Les jeunes font partie des premières victimes de la radicalisation et des conflits. Leur participation à la prévention et au règlement des différends est donc essentielle à l'instauration d'une paix durable.
L'étude a également révélé que les jeunes ont besoin d'espaces sûrs et protégés pour poursuivre l'innovation et la créativité qui favorisent la consolidation de la paix. Lorsque les institutions sociales ne fournissent pas de tels espaces, les jeunes sont souvent amenés à créer ces lieux eux-mêmes.
La participation des jeunes et des dirigeants des communautés de jeunes aux efforts de paix, à la prise de décisions et aux processus de réforme institutionnelle leur permet d'influencer de manière constructive les domaines qui se répercutent directement sur leur vie.
Ces principes se renforcent mutuellement : Consentement des parties. Impartialité Non-recours à la force sauf en cas de légitime défense ou de défense du mandat.
Selon la définition de l'ONU, les jeunes constituent la tranche d'âge comprise entre 15 et 24 ans. À l'heure actuelle, ils représentent 18 % de la population mondiale, soit 1,2 milliard de personnes.
La jeunesse contribue à développer la résilience des communautés et à stimuler le progrès. Sa contribution à l'Agenda 2030 est primordiale pour accélérer l'élan vers la réalisation des Objectifs de développement durable.
Les jeunes constituent une force vive agissant pour le bien commun, et leur énergie, lorsqu'ils ont la possibilité d'exercer leurs droits, leur permet de susciter des changements positifs.
Ici s'inscrivent les valeurs éthiques de paix : l'égalité, la démocratie, le respect des droits de l'homme, etc. La morale dépasse le vivre-ensemble vers une norme absolue : « que devons-nous faire pour vivre dans la paix ? ».
La consolidation de la paix vise à réduire le risque de la survenance d'un conflit violent lors de situations sensibles. L'objectif est de renforcer les capacités nationales de prévention de conflits d'un pays et de poser les fondations nécessaires pour une paix et un développement durable.
Il est important pour les jeunes de faire preuve de solidarité envers la société à travers le volontariat. Cette démarche participe également à leur développement personnel, à leur mobilité dans le domaine de l'éducation et de la formation, à la compétitivité, à la cohésion sociale et à la citoyenneté.
La compétence sur la mise en œuvre des politiques de jeunesse ne relève pas uniquement de l'État à ses échelons national et territorial. Les collectivités territoriales (conseils régionaux, conseils départementaux, communes et intercommunalités) développent également des actions en direction de la jeunesse.
Parce qu'elle a pour mandat d'unir les nations sur la base des droits de l'homme, du développement, de la paix et de la sécurité. Son rôle est aussi de promouvoir l'action que mènent les jeunes en faveur de leur famille ou communauté et du monde que nous laisserons aux générations futures.
Reliés les uns aux autres comme jamais auparavant, les jeunes souhaitent contribuer et contribuent déjà à la résilience de leurs communautés, en proposant des solutions novatrices, en stimulant le progrès social et en inspirant le changement politique.
Vivre ensemble en paix, c'est accepter les différences, être à l'écoute, faire preuve d'estime, de respect et de reconnaissance envers autrui et vivre dans un esprit de paix et d'harmonie.
Le but général de la promotion de la paix est d'empêcher les éruptions de violence dans les conflits ou de transformer durablement les conflits armés en des formes pacifiques et constructives de résolution des différends.
i) L'adhésion aux principes de liberté, de justice, de démocratie, de tolérance, de solidarité, de coopération, du pluralisme, de la diversité culturelle, du dialogue et de la compréhension à tous les niveaux de la société et entre les nations; et encouragés par un environnement national et international favorisant la ...
Le drapeau blanc est assurément le symbole de la paix le plus ancien et le plus universel. Son usage est fixé en 1899 par l'annexe à la Convention de La Haye concernant les lois et coutumes de la guerre sur terre.
Pour la promouvoir, il faut intervenir dans l'éducation, défendre un développement durable, le respect des droits de l'homme, l'égalité entre hommes et femmes, favoriser la participation démocratique, la tolérance et la solidarité, la libre circulation des connaissances et agir en faveur de la paix internationale.
Pour prévenir ou mettre fin à la violence directe, il faut que les gens se parlent, nouent des relations et parviennent à des accords sur la manière de résoudre les conflits sans se battre. Souvent, cela nécessite également un transfert de pouvoir et une plus grande équité sociale.
La jeunesse est la période la plus active de nos vies. Nous débordons de force, de vigueur, d'espoir. Les choix que nous y faisons sont déterminants pour le tournant que prendra notre vie. Etre jeune, c'est bien mais être un jeune qui plaît à Dieu, c'est encore mieux !
« La jeunesse est une bénédiction pour l'Église car ses questions et attentes l'éveillent à son désir de vivre et proclamer sa foi au Christ qui conduit au Père par l'Esprit », réaffirme le rapport du 3e groupe linguistique francophone au Synode, qui est publié par le Saint-Siège le 16 octobre 2018.
La jeunesse est une catégorie aux contours incertains. Individualistes, libéraux en matière de moeurs, permissifs par rapport aux règles sociales, les jeunes d'aujourd'hui affirment aussi leur attachement à des valeurs traditionnelles comme la famille et le travail.