Entre 1482 et 1701, la Belgique (ainsi que le Luxembourg, les Pays-Bas et le nord de la France) est sous domination espagnole et forment les Pays-Bas espagnols. En 1648, les Provinces-Unies (noyau des Pays-Bas actuels) deviennent indépendantes et, en 1659, les régions de Lille et Dunkerque sont cédées à la France.
1. La Belgique fut sous domination française de 1792 à 1815.
Le 4 août 1914, l'Allemagne envahit la Belgique, violant ainsi la neutralité de notre pays pourtant garantie par les grandes puissances européennes. Par le jeu des alliances, la Grande-Bretagne déclare la guerre à l'Allemagne et le conflit devient mondial.
Le Royaume-Uni des Pays-Bas (1815-1830)
En réalité, certains peuples belges étaient originaires des régions germaniques à l'est du Rhin, mais furent vraisemblablement soumis à de fortes influences celtiques, alors que d'autres peuples étaient d'origine celte.
La raison principale fut l'attrait que représentait à l'époque le français comme langue de haute culture et des échanges internationaux. Le français était alors la langue officielle de la Belgique.
Pour bien commencer la journée, rien de tel qu'un goedemorgen (bonjour) cordial et chaleureux pour se donner un petit coup de pep's !
A la suite de cette révolution, la Belgique se sépare des provinces du nord. Le Gouvernement provisoire déclare l'indépendance, le 4 octobre 1830, et le 3 novembre de la même année 30 000 électeurs censitaires élisent le Congrès national.
Classé 17e, ex aequo avec le Lichtenstein, la Belgique est un très bon élève selon l'ONU. Elle est, d'ailleurs, rangée dans la catégorie « très haut indice de développement humain ».
Luxembourg. Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande. Royaume du Monténégro. Empire du Japon.
Dès les premiers temps de la guerre, l'Allemagne envahit à l'ouest le Luxembourg, la Belgique et le nord-est de la France, et à l'est une partie de l'Empire russe (Pologne, Lituanie, Lettonie), tandis que les colonies allemandes sont envahies par les forces britanniques, françaises, belges et japonaises.
“La Belgique est artificielle. Elle a été créée en 1830 en guise d'Etat tampon entre la France et l'Allemagne. On a regroupé deux peuples complètement différents et on leur a donné un roi étranger qui a installé son royaume ici.
Ce fut Lothaire II qui obtint la partie septentrionale, le territoire entre la mer du Nord et le Jura, auquel s'attacha spécialement le nom de Lotharingie (Lotharii regnum).
Sous Philippe le Bon, duc de Bourgogne unificateur des provinces de ce que l'on appelle d'un nom très général les « Pays-Bas bourguignons », apparaît la dénomination Leo Belgicus, signifiant Lion belgique, ce qui se traduit sur les cartes par un lion dressé dont la silhouette recouvre plus ou moins la forme ...
Tout simplement parce qu'il n'y a jamais eu de nation belge à proprement parler. La Belgique est un Etat artificiel, créé en 1830. Jusqu'à la Révolution française, «l'espace Belgique» restait composé des Pays-Bas autrichiens et de différentes principautés indépendantes, comme Liège ou Stavelot.
Mais que dire à son partenaire pour lui témoigner de son amour ? Dans ce cas, la traduction de « Je t'aime » en flamand est « 'K zien je geeren ». Une expression incontournable dans une vie de couple flamande.
Dank u wel, mevrouw!
« S'il-vous plaît » peut aussi traduire « merci » en Belgique ! Bref, il est utilisé à toutes les sauces !
La moitié sud du pays, appelée Wallonie, inclut la région de langue française et les quelques territoires germanophones. C'est en Wallonie que se trouvent les villes de Namur, Liège, Charleroi ou encore Mons. Les cinq provinces de Wallonie : Hainaut.
Les trois langues principales sont, par ordre d'importance, le français (75 % de la population belge), le néerlandais (70 %) et l'anglais (40 %). Il importe de remarquer que le français (maternel ou acquis) est parlé par un nombre plus grand de personnes que le néerlandais.
Par ordre d'importance, les langues les plus pratiquées en France en dehors du français, selon l'INED, sont l'arabe dialectal (3 ou 4 millions de locuteurs), les créoles et le berbère (près de deux millions), l'alsacien (548 000), l'occitan (526 000), le breton (304 000), les langues d'oïl (204 000), le francique ...