Dans la mesure où le besoin en financement est d'une grande importance, il est recommandé d'opter pour la société anonyme (SAS) ou la société par actions simplifiée (SAS).
S'il n'y a qu'un seul associé ou une seule personne pour créer une société, le statut de la société par actions simplifiée unipersonnelle sous le régime d'impôt sur le revenu permet de payer moins de charge. S'il y a plusieurs associés, les charges d'une SARL et SAS sont presque les mêmes.
Vous entreprenez seul, sans associé ? Vous avez le choix entre vous installer en entreprise individuelle, avec la possibilité de choisir le régime ultra simplifié du micro-entrepreneur ou de créer seul une société : EURL ou SASU.
Selon l'INSEE, les créateurs d'entreprises choisissent, pour près de 65% d'entre eux, l'entreprise individuelle au régime micro. Ce statut juridique génère, à lui seul, plus de 640 000 créations en 2021 (contre 271 000 créations sous forme de sociétés).
Premier choix possible : la SARL
Sans doute le statut le plus courant et prisé des associés en binôme, celui de la SARL (société à responsabilité limitée) offre l'avantage comme son nom l'indique de limiter la responsabilité des associés au montant de leurs apports.
Le fonctionnement rigide de la SARL est contraignant mais il permet de sécuriser les associés. La liberté laissée aux associés de SAS est un avantage indéniable pour organiser au mieux son fonctionnement mais il peut constituer un risque pour certains associés.
Lorsque l'on souhaite se mettre à son compte, il existe une alternative à l'entreprise individuelle et l'EIRL : Les sociétés unipersonnelles. L'entrepreneur a donc le choix, même s'il est seul pour exercer son activité, de créer une société. Deux formes de sociétés peuvent être unipersonnelles : L'EURL et la SASU.
La SASU est soumise à un régime réel d'imposition. Le micro-entrepreneur est soumis au régime de la micro-entreprise. Comment est calculé le bénéfice imposable de l'entreprise ? - Le résultat (bénéfice ou perte) de la SASU est déterminé en fonction des charges réellement réglées (ou engagées) par l'entreprise.
- Lorsque l'entrepreneur voit son activité se développer et son chiffre d'affaires croitre, il pourra changer de statut. Une grande quantité de solutions s'offrent à lui. Il pourra choisir la forme sociale unipersonnelle ou pluripersonnelle mais également l'EIRL.
Société à responsabilité limitée (SARL) : créer une société avec un apport minimum flexible. La société à responsabilité limitée (SARL) comprend au minimum deux associés. Cette forme juridique est la plus répandue pour les sociétés.
Micro-entrepreneur et auto-entrepreneur : plus aucune différence depuis 2016.
Investir dans un FCPI ou un FIP
Investir dans un FIP (fonds d'investissement de proximité) ou un FCPI (fonds commun de placement dans l'innovation) permet de réduire ses impôts de 18 % de la somme investie. La réduction obtenue via cet investissement est limitée à 2 160 € par personne (4 320 € pour un couple).
La SASU facilite le développement de l'entreprise. Les dividendes versés par une SASU ne supportent pas les cotisations sociales. La SASU est un statut idéal pour le maintien de l'ARE. La SASU facilite la transmission de l'entreprise.
La meilleure des stratégies consiste à travailler sur la façon dont vous vous rémunérez. Vous devez prendre en compte, non seulement, le montant de votre rémunération, mais également votre statut social salarié ou non salarié (TNS), ainsi que la nature juridique de votre société. Tout découle de ces choix.
Tout d'abord, il faut que le chiffre d'affaires de la SASU ne dépasse pas 10 000 000 euros. Également, son capital doit être entièrement libéré et ses actions détenue de manière continue, pour 75 % au moins par des personnes physiques ou par une société qui répond aux mêmes conditions.
Avec ce passage de la forme juridique de micro-entrepreneur à SASU, il sera possible de bénéficier d'une certaine flexibilité en matière juridique. De plus, le traitement des dividendes ne sera pas soumis aux cotisations sociales et l'individu a la possibilité d'être affilié au régime général.
Le secteur de la mode constitue un business très lucratif, car touche aussi bien les adolescents que les adultes. Si vous créer une boutique en ligne orientée mode et que vous proposez des articles de grande qualité et issus de marques connues, votre business n'attendra pas longtemps pour vous rapporter gros.
La production numérique est en tête de liste des business les plus rentables. En effet, avec peu ou aucun investissement, il est possible d'obtenir des bénéfices élevés, puisqu'il s'agit également d'un business évolutif, comme dans le cas de l'affiliation.
Voici quelques exemples de commerces rentables de prestation de services qui peuvent être gérés à domicile : Rédaction freelance. Accompagnement marketing. Design web.
Il y a tout d'abord un choix à effectuer entre l'exercice en société unipersonnelle ou l'exercice en nom propre. Puis, en cas d'exercice en société, il faut ensuite choisir entre l'EURL et la SASU. Dans le cas contraire, le choix porte entre la micro-entreprise ou l'entreprise individuelle.
Dans le cas de l'endettement d'une entreprise individuelle, l'entrepreneur verra ses biens personnels engagés. Dans le cas d'une SARL, la responsabilité est restreinte à l'apport en capital. L'estimation des risques encourus par l'activité est donc laissée à l'appréciation des associés.
Il y a 4 formes d'entreprise : l'entreprise individuelle, la société de personnes (société en nom collectif ou en commandite), la société par actions et la coopérative.