« La Trinité est le mystère d'un seul Dieu en trois Personnes, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, reconnues comme distinctes dans l'unité d'une seule nature, ou essence, ou substance », mystère qui n'est connu que par révélation, et « même révélé, ne peut pas être pénétré par l'intelligence créée ».
Les principaux mystères imposés à la foi sont : la Trinité, l'Incarnation, la Rédemption. Une telle notion du mystère dictait une double tâche aux théologiens chrétiens : d'une part, sauvegarder l'existence de mystères proprement dits et, d'autre part, mettre en évidence que les mystères ne contredisent pas la raison.
1. L'éthique s'intéresse aux valeurs, au devoir, aux conditions de réflexion, au fondement de l'obligation ou des valeurs. Cette question du fondement est même, pour beaucoup de philosophes, la question éthique par excellence. L'éthique parle beaucoup aussi de conscience et de liberté, de loi et d'obligation.
Le terme « déontologie » vient du grec deontos, qui veut dire « devoir ». Dans son sens courant, il renvoie aux obligations que des personnes sont tenues de respecter dans leur travail.
Si l'on entend par morale un discours rationnel et systématisé sur ce qu'il est permis de faire ou non, en effet. On parlera de morale stoïcienne, de morale chrétienne, de morale kantienne, etc. L'éthique se veut au contraire une réflexion en mouvement. La force de la morale, c'est sa cohérence interne.
Confiance absolue que l'on met en quelqu'un, quelque chose : J'ai une foi totale en lui, en ses capacités.
La seule condition requise à la prière est de se mettre à sa disposition dans l'humilité. Un Notre Père pourrait suffire pour lancer la conversation. « [Jésus] leur répondit : Quand vous priez, dites : Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour.
Rachat du genre humain par le sacrifice du Christ qui a permis la rémission des péchés et donné un espoir de vie éternelle en Dieu. Mystère de la Rédemption.
Pour le christianisme, le souffle divin, ou Saint-Esprit (Spiritus sanctus en latin), est l'une des trois personnes de la Trinité, ainsi que le symbole de Nicée-Constantinople l'a formulé au IV e siècle. Il est fêté lors de la Pentecôte.
Le Fils dit en parlant de lui : Il procède du Père (Jean 15, 26), parce que le Père auteur de sa procession est celui qui a engendré un tel Fils et qui, en l'engendrant, lui a donné que le Saint-Esprit procède aussi de lui.
Il prie dans le désert, il prie sur la montagne, il prie seul ou avec ses amis. Pour lui, prier est une démarche naturelle et essentielle. Il prie Dieu pour le bénir, pour le supplier, ou pour lui donner sa vie…
La Trinité, l'Incarnation, la Rédemption, sont des mystères selon les dogmes catholiques.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.
Faites preuve de foi et dites: Que ta volonté se fasse. Ces expériences, si vous y faites face honorablement, vous préparent pour de plus grandes bénédictions. Dieu, qui est votre Père, a pour but votre bonheur éternel, votre développement continuel, l'accroissement de vos capacités.
Nourris-moi de ta Parole
Seigneur mon Dieu, donne-moi le repentir, mon coeur est en peine, pour que de toute mon âme j'aille à ta recherche, car sans toi je suis privé de tout bien.
Le fruit de la foi est l'amour. Le fruit de l'amour est le service. Le fruit du service est la paix. »
Si la foi est accueil de la vérité révélée par Dieu Un et Trine, la croyance est au contraire une expérience religieuse encore à la recherche de la vérité absolue et donc privée de l'assentiment à Dieu qui se révèle ».
Cette expérience de la perte de foi peut être liée à un souci de véracité et de sincérité vis-à-vis de soi-même : la personne affirme qu'il ne lui est plus possible de croire et que c'est la volonté d'être vrai qui l'oblige à y renoncer. Citons un exemple, impressionnant, tiré de la littérature.
Ensemble de principes moraux. Synonyme : morale, moralité.
Les valeurs morales sont les règles et principes qui édictent rigoureusement la conduite et les mœurs appropriées pour être bon, faire le bien et vivre ensemble dans le respect fondamental de l'autre.
Le mal moral qualifie donc un acte, qui non seulement est contraire à la loi, mais aussi, et surtout, qui repose sur un principe mauvais (i.e. : la décision d'agir contrairement à la loi morale, la perversion de la loi morale).