Quant à la cocaïne, elle demeure un produit de luxe pour qui veut se défoncer : 68 euros en moyenne le gramme.
Le rail de coke s'est, en quelque sorte, démocratisé avec la baisse du prix de la matière première, qui oscille entre 60 et 80 euros le gramme. Le trafic est en majorité maritime.
L'excitation, l'hyperactivité et l'agitation qu'elle provoque peuvent être à l'origine d'une insomnie et d'un épuisement physique. La dilatation des pupilles, la bouche sèche, un langage précipité, une mauvaise coordination des mouvements, et des sautes d'humeur permettent souvent de repérer les consommateurs.
La dose typique de cocaïne ou de crack est de 100–200 mg aux taux de pureté obtenu «dans la rue».
La cocaïne est produite principalement dans trois pays : en premier lieu la Colombie, puis le Pérou et la Bolivie. Les chiffres sont approximatifs, même si l'ONU contrôle par satellites les surfaces cultivées : la production s'élève environ à 1000 tonnes pour l'ONU, 1400 tonnes pour les Américains.
La cocaïne était la drogue la plus chère parmi celles présentées dans cette statistique. En 2018, le prix d'un gramme de cocaïne était estimé en France entre 70 et 80 euros. La drogue la moins chère de cette liste était la résine de cannabis avec des tarifs variant entre 5 et 7 euros le gramme.
Dans la liste des drogues qui font maigrir, on retrouve : le cannabis, le CBD, la cocaïne, l'ecstasy ou encore la cigarette...
On dit de quelqu'un qu'il est dépendant lorsqu'il consomme de la cocaïne entre 3 à 5 fois par semaine avec 2 à 3 jours de break entre les prises. Kelly: Pourquoi devient-on accro à la cocaïne dès la première prise?
En 2020, le prix courant du gramme de poudre est de 15 €. Le produit de coupe le plus souvent détecté dans les amphétamines collectées par le dispositif de veille SINTES est la caféine (le produit est dans ce cas appelé « speed »), les teneurs en amphétamine varient de 11 % à 30 %, et celles de caféine de 8 % à 78 %.
Un traitement anxiolytique peut être proposé pour aider à gérer le phénomène de descente et l'anxiété et qui s'est installée. Certaines thérapies comme la TCC (Thérapie Cognitive et Comportementale) ont fait leur preuve dans ce type d'addition.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Le THC, le principe actif contenu dans la marijuana, est le principal responsable de ses dommages buccaux. Les dentistes estiment que cette substance modifie la flore buccale, diminue la production de salive, épaissit et rend la plaque dentaire plus collante et difficile à éliminer.
Sur le plan neuro-psychiatrique, la cocaïne est bien plus forte que les opiacés. Elle entraîne une altération de l'humeur et de la relation aux autres avec des comportements psychiatriques et sociaux impossibles à gérer. Elle rend les personnes paranoïaques et agressives.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Lorsqu'on fume, le THC (le Tétra-Hydro-Cannabinol, la principale molécule active) présent dans le cannabis est transformé par notre organisme et produit des cannabinoïdes. Ils vont stimuler nos régulateurs d'appétit et faire dire à notre cerveau : « MANGER MANGER MANGER ! ! ! ».
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Le "sniff" : La drogue sous forme de poudre est aspirée par le nez à l'aide d'une paille. Ce mode de consommation entraîne fréquemment des irritations des muqueuses nasales, parfois des nécroses des paroies nasales ainsi que des problèmes pulmonaires.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Bien que le MDMA reste le produit principalement recherché dans un comprimé, aujourd'hui, on désigne par ecstasy (ou taz, tata, XTC, plomb, cachetons, bonbons... ) tout cachet contenant des produits stimulants et plus rarement des hallucinogènes.
La cocaïne est une drogue classée dans les stimulants du système nerveux central. Si ses effets entrainent en général "un boost" sur l'organisme, celui-ci a ensuite besoin de récupérer car il a été stimulé par le produit et il est fatigué. C'est ce que l'on appelle "la descente".
160µg c'est pas rien comme dosage surtout pour une première fois, le mieux est de commencer par 1/4 et tu attends 45/60min voir si tu ressens des effets et si non tu regobes un 2e quart. Si après ce 2e quart tu ne ressens rien au bout d'1h alors gobe le dernier 1/2 qu'il te restera.