Grâce, faveur accordée par Dieu.
Acte sacerdotal qui sanctifie une personne ou une chose, ou qui appelle sur elle la bienveillance de Dieu.
Acte rituel d'un prêtre qui, étendant la main sur les fidèles et prononçant une formule consacrée, appelle sur eux la protection divine, généralement en figurant le signe de la croix. Les fidèles reçurent la bénédiction du pape. Le pasteur donna sa bénédiction au catéchumène par imposition des mains.
Veine, chance, par extension.
Que le Seigneur te bénisse et te garde
C'est-à-dire : Donne-moi quelque chose comme un bien, du pain, un vêtement, etc. Car ce n'est rien d'autre que des dons de Dieu, et c'est par sa bénédiction que nous avons ce que nous avons.
L'Église, dans sa grande sagesse, prévoit que, dans bon nombre de circonstances, et en l'absence d'un ministre ordonné, un laïc puisse, en vertu de son baptême, être lui-même le vecteur de la bénédiction de Dieu. L'Église l'y autorise et l'y encourage.
Vous pourriez réciter n'importe quelle prière pour bénir la croix, ou vous pouvez aussi en utiliser une des suivantes : Ô Seigneur, bénis cette croix pour qu'elle devienne l'instrument de ta volonté divine au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen. Bénis cette croix au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
La baraka la plus évoquée est celle d'Allah. S'il pleut, si la récolte est bonne, si une femme accouche d'un bel enfant, si quelqu'un sort indemne d'un accident qui aurait pu être mortel, si une personne est très âgée mais en bonne santé et dans bien d'autres circonstances, on dit que c'est la baraka de Dieu.
Étymologie. (Vers 1910) De l'arabe بركة , barakah (« bénédiction, faveur du ciel »).
aubaine, bonheur, bonne étoile, coup de veine, heureux hasard, providence. – Familier : baraka, bol, coup de pot, pot, veine.
La bénédiction paraît plus « efficace » que la grâce, d'abord parce qu'elle se manifeste physiquement : la corporéité et les sens sont impliqués comme lieux de médiation de la proximité de Dieu, en lien avec une parole personnellement adressée qui affirme ce qui est donné.
"C'est la bénédiction de l'Eternel qui enrichit, et il ne la fait suivre d'aucun chagrin" ( Pr 10:22). Vis ce jour en paix sans craindre demain !
Dans le judaïsme, une berakha ou brakha (héb.: ברכה; pluriel ברכות, berakhot) est une bénédiction, habituellement récitée à un moment spécifique, avant de réaliser une prescription, qu'elle soit d'origine biblique ou rabbinique, de consommer un mets, lors de retrouvailles avec un ami, etc.
Une bénédiction de la prêtrise confère du pouvoir sur les choses spirituelles. Lorsqu'il donne une bénédiction de la prêtrise, un serviteur du Seigneur exerce la prêtrise, selon l'inspiration du Saint-Esprit, pour faire appel aux pouvoirs des cieux pour le profit de la personne qu'il bénit.
Levons-nous et magnifions notre appel et œuvrons devant Dieu jusqu'à ce que nous puissions obtenir l'Esprit Saint et jusqu'à ce que nos prières déchirent le voile de l'éternité et pénètrent dans les oreilles du Dieu des armées et [soient] exaucées sous forme de bénédictions sur notre tête 16.
La vraie prospérité, c'est de connaître Dieu intimement, et vivre avec lui. Psaumes 24 : 1 A l'Eternel la terre et ce qu'elle renferme, le monde et ceux qui l'habitent.
Prendre, avoir barre (ou barres) sur quelqu'un,
avoir l'avantage sur lui, le dominer.
En ce qui concerne le nom arabe de Mahomet (arabe : محمّد (Muhammad)), il est suivi de la formule « que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui et sa famille », en arabe : ṣallā l-lāhu `alay-hi wa-sallam, صَلَّىٰ اللّٰهُ عَلَيْهِ وَسَلَّم.
Avoir la berlue, voir les choses de travers, juger faussement.
41Le halal règle les comportements sexuels et plus uniquement des filles comme l'imposait le nif : désormais le passage par le religieux fait que toute relation hors mariage (avant ou pendant) est condamnée tant pour les hommes que pour les femmes.
Cette expression à forte connotation religieuse s'emploie généralement pour remercier le Ciel, ou Dieu, pour un bienfait concret ou abstrait. On loue le Divin pour ses actions sur Terre. Plus généralement, même les personnes non croyantes l'utilisent pour remercier le destin.
selon les recommandations des projets correspondants. Les psaumes pénitentiels ou psaumes de confession est le nom donné aux psaumes 6, 32, 38, 51 (aussi appelé Miserere), 102, 130 (aussi appelé De profundis) et 143 car ils expriment la tristesse du péché.
Dans la Bible, l'expression « le sel de l'alliance » parle du sel utilisé sur une offrande pour exprimer l'alliance perpétuelle avec Dieu. Mais le sel est aussi symbole de stérilité et de malédiction : rien ne pousse sur les terres trop salées comme les déserts.
Le goupillon est un objet liturgique utilisé pour asperger d'eau bénite objets ou personnes participant à une cérémonie religieuse. Il ressemble à un court bâton de bois ou de métal, garni à son extrémité de poils rudes ou d'une boule percée de trous.
Réalisé avec la main droite à trois doigts ou la main entière suivant les époques et les différentes traditions, marquant le front puis la poitrine ou plus bas puis chacune des deux épaules il est associé à l'énoncée trinitaire : « Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.