La varistance est une résistance électrique permettant d'agir comme un parafoudre dans une installation. Son rôle est donc capital car il doit pouvoir empêcher une telle déferlante d'énergie d'endommager un système.
Re : Tester une varistance
- Une thermistance (CTN) se branche en série sur l'alimentation et limite le courant d'appel à la mise sous tension. Classiquement, si elle explose, ça marche moins bien !
Montage d'une varistance pour protéger des surtensions
Le fusible peut être remplacé par une résistance fusible ou une résistance pour les appareils de faible puissance. La résistance ne doit en aucun cas prendre feu et doit s'ouvrir proprement en cas de destruction de la varistance (surtension excessive).
Re : Equivalence de varistance
Ta varistance est une protection contre les pics de tension, donc un composant de sécurité. Tu dois le remplacer par la même référence impérativement. Si il s'est mis en sécurité c'est qu'il faut trouver l'origine de la mise en défaut.
Les varistors (ou varistances) sont des dipôles résistifs symétriques dont la caractéristique U = f (I) n'est pas linéaire. La résistance diminue lorsque la tension augmente, d'où l'utilisation de varistors pour éviter ou limiter les surtensions.
Dipôles symétriques
La caractéristique est symétrique par rapport à l'origine. Un dipôle symétrique est toujours passif. Son fonctionnement n'est pas modifié si on inverse le sens du courant : il n'est pas polarisé.
Une diode de roue libre ou diode anti-retour, est placée avec une polarité inversée à celle de l'alimentation électrique et en parallèle de la bobine d'inductance du relais. L'utilisation d'une diode dans un circuit de relais empêche l'apparition d'énormes pics de tension lorsque l'alimentation est coupée.
Dans quelques cas extrêmes, la varistance explose ! Une surcharge de la varistance fait fondre les grains d'oxyde de zinc. Il se forme alors des chemins conducteurs par où le courant peut passer. Les grains conducteurs entrent en contact, ce qui réduit considérablement la résistance de la varistance.
Pour vérifier si le transistor fonctionne, on peut vérifier si cette diode n'a pas claquée. Pour cela, il suffit d'utiliser le multimètre en mode « diode ». Si la diode a claquée, est est totalement passante dans les deux sens : la tension affichée est nulle ou trop basse.
Une méthode très utilisée dans l'industrie est la méthode PPVS. Le but est de tester le plus de composants possibles sur un circuit imprimé : assurer la plus grande "couverture" de test (test coverage), c'est-à-dire avoir le meilleur pourcentage de composants testés sur le circuit.
Un diac est un interrupteur ouvert tant que la tension à ses bornes ne dépasse pas un seuil (souvent 32 Volts dans un sens ou dans l'autre). Lorsque la tension à ses bornes atteint 32 Volts, il devient fortement conducteur et la tension à ses bornes retombe à quelques Volts.
Un transistor NPN est commandé (ou activé) par un courant positif polarisé à la base pour contrôler le flux de courant du collecteur à l'émetteur. Les transistors de type PNP sont commandés par un courant négatif polarisé à la base pour contrôler le flux de l'émetteur au collecteur.
Si le transistor est du type NPN, le courant va passer quand le fil rouge du multimètre est sur la base, et que le fil noir est en contact avec l'émetteur et ensuite le collecteur. Si le transistor est du type PNP, ce sera l'inverse (fil rouge inversé avec le fil noir).
Une diode est un composant de circuit électrique qui permet à un courant de la traverser dans un sens mais pas dans le sens opposée. Le symbole d'une diode sur un schéma de circuit est un triangle pointant vers un trait perpendiculaire au fil conducteur.
Redressement avec une diode. Quand la tension aux bornes du transformateur devient inférieure à la tension de seuil, la diode est bloquée ; il ne subsiste que le courant de fuite, qui est négligeable en comparaison du courant direct.
Pendant la durée qui reste ((1-α)T) pour finir la période, la tension Vs est égale à 0. α (alpha) représente le pourcentage du temps où l'interrupteur est fermé, c'est-à-dire Vs=Ve. α est appelé le rapport cyclique.
Elle s'écrit : U = R × I . U = tension aux bornes de la résistance, en volt (V). I = intensité qui traverse la résistance, en ampère (A). R = valeur de la résistance, en Ohm (Ω).
Dipôle passif : il ne peut pas fournir d'énergie autre que de l'énergie thermique (résistor, interrupteur …) Dipôle actif : il fournit de l'énergie électrique à partir d'une autre forme d'énergie ou il consomme de l'énergie électrique pour la convertir en une énergie d'une autre forme (autre que thermique).
Un récepteur passif n'est traversé par aucun courant tant que la différence de potentiel appliquée entre ses bornes est inférieure à E'. Tant que , le récepteur ne fonctionne pas (exemple : moteur ne tournant pas tant que la tension aux bornes est insuffisante).
Les transistors bipolaires de puissance s'utilisent principalement pour de l'amplification et la commutation. Les tensions en jeu vont de quelques dizaines de Volts à quelques centaines de Volts alors que les courants mis en jeu sont de plusieurs Ampères.
Le thyristor peut être identifié à partir des inscriptions sur son corps. Ce qui permet de situer ses 3 bornes dont l'anode A (reliée à l'alimentation), la cathode K (reliée à la charge à alimenter) et la gâchette G (reliée au circuit de commande).
Vous pouvez aussi tester un transistor dans un circuit en utilisant une source de courant de 6 volts et deux petites ampoules électriques, ou bien en connectant un multimètre à l'émetteur et au collecteur avant de créer un court-circuit entre le collecteur et la base.