Le Glorieux par Sa suprématie et par Sa grandeur, El-Aziz veut dire dans un sens celui qui est cher et précieux aux yeux de Ses créatures. Il n'est le serviteur d'aucune créature, et aucune créature ne lui dicte ce qu'Il doit faire. Le grandiose, l'ultime puissant par Sa grandeur et Sa force illimitée.
— La pratique musulmane a déterminé quels sont ces beaux noms sous lesquels il faut invoquer Dieu, et elle a admis qu'il y en a quatre-vingt-dix-neuf, complétés par un centième qui est simplement Allah, ou bien, conformément à la tradition juive, le nom ineffable.
«Les noms les plus aimés d'Allah»
«Il est vrai qu'Abdallah et Abd-Rahman sont les noms les plus aimés d'Allah.» Cette citation est tirée des Hadith, recueils de l'ensemble des traditions relevant des actes et des paroles de Mahomet et de ses compagnons.
Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque.
Jésus est un des prophètes dont le nom – Issa ou Aissa en arabe – est le plus fréquemment cité dans le Coran, puisqu'il se trouve mentionné à 93 reprises.
Moussa est également le seul des prophètes à avoir entendu directement Dieu lorsqu'il reçoit les tables de la Loi sur la montagne, un apanage qui lui vaut le titre de kalîm Allah — « interlocuteur de Dieu ».
Selon les récits traditionnels, le calife Abū Bakr (r. 632-634) est le premier compilateur du Coran. Sur les conseils d'Umar et craignant la disparition des témoins et mémorisateurs du Coran, il aurait chargé l'un des scribes de Mahomet, Zayd b.
Le premier des prophètes de l'islam est chronologiquement Adam, et le dernier est Mahomet, d'où son titre de « sceau des prophètes » (Coran, Sourate XXXIII, verset 40).
Allah dans le Coran
Allah est présent dans le Coran, mais ce texte n'a pas pour but d'exposer les attributs d'Allah. Il est regardé par les musulmans comme la Parole de Dieu, celui-ci y demeure inaccessible bien que ces « perfections transcendantes » soient évoquées.
(Tachkent 1872-Kallaguch, au N. -O. de Djalalabad, 1919), souverain d'Afghanistan (1901-1919).
Malak, Abdoul Ati, Abdoul Nasser, Abdoul Mosleh, Nabi, Nabiya, Emir, Somu, Al-Mamlaka, Malika, Mamlaka, Tabaraka, Nardin, Maya, Linda, Randa, Basmalah, Tulin, Arm, Narij, Rital, Als, Sandi, Rama, Malin, Elin, Alas, Ainar, Loran, Malkitina, Larin, Kibriyal, Laurin, Benyamin, Naris, Yara, Sitaf, Ailin, Loland, Tilaj, ...
Dans l'islam, il correspond au personnage d'Abraham de la Genèse. Il porte le surnom de Hanif, et est communément appelé Khalil Allah (l'ami intime de Dieu) et Sayyidina Ibrahim (notre père/maître Ibrahim).
Al-Baqara — Wikipédia.
Le bien qui t'arrive provient de Dieu ; le mal qui t'arrive ne peut venir que de toi-même. Et qui te fera connaître ce qui est le jour de malheur ? Le jour où les hommes seront comme des papillons qu'on disperse, Où les montagnes seront comme des flocons de laine cardée.
Parfois, c'est le prophète* Mahomet qui parle, mais sous le couvert de Dieu et sur son ordre « Dis ! » ; le plus souvent, c'est Dieu qui parle, avec le « Nous » de majesté.
Sa'd ibn Mu'adh.
Croyance en un dieu unique, faisant de l'Islam une religion monothéiste. Exemple : Le tawhid implique qu'un seul Dieu existe, qu'il ne peut être représenté et qu'il ne peut y avoir d'intermédiaire en Lui et ses fidèles.
Idris (prophète) — Wikipédia.
Hâroun - Aaron. Moussa - Moïse. Al-Yass'a - Elisée. Dhou al-Kifl - Isaiah.
Avec un degré de certitude de 95,4%, l'analyse conclut que les deux feuillets manuscrits du livre sacré ont été rédigés entre 568 et 645 de notre ère. Or, dans la tradition islamique, Mahomet a vécu entre 570 et 632.
Le croissant avec une étoile, aujourd'hui considéré comme un symbole musulman, a longtemps été utilisé en Asie Mineure et par les anciens Turcs non encore islamisés, avant les débuts de l'Islam; selon les archéologues, les fouilles ont montré que les Köktürks utilisaient le croissant et l'étoile comme symbole pour leur ...