Sentiment pénible, affliction, souffrance morale ; chagrin, peine : Raviver une douleur ancienne.
douloureux adj. Qui cause une douleur physique. douloureuse n.f.
Selon la définition officielle de l'association internationale pour l'étude de la douleur (IASP), "la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes".
Maladie douloureuse (s'oppose à indolore).
Si on considère que le contraire de l'amour est la haine, aimer a pour contraires détester et haïr . Avec une intensité plus grande, on peut dire exécrer , abominer ou, moins courant, abhorrer .
Contraire : animosité, antipathie, aversion, désaffection, haine, hostilité, inimitié.
la composante sensori-discriminative : renseigne sur l'intensité, la tonalité (piqûre, écrasement…), la localisation et l'intensité ; la composante cognitive renseigne sur le sens donné à l'expérience douloureuse : processus d'adaptation, d'anticipation, de diversion ainsi que sur la mémorisation, le langage etc.
Si douleur est un concept médical, souffrance est le concept du sujet qui la ressent. C'est la dimension du sens qui donne à la douleur son intensité, sa souffrance, et non pas l'état réel de l'organisme puisqu'il n'existe pas en soi.
La personne sadique prend plaisir aux souffrances physiques et psychologiques des êtres vivants, animaux et humains. Il aime tenir les autres sous son emprise et restreindre leur autonomie, cela par la terreur, l'intimidation, l'interdiction.
A l'origine de la douleur, il y a un stimulus : le froid, la chaleur (une brûlure par exemple), une pression mécanique, des agents chimiques, une réaction inflammatoire… Ce stimulus va activer les terminaisons nerveuses de neurones spécialisés dans la perception de la douleur.
Habituellement, pour indiquer l'intensité de la douleur, il existe par exemple des mots tels que : la douleur est « terrible », « insupportable », « très forte », « moins forte qu'hier », « supportable », « désagréable », etc. Ces qualificatifs sont utiles mais chaque personne les emploie différemment.
Le cerveau peut moduler la façon dont la moelle épinière traite l'information douloureuse. Soit via un signal électrique, soit via des hormones comme l'ocytocine, dont la libération est coordonnée par trente neurones situés dans l'hypothalamus (notre image).
Tous les résultats de notre palmarès, département par département. Alain Serrie est responsable du centre antidouleur de l'hôpital Lariboisière, à Paris.
On distingue principalement deux grands types de douleur : la douleur aiguë, qui est de courte durée et constitueun signal d'alarme essentiel au maintien de notre intégrité physique, et la douleur chronique, qui est ressentie longtemps (plus de 3 mois) et persiste après guérison de la lésion l'ayant provoquée.
Une douleur est dite chronique dès lors qu'elle est persistante ou récurrente (le plus souvent au-delà de 6 mois), qu'elle répond mal au traitement et qu'elle induit une détérioration fonctionnelle et relationnelle.
Quelle que soit la cause de la douleur, avec le temps, elle provoque diverses réactions psychologiques : anxiété, insomnie, fatigue, tension nerveuse, repli sur soi, démoralisation, dépression, parfois désintérêt sexuel, etc.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Exemple: une amitié qui dure => une amitié durable.
Contraire : abjuration, déloyauté, félonie, fourberie, trahison, traîtrise. – Littéraire : infidélité, perfidie.
– Familier : causant, jacasseur, jacassier. – Littéraire : disert, verveux. Contraire : muet, silencieux, taciturne.
Que fait l'algologue ? Pour comprendre et apprendre du malade douloureux, la consultation se doit d'être longue, l'interrogatoire le plus exhaustif possible, et l'examen rigoureux. Les patients souffrant de douleur chronique peuvent être reçus dans un centre antidouleur (établissement médical).