De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
Le texte narratif utilise une forme tendue, le temps est le passé simple , car l'une des caractéristiques lexicogrammatiques du texte narratif est l'utilisation du passé simple et le passé simple domine également le temps dans l'écriture du texte narratif.
Temps de la narration, l'imparfait permet de décrire le cadre général de l'histoire, par exemple le décor, les habitudes de personnages, les situations préexistantes au récit. L'imparfait ne fait pas progresser l'histoire, puisque ce n'est pas le temps qui permet de décrire des incidents ou des événements soudains.
Le passé simple est le temps idéal pour décrire un événement soudain dans le récit et dont le début et la fin sont clairement exprimés. La foudre s'écrasa sur le paratonnerre de la tour d'en face. Elle rentrait chez elle lorsqu'une voiture la percuta de plein fouet.
On considère que le présent, le passé composé et le passé simple sont les temps de base du récit. C'est à l'un ou l'autre de ces temps qu'est rédigé le récit de base.
Si le narrateur se place après ce qu'il raconte, il s'agit d'un récit passé, on emploie donc plus souvent le passé simple / imparfait. Si le narrateur raconte des événements qu'il est actuellement en train de vivre, il s'agit d'un récit généralement au présent.
Le temps dominant dans la plupart des textes explicatifs est le présent de l'indicatif, appelé présent de vérité générale.
La vitesse narrative se définit par le rapport entre la durée de l'histoire et la longueur du récit. Dans les récits narratifs, il y a quatre rapports fondamentaux, selon G. Genette, qui définissent la vitesse narrative, ou qui constituent le tempo romanesque : de la lenteur absolue à la vitesse infinie.
Le présent de narration est utilisé quand, dans un texte au passé, une action est transcrite au présent pour apporter plus de vivacité au récit et donner au lecteur l'impression de voir la scène sous ses yeux. Je dormais paisiblement quand, tout à coup, quelqu'un frappe à la porte.
Le passé simple est un temps littéraire, utilisé presque exclusivement à l'écrit. Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
L'imparfait de l'indicatif présente une action réelle qui dure dans le passé. Il peut également exprimer le déroulement d'une action, une habitude, une répétition ou présenter une description.
Un texte narratif décrit une succession de faits qui s'enchaînent. Il est caractérisé par des verbes d'action et de mouvement qui indiquent la progression de l'histoire, à laquelle participent un ou des personnages. Le narrateur peut, aussi, être un personnage de l'histoire qu'il raconte.
Les quatre temps narratifs sont le passé simple, le passé continu, le passé parfait et le passé parfait continu et un ou plusieurs d'entre eux peuvent être utilisés dans une phrase. Un jour, nous marchions comme d'habitude, quand tout d'un coup, Bonnie s'est enfuie.
N'oubliez pas que la structure du texte narratif utilise une structure d'histoire qui comprend des éléments de l'histoire tels que le décor, les personnages, le conflit, l'intrigue (action montante, point culminant, action descendante) et la résolution . que le texte pourrait être un type de texte narratif.
Point de vue omniscient
Le narrateur omniscient connaît tout des personnages et peut voir tous leurs faits et gestes. C'est le point de vue d'un dieu, d'un narrateur démiurge, qui sait tout sur les personnages. C'est donc une focalisation totale, subjective et exhaustive.
Donc, aujourd'hui, on parle de distance narrative ! Et, comme par hasard (non), c'est un sujet intimement lié… au choix de la narration. Quand nous lisons un texte de fiction, la distance narrative est la sensation que nous éprouvons d'être plus ou moins proches des événements relatés.
L'épanadiplose est également une figure de narration utilisée dans de nombreux genres littéraires ; elle est alors nommée « épanadiplose narrative ». Il s'agit de la reprise d'une scène initiale ou d'un motif initial (dans l'incipit) à la fin (ou clausule) de l'intrigue.
Le schéma narratif. Il s'agit de la présentation des lieux, du moment où se passe le récit et des personnages. L'imparfait à valeur d'arrière-plan est le plus souvent utilisé. Pour évoquer le passé des personnages, ou du lieu, on utilisera le plus-que-parfait.
Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent.
Un texte narratif est une histoire réelle ou fictive racontée à l'aide d'un narrateur. L'histoire racontée peut être vraisemblable ou invraisemblable. Il s'agit d'un texte qui décrit une succession de faits qui s'enchaînent. Il présente un ou des personnages qui évolue(nt) dans un temps donné et un lieu donné.
L'imparfait, le temps de l'habitude.
Le récit est le plus souvent rédigé au passé, sauf lorsque le narrateur a choisi de le rendre dynamique en utilisant un présent de narration. Les temps les plus courants sont alors l'imparfait et le passé simple qui alternent, ayant des valeurs et emplois bien spécifiques.