En mangeant, vous avalez de l'air et plus vous mangez vite, plus vous avalez de l'air. C'est cet afflux d'air qui provoque des désagréments : ballonnements, crampes abdominales ou gargouillis… Ces douleurs bénignes restent gênantes dans la vie quotidienne et peuvent vous stresser.
L'excès de nourriture peut augmenter le risque d'infarctus
On sait que l'ingestion d'une grande quantité de nourriture, surtout si celle-ci est très riche en graisses, peut provoquer, entre autres, une augmentation des triglycérides, ce qui présente un risque pour les personnes à la santé fragile.
De fait, manger lentement favoriserait la perte de poids. C'est en tout cas ce que révèle une étude japonaise publiée mardi 13 février par la revue médicale BMJ Open.
Il faut environ 1 seconde pour mettre les aliments en bouche, 1 seconde pour déglutir, et un cycle masticatoire est environ d'1 seconde. Le nombre de mastications change vite si on passe d'une durée entre deux bouchées à 5 secondes (2 mastications) à 10 bouchées (6 mastications).
Lorsque l'on mange lentement, on savoure son repas. On apprécie les goûts ainsi que les arômes de la nourriture. Cela permet ainsi de détecter rapidement si certains aliments ne sont plus bons à la consommation. Mâcher lentement permet aussi de prendre conscience des besoins de son organisme.
On écoute son corps
On connaît son corps et ses réactions mieux que personne, alors voilà quelques signes auxquels il faut faire attention : – on arrive à saturation d'un certain aliment ou d'un certain goût. – la sensation de plénitude, qui arrive quand on est rassasié et qu'on se sent juste bien.
Si vous mâchez 24 fois, toutes les informations concernant cette nourriture arrivent dans l'organisme et chaque cellule sera capable de juger ce qui est bon et pas bon pour vous, pas en terme de goûts mais ce qui est bon pour votre organisme.
La tachyphagie correspond à l'ingestion particulièrement rapide des aliments, et à un temps court consacré au repas.
Cette idée que l'appétit est plus grand parce que l'estomac s'agrandit lorsque nous mangeons trop de repas copieux est incroyable et fausse. L'estomac est un organe muni de trois couches de muscles aux fonctions diverses.
Une étude vient de confirmer que manger tard le soir s'avère être néfaste pour notre métabolisme et notre horloge biologique interne, augmentant à long terme les risques d'obésité et de surpoids.
L'angor (ou angine de poitrine)
Cette douleur est la conséquence directe de la souffrance du cœur qui ne reçoit plus assez de sang en raison de rétrécissements des artères coronaires. Plus rarement, la douleur survient après le repas, pendant la digestion, ou au repos, la nuit.
Fondamentalement, les bons aliments pour perdre du poids fournissent peu de calories et de nombreux nutriments. Les aliments pour maigrir comprennent les légumes, les fruits, les légumineuses, les féculents, les produits complets, ainsi que les produits laitiers allégés et la viande pauvre en graisses.
La polyphagie, l'hyperphagie ou la suralimentation est un symptôme caractérisé par une faim excessive avec une absence de sensation de satiété, traduisant un excès dans le comportement alimentaire.
L'hydratation
Il faudra ensuite alléger les repas le lendemain en favorisant des aliments et boissons diurétiques : bouillons, soupes, fruits et légumes, infusions, thé vert, eau pétillante, jus de citron, tous favorisent la digestion et l'élimination.
Simplement le fait de mettre son foie au repos, de l'hydrater et de lui apporter les bons aliments permet de le détoxifier naturellement après un repas copieux. Bien s'hydrater, faire un repas léger ou boire de l'eau tiède citronnée constituent une détox en soi.
Caractéristique de la « dyspepsie » ou indigestion, ce trop-plein s'accompagne souvent d'autres inconforts : rots, douleurs abdominales, ballonnements, gaz, nausées et vomissements.
Oui, l'eau dilate l'estomac, mais pas plus que les aliments : elle a donc sa place à table et fait partie du menu sans risque de souffrir de troubles digestifs, à condition, bien sûr, de ne pas boire toute la carafe !
Les maux d'estomac font partie des douleurs très fréquentes et souvent bénignes. Tant qu'ils sont occasionnels et peu intenses, ils ne doivent pas susciter d'inquiétude. En revanche, lorsque les douleurs deviennent intenses, régulières et persistantes, elles doivent faire l'objet d'une consultation.
La prise de poids au niveau du ventre peut provenir de différents facteurs : une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique, l'âge, des facteurs hormonaux comme la ménopause ou l'andropause. En général, les kilos pris au niveau du ventre sont plutôt difficiles à perdre.
Hyperphagie boulimique : quels symptômes ? L'hyperphagie boulimique se manifeste par des épisodes récurrents de crises de boulimie avec perte de contrôle sur le comportement alimentaire mais sans association à des comportements compensatoires.
Généralement, la boulimie prend racine dans des troubles psychologiques, comme l'anxiété ou la dépression. L'hyperphagie boulimique peut également être liée à un mal-être mental, mais il s'agit également d'habitudes alimentaires bien ancrées.
Comme elle l'explique au magazine Bon Appétit : “En vérité, notre corps est fait pour ressentir la faim 3 à 4 heures après un repas. Donc, si vous prenez votre petit déjeuner à 7 heures, il est normal que vous ayez faim à 11 heures. C'est une façon pour votre corps de vous dire, 'Yo, j'ai besoin d'énergie'”.
Trop de sucres de bon matin provoque un pic de glycémie (et donc d'énergie) sur le coup, mais un coup de barre une fois que toute la glycémie a été assimilée et que l'on est en hypoglycémie, à peine quelques heures plus tard. Résultat : on n'a plus rien à digérer, on n'a plus de carburant, on a faim.
Mastication et perte de poids
Vous ignorez sans doute que la mastication est une méthode très efficace pour perdre du poids, grâce à une meilleure digestion de la nourriture que l'on ingurgite et une meilleure assimilation des macronutriments qu'elle nous apporte (sucres, corps gras et protéines).
Une période d'une semaine ou plus sans aucun apport alimentaire entraîne un stress important pour l'organisme. Celui-ci se retrouve dans une situation de survie. Le cerveau est un organe glucodépendant : il consomme quasi exclusivement des glucides pour son fonctionnement.