« À l'extérieur de la capitale on ne tarda pas à appeler «panamistes» non seulement les hommes politiques, mais tous les Parisiens dans leur ensemble, et « Panam » la ville où ces requins habitaient… « , écrivaient dans Le Figaro, le journaliste Claude Duneton (1905-2012) qui avait mené l'enquête.
Les réputations sont cruelles, quoiqu'un peu pour rire. Le "Parisien tête de chien, parigot, tête de veau" reste un classique gentillet. Plus désagréable est le "doryphore".
Paname, c'est l'argot pour parler de la région parisienne. Un petit nom qu'on entend partout, des chansons de Léo Ferré à Booba.
Petite précision au passage, Bérize vient en fait de l'arabe. C'est Paris tout simplement. Le son "p" n'existe pas et a donc été remplacé par un "b" quant au "a" et au "e" qui s'échangent c'est simplement une question d'accent.
D'où viennent les surnoms de Paris ? Tantôt « capitale de l'amour », « Ville Lumière », « capitale de l'art de vivre » ou encore « Paname », Paris a des surnoms bien différents les uns des autres.
La Dame de fer est le surnom le plus répandu pour évoquer la tour Eiffel.
Lutèce est la forme francisée du nom employé par les Romains Lutetia ou Lutetia Parisiorum pour désigner la ville gallo-romaine connue aujourd'hui sous le nom de Paris ainsi que son oppidum.
Paris s'appelait alors Lutèce, tiré du latin Lutetia, signifiant littéralement “ville de la boue” ou “ville du marais”, selon les dires de Jules César lui-même, face au fort taux d'humidité des environs.
C'est juste un synonyme pour quartier, ou cité.
« Floco » - un imbécile – serait originaire de l'ivoirien. Pour le rappeur Myssa, la mixité de la ville a favorisé ce bouillonnement linguistique : « On était tellement mixés culturellement à Grigny qu'il a fallu qu'on trouve un langage commun. »
« Je m'affolamoure », « je t'extraime » ou encore « j'ai le boum boum ».
− Qui est propre à Paris, caractéristique de ses habitants, généralement de ceux qui vivent dans un quartier populaire. Synon. faubourien. Esprit parigot.
Les Parisiens sont fats, hautains, vaniteux, agressifs, méprisants, cauteleux, déprimés, libidineux, antipathiques, malsains, xénophobes, dilettantes, pas accueillants, le regard en coin, le sourire en berne, la cravate molle, l'œil affaissé. Ils fleurent la morgue et le pâté snob.
Olivier Magny : Les Parisiens semblent hostiles et prétentieux, mais ces atours - malheureusement souvent bien réels - ne sont que des symptômes. Comme disait Jacques Brel, "il n'y a pas de gens méchants, ou si peu, il n'y a que des gens paresseux".
Madame s'écrit Mme en abrégé, sans point abréviatif puisque le e est la dernière lettre du mot. Les deux lettres minuscules sont surélevées si possible.
Capitale des Gaules, Ville des lumières, Cité des gones... les périphrases sont nombreuses.
En début de phrase, il faut faire suivre la locution adverbiale « par exemple » d'une virgule. Sous forme abrégée (p. ex.), on ne la fait pas suivre d'une virgule.
-C., Paris qui s'appelle Lutèce à cette époque, devient progressivement une cité. La première bourgade digne de ce nom date du 3ème siècle avant J. -C. C'est à cette époque que les Parisii, un peuple gaulois, s'installent sur l'île de la Cité.
La devise « Fluctuat nec mergitur » est une locution que l'on traduit par « Il est battu par les flots, mais ne sombre pas ».
Origine : paris est un nom de baptême et un patronyme représentant la forme populaire de patrice, issu du nom latin patricius, c'est-a-dire le patricien, celui qui appartient a la noblesse nom popularise par saint patrice .
au cinéma, La Dame de fer, film biographique de Phyllida Lloyd consacré à Margaret Thatcher ; la traduction littérale de l'anglais pour une vierge de fer, un instrument de torture.
Parmi la quarantaine de signataires figurent les artistes les plus en vue de l'époque, tels le compositeur Charles Gounod, les écrivains Guy de Maupassant ou Alexandre Dumas fils, les poètes François Coppée, Leconte de Lisle ou Sully Prudhomme, les peintres William Bouguereau ou Ernest Meissonier, et même Charles ...
C'est la cathédrale Notre-Dame qui occupe la première place du "Top 10" des sites les plus fréquentés de Paris. Le Sacré-Cœur, le Louvre et la Tour Eiffel occupent la deuxième, troisième et quatrième place du classement 2014 publié mercredi par l'Office du Tourisme et des Congrès de Paris.