La croissance est la quête perpétuelle des politiques économiques. Elle est indispensable pour faire face à bon nombre de problèmes économiques et sociaux, celui du chômage en premier. Elle permet l'élévation du niveau de vie général. La richesse des nations et de ses citoyens en dépend.
En effet, elle peut entraîner un mal développement, ainsi qu'un appauvrissement du niveau de vie dû aux inégalités dans la répartitions des richesses. Ainsi, les ressources de la planète sont largement suffisantes pour couvrir les besoins nécessaires indispensables à la « survie » de la population qu'elle abrite.
Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
Selon J. Tirole, il semblerait que la Croissance Économique mondiale soit face à 3 enjeux majeurs sur le long terme : Le climat, les inégalités et la démographie.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Une Définition de la croissance
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée. Le phénomène de croissance apparait avec la révolution agricole des XVIe et XVIIe siècles.
1. Facteurs généraux : · Intrinsèques : génétiques, endocriniens ; · Extrinsèques : nutritionnels, socio-économiques, affectifs.
À long terme, la croissance a un impact important sur la démographie et le niveau de vie des sociétés qui en sont le cadre. De même, l'enrichissement qui résulte de la croissance économique peut permettre de faire reculer la pauvreté, à condition que les richesses créées soient redistribuées vers les plus bas revenus.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
approvisionnement énergétique non fiable, réseau routier urbain–rural peu performant et ports inefficients — est l'un des principaux obstacles à la croissance. Elle limite les rendements de l'investissement en capital humain, par exemple dans l'éducation et la santé.
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
Le concept d'impact environnemental désigne l'ensemble des modifications qualitatives, quantitatives et fonctionnelles de l'environnement (négatives ou positives) engendrées par un projet, un processus, un procédé, un ou des organismes et un ou des produits, de sa conception à sa « fin de vie ».
Pollution de l'air, de l'eau, des sols, nuisances sonores, destruction de la biodiversité… les répercutions de l'activité humaine sont diverses. En plus de dégrader l'environnement, l'activité humaine dégrade la vie quotidienne des hommes eux mêmes.
Pour les partisans de la thèse nataliste, les investissements démographiques augmentent la production par tête, la croissance démographique facilite les adaptations de la structure pro- fessionnelle et constitue, au surplus, un facteur de plein emploi.
La croissance économique se manifeste par une augmentation significative et durable de la production de biens et de services. Cette variation positive se mesure grâce à l'évolution annuelle de l'indicateur du produit intérieur brut (PIB), évalué en monnaie constante afin de prendre en compte l'inflation.
- Lien positif entre compétences et revenus. - Amélioration de la santé et donc de la qualité de vie de l'individu. - Les entreprises qui bénéficient d'un capital humain élevé => une augmentation de la productivité (un travailleur plus qualifié et compétent est plus productif).
La croissance économique s'explique d'abord par la quantité de facteurs de production mobilisés. Ainsi, la quantité de facteur travail, c'est-à-dire l'augmentation de la population active, contribue directement à l'évolution de la quantité de biens et services produits.
Selon deux modèles mathématiques permettant de définir la vitesse de croissance (le modèle Infancy Childhood Puberty et le modèle JPPS), on distingue ainsi quatre phases différentes de croissance : la phase foetale, la croissance de la naissance à l'âge de 4 ans, l'enfance et la puberté.
La croissance économique est souvent présentée comme ayant toutes les vertus. Elle permet de diminuer le chômage dans les pays industrialisés et de réduire la pauvreté dans les pays en développement. Elle correspond à l'augmentation, pendant une longue période, du volume de la production et des richesses d'un pays.
On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique. close : accumulation des facteurs.
Phénomène lié à la croissance, le développement correspond à une modification à long terme des structures économiques sociales et du mode de vie. Un indicateur élaboré par les Nations Unies, l'IDH, permet d'évaluer le niveau de développement d'un pays.
L'accumulation de capital humain permettrait en effet des gains de productivité favorables à la croissance et à l'emploi. Depuis Adam Smith, la plupart des économistes reconnaissent que les compétences de la main d'œuvre d'un pays représentent un de ses atouts concurrentiels les plus importants.
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
Le PIB, c'est la richesse créée par les activités de production. La croissance est l'évolution du produit intérieur brut (PIB) sans tenir compte de la variation des prix. Si on a produit 100 l'année dernière et 110 cette année, ce peut- être parce qu'on a produit 10% en plus ou parce que les prix ont augmenté de 10 %.