Si la question est de forme affirmative, on emploie oui (cf. (1Ba)). Si elle est de forme négative, on emploie si (cf. (2Bb)).
Alors que, répondre « oui » à une question interro-négative confirmerait « la négation » de la question ce qui ne veut rien dire puisque la réponse est positive. Le « si » est donc là pour transformer une question négative en réponse positive.
La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative.
Ouais, si, ok, bien sûr, tout à fait…
Apprenez à répondre à une question avec « oui », « si » et « non » grâce à cette aide. Question à la forme affirmative : Vous allez à l'école ? Réponse affirmative : Oui, je vais à l'école. Réponse négative : Non, je ne vais pas à l'école.
«Si oui» s'écrit toujours en deux mots ; en revanche «sinon» s'écrit en un seul mot.
Exprime une réponse positive à une interrogation non négative… oui n.m. inv. Expression de l'approbation, de l'accord.
n. conj. s'il s'avère que, s'il est vrai que, dans la mesure où ... adv.
Oui, d'accord, c'est entendu.
Définition de ok : « ok » est utilisé pour marquer l'accord du locuteur avec ce qui a été dit ou avec quelqu'un. Il est synonyme de (c'est) d'accord, bien, bon, oui, parfaitement. « Ok » est une locution adverbiale qu'on retrouve parfois écrite « O.K. », « OK », ou « okay ».
(dans une réponse positive à une question) ➙ certainement, certes ; familier ouais ; → comment donc, bien sûr, sans doute, d'accord, entendu, OK.
Synonyme : en admettant que, au cas où, dans le cas où, en supposant que. – Littéraire : supposé que.
"pourquoi pas" et "oui, pourquoi pas" sont identiques. On dit pourquoi pas pour répondre à quelqu'un qui a formulé une hypothèse à laquelle on n'avait pas pensé, et qui, à première vue, est judicieuse. C'est donc positif !
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc.
Des expressions de rechange : Bien sûr ! Pas du tout ! Absolument !
Dans un questionnaire, on appelle question dichotomique une question fermée à laquelle le répondant doit choisir entre deux possibilités, le plus souvent Oui/Non. Toutefois, on peut aussi trouver : Pour/Contre, D'accord/Pas d'accord, Vrai/Faux, Homme/Femme, etc.
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)... Marque la dénégation après une interrogation négative et s'emploie dans...
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
Si tu veux, nous finirons ce travail ensemble. Si tu voulais, nous finirions ce travail ensemble.
Oui, en français, est un adverbe utilisé pour marquer son accord, marquer une réponse positive ou pour répondre à un appel. Il dérive du latin hoc ille (celui-ci), par l'ancien français oïl (prononcé [wi] ou [wil]).
L'interjection oui-da est assez ancienne et provient du vieux français. Oui-da était utilisé surtout par les gens du peuple pour signifier leur accord enthousiaste et sans retenue face à une proposition. Exemple : On va bien manger ce soir, oui-da !
Où ? Ne pas confondre sinon (en un mot) et si non (en deux mots). Pour ne plus se tromper, il faut retenir que l'expression si non (en deux mots) suit forcément l'expression si oui. En l'absence de si oui, on écrit sinon en un seul mot.
Adverbe. Mot utilisé pour apporter une réponse affirmative ou marquer l'accord sur une proposition. Il s'emploie aussi au début d'une phrase qui ne répond pas à une question exprimée ou au cours d'une phrase, pour marquer ou accentuer le caractère affirmatif de cette phrase.