus grosses.
Le manioc se cultive à la chaleur, en plein soleil dans un sol léger, meuble, voire pauvre. Il résiste à la sécheresse mais peut aussi pousser en terre humide si elle est bien drainée.
du sol: Le meilleur sol pour la culture du manioc doit être profond et loameux. Ce type de sol est riche en éléments nutritifs, contient peu de graviers, retient l'eau et est facile à travailler.
Le maintien des tubercules en champ ou leur étalage après la récolte, sous un ombrage adéquat sont les méthodes les plus pratiquées.
Elles contiennent également, des oligo-éléments tels que : Fer, magnésium, calcium ; de la vitamine C, un bon alliage pour booster l'organisme. Ces feuilles contiennent également beaucoup de fibres alimentaires et très nutritives. Selon lui, consommer les feuilles de manioc quotidiennement ne pose aucun problème.
Ses feuilles possèdent également une action antibactérienne. Le manioc est également recommandé aux personnes diabétiques, car il a un faible indice glycémique. Sa forte teneur en fibres permet de ralentir la vitesse d'absorption du sucre dans le sang.
Pour les chips, au contraire, les pommes de terre doivent être rondes et assez petites, afin de ne pas gêner l'étanchéité de la fermeture des sachets de 80 grammes.
Arrachage du Macabo. Au Cameroun, les deux espèces sont cultivées au Sud d'une zone limitée, grosso-modo, au Nord par la chaîne de l'Adamaoua. Elles préfèrent les régions i pluviométrie dépassant 1.000 mm et les terres pTofondes, mais bien drainées.
A Yaoundé, capitale du Cameroun, on connaissait la vente du manioc en tubercules. Depuis quelque temps, il faut compter avec la pâte de manioc. Les points de vente de pâte sont les marchés de Mvog-Mbi, Essos et Mokolo. Dans le centre urbain, on trouve ce produit très tôt le matin au petit marché dit Pont de la gare.