Sur un véhicule électrique, on estime le rendement à 90 %. Cela signifie que 10 % de l'électricité consommée par le moteur électrique n'a pas été consacrée à sa propulsion, ce qui est très peu.
Pour calculer le rendement d'un moteur, il est nécessaire de diviser la puissance par la puissance absorbée. Dans ce cas, la puissance utile correspond à la puissance électrique qui sort du moteur. De son côté, la puissance absorbée représente la puissance électrique qui entre dans le moteur. Soit R = (Pu/Pa).
Pour être homologués, les moteurs électriques doivent atteindre un niveau de rendement IE2, IE3 ou IE4 en fonction de leur puissance nominale et d'autres caractéristiques, et les conditions vont se durcir dans les années à venir.
Sans pertes rotoriques, moteurs synchrones à aimants permanents et moteurs à reluctance offrent les meilleurs rendements mais exigent une électronique de puissance spécifique.
La formule est donc la suivante : Rendement = Puissance électrique produite/Puissance solaire reçue. La puissance électrique produite s'exprime en watt-crête. La puissance solaire reçue correspond à la surface en m2 multipliée par 1000.
En d'autres termes, le kW, qui correspond à 1 000 W, réfère donc à la puissance d'un appareil tandis que le kWh décrit la consommation de ce même appareil. En pratique, un kWh correspond ainsi à l'énergie consommée par un appareil électrique d'une puissance d'un kW qui fonctionne pendant une durée d'une heure.
La formule est la suivante : (loyer annuel - charges et taxes annuelles) / prix d'achat x 100. Toujours pour l'achat de 100.000 euros avec un loyer annuel de 7.200 euros et des charges de 2.000 euros, le rendement net atteint 5,2% : (7.200 - 2.000) / (100.000 x 100), soit 2 points d'écart avec le rendement brut.
Le rendement énergétique des batteries au plomb est de 70 – 75% : 25% de l'énergie électrique est dissipée, essentiellement sous forme de chaleur, lors des réactions életrochimiques de charge, décharge et auto-décharge.
Ce quatre cylindres 2.0 atmosphérique affiche un rendement de 40 % quand il est seul et de 41 % lorsqu'il est en hybride. Avec de tels chiffres sur un véhicule de série, Toyota annonce tout simplement qu'il s'agit là du moteur essence le plus efficient au monde pour "monsieur tout le monde".
Dans des conditions optimales de fonctionnement, un moteur automobile offre aujourd'hui un rendement maximal : de l'ordre de 36 % pour un moteur à essence, et de 42 % pour un moteur Diesel.
Le rendement est le rapport entre ce que produit quelque chose et ce qu'elle consomme ou représente. C'est aussi le rapport entre le résultat obtenu par une tâche et le temps qui lui est attribué. En physique, le rendement d'un système est le rapport entre son efficacité réelle et son efficacité théorique maximale.
Tous les systèmes réels ont un rendement inférieur à un en raison des irréversibilités qui entrent dans toute transformation réelle. Le seul processus réel dont le rendement peut être égal à 1 est le chauffage d'un volume fermé : toutes les irréversibilités se transforment en chaleur et sont ainsi utiles.
Une augmentation de la puissance réactive d'un moteur augmente la puissance apparente, ce qui entraîne une diminution du facteur de puissance. Plus le facteur de puissance est proche de 1 (ou 100 %), mieux c'est, donc une diminution de la puissance réactive est généralement meilleure pour le rendement.
La puissance d'un moteur se réfère à l'énergie mécanique qu'il déploie. Elle est mesurée en multipliant sa vitesse de rotation (en rad/s) par son couple (en Newton mètre). Pour les moteurs électriques, on parlera également de puissance électrique nominale (puissance mécanique disponible depuis l'arbre moteur).
La puissance nominale ou puissance utile est celle que l'on retrouve sur la plaque signalétique du moteur. Elle correspond à la puissance sortant de l'arbre et qui est délivrée à la machine entraînée. On la calcule en multipliant la puissance absorbée par le rendement.
Le rendement d'un système composé d'un moteur Stirling pour la production d'électricité à l'aide d'un concentrateur solaire peut également atteindre 30%.
Mais le moteur essence qui a fait le plus grand bruit est sans conteste le TCe 120 (H5Ft). On peut lui décerner la palme du moteur le moins fiable du marché ! Décliné en 100, 115, 120, 125 et 130 chevaux et qui équipe de nombreux modèles de Renault, Nissan et Dacia.
Les véhicules thermiques (diesel, essence...) représentent toujours un choix judicieux si vous avez un budget limité et que vous parcourez beaucoup de kilomètres chaque année. Les nouvelles motorisations électriques (100% électrique, ou hybride) sont quant à elles à privilégier si vous avez un budget plus important.
Selon la recherche web, un panneau solaire de 150W à 180W serait nécessaire pour recharger complètement une batterie 12V 100Ah.
Rendement d'un alternateur
Les rendements des alternateurs que l'on trouve dans les centrales électriques sont de l'ordre de 95 %.
Le rendement énergétique d'un appareil ne peut jamais dépasser 100 % . Selon la loi de la conservation de l'énergie, on ne peut pas créer de l'énergie. Un système ne peut donc pas fournir une quantité d'énergie utile plus grande que la quantité d'énergie qu'il a consommée.
Il est important de se rappeler que le rendement affiché n'est pas une fin en soi, mais, il est généralement admis qu'un bon rendement locatif se situe entre 5 % et 10 %, selon vos objectifs patrimoniaux.
Un rendement supérieur à 1 0 0 % signifie que notre rendement réel est supérieur au rendement théorique. Le rendement théorique est la quantité de produit obtenue si tous les réactifs sont transformés en produit.
Le « pouvoir » des intérêts composés
Un rendement stable de 5 % par an signifie que l'on obtient, pour un 1 € placé, 2 € en 14 ans, 2,65 € en 20 ans et 4,33 € après 30 ans. Un rendement stable de 10 % par an signifie que l'on obtient, pour un 1 € placé, 2,59 € en 10 ans, 6,72 € en 20 ans et à 17,45 € en 30 ans !