Chaque année, les autorités fixent le prix de la fidya. Par exemple, en France en 2020, il a été fixé à 7 euros.
Il suffit de multiplier le nombre de jours que vous n'avez pas pu jeûner par la somme de 7€. Ainsi, si votre état de santé s'est dégradé après 5 jours de jeûne, rendant cette pratique proscrite dans votre cas, votre Fidya se calcule comme suit : 25 x 7 = 175€ (dans le cas d'un Ramadan de 30 jours).
La Fidya et la Kaffâra sont calculés sur le prix moyen d'un repas. Pour Ramadan 2024, leurs montants s'élèvent à 9 €.
Quand dois-je sortir la Fidya ? La Fidya, une compensation pour ceux qui ne peuvent pas observer le jeûne du Ramadan pour des raisons de santé ou d'autres motifs valables, doit être versée avant la célébration de l'Aïd al-Fitr.
La Fidya est destinée aux personnes incapables de jeûner le mois de ramadan dont les femmes enceintes, les personnes âgées ou encore les personnes atteintes d'une maladie chronique qui ne peuvent jeûner sans mettre en danger leur santé.
Ainsi, il faut jeûner 60 jours consécutifs, soit deux mois sans interruption. Il faut savoir que toute rupture durant cette période remet le compte à zéro et vous devrez recommencer depuis le début. Il est également possible de nourrir 60 personnes dans le besoin pour votre kaffara.
La Fidya s'adresse aux musulmans qui ne peuvent pas observer le jeûne du mois de Ramadan en raison de circonstances particulières. Pour chaque jour non jeûné, une contribution de 9€ est requise, équivalent au coût d'un repas pour une personne dans le besoin.
La fidya se donne exclusivement en denrées alimentaires et non en argent. Oustaz Haladou Yayaha, secrétaire général de l'association pour la culture et l'orientation islamique du Niger, nous explique que cette compensation n'est toutefois pas obligatoire pour les personnes qui sont elles-mêmes démunies.
Vous ne pouvez pas donner votre zakat aux personnes qui sont à votre charge comme votre père, votre mère ou votre grand-mère. Quant à votre sœur, si elle est mariée et se trouve dans le besoin, il n'y a pas de mal à lui donner la zakat.
Pour ceux qui ne peuvent pas jeûner, il existe plusieurs pratiques permettant de vivre pleinement ce mois béni. Faire des douas (invocations) : Les douas sont un moyen puissant de se connecter à Allah.
La somme qu'il faut pour vivre correctement,en Algérie par mois est de 700 à 1000. Quel arabe dois je apprendre pour vivre dans un pays maghrébin (notamment l'Algérie)?
Tous les ans, tout musulman dont la richesse dépasse le Nissâb, doit s'acquitter de 2,5 % du montant total de ses avoirs sur une année lunaire ou bien 2,579 % si l'on se base sur l'année solaire. Il suffit donc de multiplier le montant de l'épargne par 0,025.
Nourrir un pauvre par jour non jeûné
La compensation consiste, comme l'indique le verset 184 de la sourate La Vache, à nourrir un pauvre (par jour non jeûné). Au Coeur de la Précarité propose de distribuer en votre nom un repas complet à une personne dans le besoin.
Nourrir dix pauvres avec des denrées de bonne qualité comme celles consommées par sa propre famille. On remet à chaque pauvre un Saa' de la nourriture de base locale tels le riz et consorts. C'est l'équivalent de 1,5 kg approximativement.
QUI SONT LES BÉNÉFICIAIRES DE LA ZAKÂT AL MAAL ? « Les aumônes sont destinées aux pauvres, aux nécessiteux, à ceux qui sont chargés de la collecter, à ceux dont les cœurs sont à gagner, au rachat des captifs, aux insolvables, à ceux qui se consacrent à la cause d'Allâh et aux voyageurs.
L'avis très majoritaire est que l'enfant et l'incapable de discernement sont également tenus de s'acquitter de la Zakat si leurs richesses atteignent le nissab. Ce sont leurs tuteurs ou parents qui doivent la payer pour eux.
Si le mari de votre sœur n'a pas les moyens suffisants pour couvrir les dépenses nécessaires de sa femme, dans ce cas, il vous est permis de donner de la Zakat à votre sœur. Dans le cas contraire, vous pouvez lui donner de l'aumône surérogatoire, sachant que la récompense de l'aumône offerte est plus grande.
Le Coran condamne le prêt à intérêt, comme Aristote, sans ambiguïté : « Ô croyants ! Craignez Dieu et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire, si vous êtes croyants. Et si vous ne le faites pas, alors recevez l'annonce d'une guerre de la part de Dieu et de son messager. » (Sourate II, versets 278 et 279).
D'autres pratiques autorisées
Par exemple, il est autorisé de se ronger les ongles, les mères peuvent allaiter et les pratiquants peuvent avaler leur salive. Certaines personnes sont également exemptées de jeûner comme les femmes enceintes ou allaitantes, les personnes âgées ou malade ou encore les préadolescents.
L'islam donne aussi à l'enfant le droit de se reposer et de se consacrer à ses loisirs. Les parents ont le devoir de l'aider et de l'encourager. 3. La quatrième période s'étend de l'âge de 7 ans jusqu'à l'âge de la puberté, appelée « l'âge du discernement », ou de la prise de responsabilité, le taklif [18]
- Pour les voyageurs et les personnes malades de manière passagère, ils doivent rattraper les jours non jeûnés. - Pour les personnes très âgées et/ou malades (incapables de jeûner), ils doivent compenser (« fidya ») par la nourriture d'un pauvre le nombre de jours non jeûnés.
Son montant est fixé cette année à 7 € par personne. Vous pouvez aussi d'ores et déjà payer la fidya pour les personnes malades en incapacité de jeûner, elle est fixée à 5€ par jour non jeûné, soit 150€ pour le mois de Ramadan.
Votre Zakat est distribuée uniquement en nourriture sous forme de colis contenant : du riz, pois chiches, lentilles, boulghours, pâtes et farine. Les distributions se font dans les 3 jours qui précédent le jour de l'Aïd.
Une alimentation saine et équilibrée est sobre si on n'est pas riche : de l'eau pour la boisson ; les protéines : les oeufs (acides aminés complets et pas chers), les sardines, les lentilles et autres légumineuses bien associées, la viande le dimanche, le poisson le vendredi.