En effet, en tant qu'auto-entrepreneur, il n'est pas possible de dépasser un montant de 72.600€ de chiffre d'affaires pour les prestations de service et 176.200€ de chiffre d'affaires pour des activités d'achat et vente de produits.
34 400 euros pour les artisans et les professions libérales. 85 800 euros pour les commerçants.
Ainsi, finalement, l'auto-entrepreneur aura un revenu disponible d'un peu plus de 22 730 euros. En divisant ce montant pour obtenir une base de rémunération mensuelle, on obtient une rémunération proche des 1 900 euros par mois.
Son plafond de chiffre d'affaires maximum est fixé à 176 200 €, à l'intérieur duquel la partie afférente à son activité artisanale ne peut pas excéder 72 600 €. Vous avez créé votre micro-entreprise cette année ? Attention, votre chiffre d'affaires annuel sera calculé au prorata temporis.
Est-ce rentable d'être indépendant ? Le choix du régime de la micro-entreprise n'est pas bénéfique pour toutes les activités. En effet, il faut rappeler que le calcul simplifié des cotisations sociales (le « microsocial ») en pourcentage de votre chiffre d'affaires n'est pas toujours le plus rentable.
S'il n'y a qu'un seul associé ou une seule personne pour créer une société, le statut de la société par actions simplifiée unipersonnelle sous le régime d'impôt sur le revenu permet de payer moins de charge. S'il y a plusieurs associés, les charges d'une SARL et SAS sont presque les mêmes.
Le statut d'auto-entrepreneur entraîne directement une franchise de TVA : vous ne facturez pas la TVA à vos clients et vous ne récupérez pas la TVA lors de vos achats. Il n'y a donc ni TVA collectée, ni TVA déductible et ni déclaration de TVA en auto-entreprise.
Le statut auto-entrepreneur n'est pas adapté à tous les projets de création d'entreprise en raison de ses inconvénients : chiffre d'affaires limité, pas de possibilité de déduire ses charges, impossibilité de récupérer la TVA sur les achats et frais professionnels, validation des trimestres de retraites dépendant du ...
170.000 euros de CA HT maximum pour une activité commerciale. 170.000 euros de CA HT maximum pour une activité d'hébergement (hors location de meublé) 70.000 euros de CA HT maximum pour une activité de prestations de services (y compris location meublé) 70.000 euros de CA HT maximum pour un auto-entrepreneur artisan.
L'autoentrepreneur se rémunère tout seul.
Le chiffre d'affaires ne correspond pas au salaire. D'ailleurs, d'un point de vue légal, on ne parle pas de salaire autoentrepreneur dans le cadre d'une microentreprise, mais bien d'une rémunération.
TAUX D'IMPOSITION
Si votre revenu net imposable en tant qu'auto-entrepreneur est de 15 000 € par exemple (après abattement), vous ne serez pas imposé pour vos revenus jusqu'à 10 225 € et vous serez imposé à 11 % sur 4 775 € (15 000 € - 10 225 €).
S'il souhaite un revenu de 1 500 euros, alors il devra réaliser un chiffre d'affaires de 2 314 euros et trouver 15 clients par mois en moyenne. Il paiera 514 euros de cotisations sociales par mois.
Le statut social du micro-entrepreneur est celui de Travailleur Non Salarié (TNS), affilié à la sécurité sociale des indépendants. Son régime social est celui du « micro-social », qui est un régime simplifié de calcul et de paiement des cotisations et contributions sociales obligatoires.
Au régime simplifié, vous devez remplir votre formulaire au plus tard avant le deuxième jour ouvré suivant le 1 er mai de l'année suivante. En cas de clôture de votre exercice, vous pouvez également déclarer votre TVA dans les 3 mois suivant celle-ci, si elle ne coïncide pas avec l'année civile.
Contrat de retraite supplémentaire : En vertu de ce contrat et pendant la durée de ce contrat, les sommes versées par l'entreprise sont exonérées de cotisations sociales. L'aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d'entreprise (ACCRE) : Cela permet au chômeur de percevoir l'aide sans payer de charges sociales.
Micro-entrepreneur et auto-entrepreneur : plus aucune différence depuis 2016.
L'ensemble des auto-entrepreneurs est rattaché à la CPAM pour l'assurance maladie et à l'Urssaf pour le recouvrement de leurs cotisations sociales (CGSS pour les Drom).
Dans la mesure où le besoin en financement est d'une grande importance, il est recommandé d'opter pour la société anonyme (SAS) ou la société par actions simplifiée (SAS).
Depuis le 1er janvier 2016, il n'y a plus de différence entre le régime de l'auto-entrepreneur et celui de la micro-entreprise. Désormais, auto-entrepreneur et micro-entrepreneur sont tous deux désignés juridiquement sous l'appellation « micro-entrepreneur ».
Pour bénéficier de cette exonération de TVA en tant qu'auto-entrepreneur, vous devez respecter les seuils de chiffre d'affaires propres au statut de micro-entrepreneur mais également les seuils propres à la TVA (82 800€ pour l'achat ou la vente de biens, ou 34 400€ pour les prestations de service).