assujettir, soumettre, subjuguer.
assujettir, soumettre, subjuguer.
1. Réduire quelqu'un, une collectivité à la servitude, à un état de dépendance complète : Asservir les peuples vaincus. 2. Priver quelqu'un, quelque chose de sa liberté d'action, de son indépendance : Une organisation sociale qui asservit l'homme.
Étymologie de « asservir »
À et servir ; dans le XVIe siècle, on a conjugué ce verbe comme servir ; ce qui est la vraie conjugaison ; et conjuguer asservir comme nous faisons, c'est confondre la conjugaison qui vient de ire latin avec celle (par exemple fleurir) qui vient de iscere. Du latin adservire .
État de dépendance. Synonyme : aliénation, carcan, dépendance, esclavage, humilité, obédience. – Littéraire : astreinte, chaînes, joug, servilité, servitude, sujétion, vassalité.
Anton. affranchir, délivrer, émanciper, libérer.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Le substantif oppression correspond aux deux verbes (l'oppression causée par le spasme des bronches ; lutter les armes à la main contre l'oppression) alors que le substantif oppresseur et l'adjectif oppressif correspondent seulement à opprimer.
Fait pour quelqu'un ou pour quelque chose, d'être tenu dans un état de dépendance vis-à-vis de quelqu'un d'autre ou de quelque chose d'autre.
Le but de l'asservissement est de contraindre le système à se comporter d'une manière particulière. Il n'est pas possible physiquement d'obtenir d'un système qu'il réponde de manière instantanée. On peut cependant le contraindre à répondre plus rapidement. On peut aussi limiter son dépassement.
Rendre (qqch.) fixe, immobile, stable. ➙ attacher, fixer, maintenir.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Un asservissement consiste à exécuter la même chose mais de manière automatique avec des composants électronique (le plus souvent). On retrouve alors la même structure dans un système asservi. Ce type de système est appelé aussi système bouclé.
Différence entre asservir et réguler
Attention à ne pas confondre: ▪ Asservissement : poursuite par la sortie d'une consigne variable dans le temps, ▪ Régulation :la consigne est constante, le système compense les perturbations.
Il faut pouvoir mesurer ce qu'il se passe pendant que le moteur est en marche, calculer une position ou une vitesse, en déduire une erreur, puis la corriger pour atteindre la consigne de sortie. Il faut donc se servir de codeurs incrémentaux, acquérir les données, faire les calculs et commander le moteur en même temps.
Renoncement volontaire à quelque chose, perte qu'on accepte, privation, en particulier sur le plan financier : Faire de grands sacrifices pour ses enfants.
1. Réprobation publique qui s'attache à des actions jugées condamnables : Couvrir quelqu'un d'opprobre. 2. Cause, sujet de honte pour quelqu'un : Fils qui est l'opprobre de la famille.
asservir, écraser, oppresser; anton. délivrer, libérer.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
« Tout » peut être substantivé, c'est-à-dire considéré comme un substantif (un nom), lorsqu'il est précédé d'un déterminant. « Le tout » a le sens de « l'ensemble », de « la totalité ».
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier. Tous (toutes) est également un déterminant quantitatif, mais pluriel. Ces déterminants en accompagnent généralement un autre afin de former un déterminant complexe comme tout le, toute sa, tous ces, toutes les, etc.
indulgent, indulgente
Qui pardonne aisément les fautes, qui n'est pas sévère, dur : Être indulgent à l'égard des élèves. 2. Qui manifeste l'indulgence : Appréciation indulgente.
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.