Dans l'Ancien Testament, Dieu se présente principalement comme Yhwh, le Dieu d'Israël, dont il a fait son peuple et avec lequel il a contracté une alliance.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.
Étymologie. Mot hébreu יהוה de quatre consonnes (le tétragramme divin) signifiant « l'existant, qui fait devenir », de הוה Hawah, « devenir ».
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Le nom « Dieu le Père » est donc considéré par les chrétiens non pas comme l'existence d'un Dieu différent des autres, mais comme l'une des personnes de Dieu. D'ailleurs, l'Évangile nomme Dieu le Père uniquement par « Père » ; c'est la théologie qui, dans un but de simplification, affirme « Dieu le Père ».
YHWH/JÉHOVAH : L'Éternel
Il n'y a jamais eu personne avant Lui et Il n'y aura jamais personne après Lui.
Quis ut Deus ? est une question rhétorique en latin signifiant « Qui est comme Dieu ? » et qui est une traduction littérale du nom Michel (hébreu : מִיכָאֵל, translittéré Micha'el ou Mîkhā'ēl).
A leur demande Moïse leur révéla le nom de ce dieu qui à travers les siècles resta l'apanage d'Israël. Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH.
Ainsi, la forme Yeshoua (ישוע) est souvent employée dans les traductions du Nouveau Testament en hébreu. Le nom Yeshoua est aussi utilisé dans des textes historiques d'hébreu israélites pour parler d'autres Joshua mentionnés dans des textes en grec comme Jésus ben Ananias ou Jésus ben Sira.
Étymologie. De l'hébreu ancien יהוה , YHWH, tétragramme hébraïque qu'il était défendu de prononcer, et qui se prononce « Yahwéh ».
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
Le Puissant dont parle Marie est El-Shaddaï, qui s'était justement manifesté sous ce nom à Abraham, Isaac et Jacob, avant même que ne fût révélé à Moïse le nom de YHWH (cf. Exode 6,3). Et l'Islam ne contredira pas, lui pour qui Dieu est aussi le Tout-Puissant et le Miséricordieux.
La Bible hébraïque désigne Dieu sous le nom de Yahvé(YHWH en écriture hébraïque), que l'on peut traduire par «Celui qui suis» ou plus simplement par « Je suis celui qui est ».
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains. 2. Représentation d'une divinité : Des dieux en pierre.
Pluriel de 'éloha, qui signifie « Dieu ». On trouve ce mot dans la Bible et aussi dans les textes babyloniens d'Amarna.
Dans un texte des apocryphes, les apôtres rapportent le récit que Jésus leur a fait de la vie et de la mort de son père Joseph.
Rejet des pratiques « païennes »
Les Témoins de Jéhovah se distinguent également des autres confessions chrétiennes par le rejet d'un certain nombre de pratiques ou de symboles qu'ils considèrent comme païens.
Les Témoins de Jéhovah croient en un Dieu unique, qu'ils adorent sous le nom de Jéhovah, une forme latine médiévale du tétragramme « YHWH ». Ils récusent le dogme de la Trinité, commun aux chrétiens, qui n'est selon eux pas biblique.
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
La Septante diffère de la Bible hébraïque non seulement par la langue utilisée, mais aussi par le fait qu'elle incorpore des livres supplémentaires, dits « deutérocanoniques », et que le texte des livres « canoniques » diverge parfois.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.