Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Quels poissons privilégier pour des oméga 3 sans métaux lourds ? Pour éviter les métaux lourds dans l'alimentation pescetarienne, il est recommandé de consommer des petits poissons gras riches en oméga 3 comme les sardines, les anchois, les maquereaux ou encore le hareng.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
L'inconvénient du saumon sauvage est qu'il est paradoxalement plus contaminé que le saumon d'élevage, notamment en métaux comme le mercure. Cela s'explique par la pollution des océans, et donc par la contamination de l'alimentation des saumons.
À consommer uniquement : le cabillaud issu des stocks de l'Arctique Nord-Est (mer de Barents), de l'Islande et de la mer Celtique. À consommer uniquement : l'églefin issu de stocks de la mer du Nord, de Skagerrak, de l'Atlantique Nord-Est et de l'Islande.
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Le cabillaud est riche en acides gras poly-insaturés, oméga 3 notamment, dont l'effet protecteur sur la santé a largement été démontré. Dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée, la consommation régulière de ce poisson diminuerait le risque d'infarctus du myocarde et d'accidents cardiaques graves1.
Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer. Mais les produits de la mer n'ont pas que du bon. Ils sont aussi chargés en divers polluants, dont le mercure. En consommer trop est associé à un risque accru de maladie de Charcot.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Écosse ou Norvège, quelle différence ? Tout est une question de goût... Si vous cherchez un poisson maigre, légèrement rosé et ferme, tournez-vous vers les saumons élevés en Norvège. Si, à l'inverse, vous préférez un saumon plus orangé, plus gras et à la chair tendre et beurrée, le saumon d'Écosse est fait pour vous.
Toutefois, ces poissons sont particulièrement exposés aux polluants comme les PCB, des composés utilisés dans l'industrie avant 1987, date de leur interdiction en France. Comme ces molécules sont peu biodégradables, elles s'accumulent dans l'environnement et en particulier dans les sédiments marins.
Mieux vaut privilégier le saumon sauvage d'Alaska, où la mer est moins polluée, ou mieux encore, le saumon sauvage de l'Adour. Un véritable produit d'exception, selon Jonathan Goube, MOF poissonnier.
Le cabillaud remporte la palme du poisson le moins "bio" (88 % de poissons non-durables), suivi par la sole et le bar (respectivement 86 % et 80 %).
Certaines espèces se vendent à des prix situés généralement en dessous des 15 euros le kg. Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, le tilapia, le lieu noir, la carpe ou encore le mulet.
Le fait de ne pas manger de poisson est toujours vu comme un manquement à une alimentation équilibrée. Pourtant, le poisson est l'apport principal de métaux lourds, PCB, dioxines et plastiques dans notre alimentation. Tous ces éléments sont extrêmement toxiques à la santé.
1,38 million d'euros. Ce prix d'achat record équivaut à environ 6 000 euros le kilo, ce qui mettrait la simple petite tranche de sushi à environ 260 euros.
Le meilleur choix est encore le hareng, le colin, le lieu noir et les sardines. Parmi les salmonidés, il est préférable de consommer les poissons de la famille coregonus, le saumon rouge et le saumon du Pacifique.
À l'occasion des fêtes de fin d'année, le saumon trône en bonne position sur la table. Une place de choix pour celui qui est plébiscité comme le poisson préféré des Français. Frais ou fumé, au domicile comme au restaurant, chaque Français en consomme plus de 2 kilos par an.