État de quelqu'un qui vit sans travailler et sans avoir d'occupation permanente : Au bout de deux mois, l'oisiveté commençait à me peser.
OISIVETÉ, subst. fém. A. − État d'une personne qui ne fait rien, momentanément ou de façon durable, qui n'a pas d'occupation précise ou n'exerce pas de profession.
Définition de oisiveté
➙ désœuvrement, inaction.
Ou encore qu'il est énergique , dynamique , vif .
Le terme "oisiveté", étymologiquement issu du terme latin "otium", désigne "l'état de quelqu'un qui vit sans travailler et sans avoir d'occupation permanente", selon la définition qu'en donne le dictionnaire Larousse.
La paresse et l'oisiveté endommagent votre estime de vous-mêmes et peuvent vous conduire à la dépression. Manque d'envie, manque d'énergie, paresse…
« L'oisiveté est la mère de tous les vices »
Cette phrase de Alexandre Dumas fils contient 33 mots. Il s'agit d'une citation longue.
Selon les époques, selon le contexte, la notion d'oisiveté est associée soit à une valeur, celle de l'otium antique, cultivée par l'aristocratie, soit à la paresse, à l'inutilité, dans une société sacralisant le travail.
Caractère de quelqu'un de prodigue, propension à la dépense : Sa prodigalité finira par le ruiner. 2. (Surtout pluriel) Acte qui révèle ce caractère. 3.
désœuvrement n.m. État de quelqu'un qui est désœuvré ; inaction, oisiveté.
Manière d'être ou d'agir caractérisée par l'absence d'énergie, de zèle, de soin, due à l'insouciance, l'indifférence. Synon. apathie, laisser-aller, négligence.
apathique, indolent, inerte, lent, négligent, nonchalant; anton. actif, courageux, énergique, zélé. Être paresseux pour écrire.
Goût pour l'oisiveté. Synonyme : fainéantise, flânerie, indolence, inertie, langueur, négligence, nonchalance, oisiveté. – Familier : cosse, farniente, flemmardise, flemme.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
probité Qualité de quelqu'un qui observe parfaitement les règles morales, qui respecte scrupuleusement ses devoirs, les règlements, etc.
Désir immodéré de l'argent et des richesses.
Épargne, économie minutieuse.
Chassé du paradis originel (selon le récit des religions monothéistes abrahamiques), l'homme n'a plus tout le loisir d'être oisif en disposant de tous les biens : il doit travailler, ou à défaut, éviter de se trouver en proie à des pensées ou des actes moralement répréhensibles.
1. Comportement de quelqu'un qui répugne à l'effort, au travail, à l'activité ; goût pour l'oisiveté : Climat qui incite à la paresse. 2. Manque d'énergie dans une action : Avoir la paresse d'écrire.
Ce proverbe signifie que certains défauts persistent, on ne peut jamais s'en débarrasser totalement.
La paresse est génétique, affirment des chercheurs américains. Mais lutter contre permettrait d'assurer un meilleur développement de notre cerveau. Qu'on la nomme fainéantise, indolence ou mollesse, la paresse, cette «habitude de se reposer avant la fatigue» selon Jules Renard, n'a pas bonne presse.
La paresse se manifeste par une tendance, une envie soit à ne rien faire ou directement par un rejet, de la tâche (travail) à accomplir. On peut rencontrer deux types de paresses : 1 - Celle que j'appellerais d'origine psychologique : ne pas vouloir accomplir un travail.
1. Diminution de la tonicité normale d'un organe contractile. 2. Défaut de vitalité, d'énergie, d'activité ; dépression : L'atonie de la vie économique.
1. Qui manque de zèle, d'ardeur, d'énergie : Élève nonchalant. 2. Qui manque de vivacité, dont les gestes sont lents et vagues : Allure nonchalante.