La pratique du kayak en mer requiert un équipement adapté. Un gilet de flottabilité de 50N, homo- logué avec un marquage CE ISO/EN et adapté à la pratique du kayak.
-Kayak visible, drapeau et tenue pour être vu de loin. -Combo gilet/radio VHF obligatoire.
Le gilet d'aide à la flottabilité n'est pas obligatoire mais fortement conseillé pour faciliter la remontée dans le bateau en cas de chute.
Accessoire kayak obligatoires div 240
Un gilet de sauvetage (le gilet est à porter en permanence sur sois) Un bout avec un mousqueton d'au moins la longueur du kayak. Une pagaie de secours. Une écope ou une pompe de cale.
Le port d'un gilet d'aide à la flottabilité 50 Newton est vivement conseillé lors de la pratique du kayak. En effet en cas de chute à l'eau, il vous permettra de flotter sans effort pour rejoindre votre embarcation et pouvoir remonter facilement.
Abri : Endroit de la côte où tout engin, embarcation ou navire et son équipage peuvent se mettre en sécurité en mouillant, atterrissant ou accostant et en repartir sans assistance.
On peut faire du kayak librement sur les cours d'eau
Qu'il s'agisse de cours d'eau relevant du domaine public ou du domaine privé, plans d'eau et lacs, un kayak peut circuler librement selon le code de l'environnement et le Règlement Général de Police de la Navigation.
Immatriculé auprès des Affaires maritimes et équipé du matériel de sécurité obligatoire, un kayak peut naviguer jusqu'à 2 ou 6 milles nautiques (4 ou 11 km) d'un abri, en fonction de l'équipement et de la conception du kayak (avec ou sans jupe).
Choisissez la bonne longueur de pagaie. En vous tenant debout, le bras en l'air, la pagaie verticale doit aller du sol jusqu'au pli des doigts repliés. Prenez un modèle le plus léger possible et privilégiez des pales de faibles largeur. Enfin, si la pagaie est réglable, réduisez au maximum l'angle de croisement.
Pour la pratique durant l'été en canoë kayak, ce n'est pas bien compliqué de s'équiper, un gilet d'aide à la flottabilité, un top anti UV et un maillot de bain suffisent amplement. Mais vous pourrez également vous équiper avec une combinaison néoprène sans manche ainsi que des chaussons pour vous protéger dans l'eau.
Le port de chaussures fermées (basket, chaussons…) est obligatoire (arrêté ministériel du 4 mai 1995). Vous pouvez également louer des combinaisons, et acheter des chaussons en néoprène.
Navigation en mer, Division 240 et Division 245
La navigation en mer, en kayak, canoë et stand up paddle est régie en partie par les textes de la DIVISION 240 et 245. La division 245 traite des exigences techniques et de construction des navires non soumis au marquage CE.
Il existe au moins une différence fondamentale entre la pratique du kayak de mer et celle du kayak de rivière : - en rivière, vous descendez toujours dans le sens du courant ; - en mer, vous partez d'une plage et y revenez. Vous avez donc la moitié du temps le vent, les courants, le clapot, etc.
Un kayakiste parcours en moyenne 4 km/h en fonction du vent, du niveau d'eau, du niveau et du nombre de participants. Un groupe avancera toujours en fonction du plus faible. Il faut compter 8 à 12 km pour une demi journée et 20 km pour une journée.
Les kayakistes de niveau 1 à 2, pagaie jaune à verte, sont habitués à pagayer 3 à 4 heures par jour à une vitesse allant de 2,5 à 3 nœuds, ils parcourent des distances de 7 à 12 milles marins dans leur journée, avec, de préférence, une pause à terre à mi-parcours.
La solution la plus simple est de réduire au maximum vos mouvements. Si vous devez bouger, conservez votre masse basse et centrée, au niveau du milieu du kayak. Cela signifie que vous ne devez pas bouger vos épaules en dehors de l'axe central de l'embarcation.
Pour prendre sa première vague, il suffit de ramer à fond quand elle arrive derrière vous Puis quand vous sentez que le kayak part dans la vague, basculez le buste en arrière pour éviter d'enfourner et utilisez votre pagaie comme gouvernail pour essayer de suivre la vague qui déroule.....
La nouvelle division 240 est une réglementation moderne qui se devait d'évoluer afin de prendre en compte les évolutions technologiques observées sur le marché de la plaisance. Elle fixe des objectifs de sécurité que les plaisanciers doivent atteindre, ils ont en revanche le choix des moyens pour y parvenir.
Avec le bout court, placé de façon à ce que la pointe avant du kayak remorqué soit légèrement devant le cockpit du remorqueur, le risque de se prendre la pointe dans les côtes est éliminé. Le remorquage dans les passes se fera aussi bien en marche arrière qu'en marche avant, comme c'est le plus pratique.