Le diaphragme, muscle en forme de dôme qui sépare la cavité thoracique de l'abdomen, a le rôle le plus important pour faire rentrer l'air dans les poumons (ce qu'on appelle inhalation ou inspiration). Ce muscle est attaché à la base du sternum, aux côtes basses de la cage thoracique et à la colonne vertébrale.
Les muscles de la respiration sont les muscles qui déplacent les côtes et modifient ainsi le volume de la cage thoracique. Les muscles qui soulèvent les côtes sont appelés muscles inspiratoires. Les muscles qui abaissent les côtes sont appelés muscles expiratoires.
Le triangula- ris sterni est le muscle expiratoire le plus important de la cage thoracique. Certains muscles du cou et de la ceinture scapulaire participent aussi à la respiration. Ainsi, les scalènes contribuent à l'inspi- ration durant la respiration calme.
Le rôle physiologique du diaphragme est fondamental dans la ventilation pulmonaire des mammifères. Il est le plus volumineux et le plus important des muscles inspiratoires : sa contraction, en créant une dépression dans la cavité thoracique, permet l'entrée d'air dans les voies respiratoires.
Quand on veut ventiler avec la partie supérieure du thorax, il faut utiliser des muscles dits accessoires que sont les muscles intercostaux para sternaux (=muscles intercostaux externes) et les scalènes. La contraction de ces muscles augmente le volume de la partie supérieure du thorax.
Normalement, la respiration est un processus automatique, contrôlé inconsciemment par le centre respiratoire situé à la base du cerveau. La respiration continue pendant le sommeil et, généralement, même pendant les états d'inconscience.
"La respiration abdominale est utile parce qu'elle améliore l'oxygénation du corps. La qualité de la respiration étant meilleure, le corps va mieux, et si le corps va mieux l'équilibrage du système nerveux est meilleur, ce qui annihile la production du cortisol, hormone du stress.
L'appareil respiratoire comprend les voies respiratoires (c'est-à-dire les voies aériennes supérieures – fosses nasales, cavité buccale, pharynx, larynx –, la trachée et les bronches) et les poumons, enveloppés de la plèvre. Le thorax, par sa cage osseuse, ses nerfs et ses muscles, participe aussi à son fonctionnement.
Les poumons ont pour principale fonction d'assurer les échanges gazeux entre l'air et le sang et de participer à la distribution de l'oxygène. Le poumon fait partie de l'appareil respiratoire qui comprend en outre les voies aériennes, les vaisseaux pulmonaires et les muscles respiratoires.
Régulation de la respiration
La respiration est régulée par le cerveau ou plutôt par le centre respiratoire situé dans le bulbe rachidien. Est déterminante en cela la réaction des chémorécepteurs quant au taux de dioxyde de carbone contenu dans le sang.
Certaines allergies comme l'allergie au pollen ou à la moisissure ou encore l'obésité (qui favorise la sédentarité) peuvent être source de gêne respiratoire. Une difficulté à respirer peut également être bénigne et causée par une forte anxiété. C'est l'un des symptômes d'une crise d'angoisse.
Le rôle physiologique du diaphragme dans la ventilation pulmonaire est fondamental : sa contraction assure l'expansion de la cage thoracique et crée une dépression dans les poumons, entraînant une entrée d'air ou inspiration. L'expiration est passive, par décontraction du diaphragme.
Respiration. Face à une fenêtre, debout, posez les mains sur les épaules et levez les coudes et le menton en prenant une grande inspiration par le nez, permettant de dégager les côtes. Les descendre sur l'expiration. Faire cet exercice pendant 4 minutes.
Le diaphragme, quant à lui, est un muscle large et mince en forme de dôme qui contrôle la respiration. Il sépare le thorax (cœur et poumons) des viscères de l'abdomen (estomac, intestin, foie, rate). En voix chantée, afin de contrôler finement la pression et le débit d'air; l'expiration devient elle aussi active.
Les muscles intercostaux et le diaphragme contrôlent le volume de la cage thoracique. Le cartilage qui lie les côtes au sternum est flexible. C'est entre autres ce qui permet à la cage thoracique de modifier sa forme lors des mouvements respiratoires.
L'un est qualifié de pariétal et tapisse l'intérieur de la cavité thoracique. L'autre feuillet est viscéral et se trouve au contact direct des poumons. Les deux feuillets sont séparés par un espace vide appelé la cavité pleurale.
essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie)
Le meilleur type de respiration est la respiration abdominale (ou respiration diaphragmatique). C'est à ce moment-là que vous respirez profondément, en vous appuyant sur votre diaphragme et votre ventre, plutôt que sur votre poitrine.
Soufflez longtemps, rentrez le ventre, abaissez la cage thoracique. On peut mettre un livre sur la cage thoracique pendant l'expiration pour la sentir s'affaisser, puis le poser sur le ventre au moment de l'inspiration pour le sentir se gonfler.
L'abdomen ne se gonfle que parce que le diaphragme, en se tendant et s'abaissant, pousse les viscères, qui viennent appuyer sur la paroi abdominale. On parle donc de respiration abdominale par simplification, et pour éviter une respiration trop haute.
La seule action qui permet de nettoyer vos poumons c'est d'arrêter du fumer et d'attendre que vos micro-cils évacuent les mucosités pour dégager les voies respiratoires. 10 à 15 ans après la dernière cigarette, là alors l'espérance de vie reviendra à l'identique des personnes n'ayant jamais fumé.
Traitements : - Réconfortez la victime et gardez votre calme ; - Conseillez-lui de respirer en contractant ses lèvres et de prendre des respirations de plus en plus lentes et profondes ; - Si la crise ne s'arrête pas, appelez les secours.
La respiration abdominale pour déstresser !
Fermez les yeux et détendez-vous le plus possible avant de démarrer, en respirant calmement. Inspirez par le nez en gonflant votre ventre comme un ballon, doucement, sans forcer.
Le centre respiratoire reçoit l'apport des chimiorécepteurs, des mécanorécepteurs, du cortex cérébral et de l'hypothalamus afin de réguler le rythme et la profondeur de la respiration.