La famille transmet à l'enfant, dès son plus jeune âge, le langage et les codes sociaux les plus élémentaires (apprendre à manger « correctement » par exemple), mais aussi les valeurs et les normes qui l'aideront ensuite à développer des relations sociales. Elle joue donc un rôle important dans la socialisation.
Dans un monde parfait, la famille offre un environnement stable, aimant et sécuritaire. Un contexte favorable au développement social ainsi qu'à la santé physique et mentale de l'enfant. La vie ayant tellement changé au cours de ce siècle (technologie, culture, internet…
1La famille est souvent citée comme l'une des institutions sociales les plus importantes et fondatrices de la société : elle remplit des besoins matériels et affectifs essentiels et joue un rôle majeur pour l'intégration des individus dans la société.
La famille peut être, ou non, ce lieu d'apprentissage aux relations humaines chaleureuses. Pour ce faire, il est important que la famille ait un but commun: trouver un style de vie, construire un patrimoine, fournir la meilleure éducation possible aux enfants, transmettre les valeurs de la vie en société...
La famille a de l'influence, mais nous sommes les seuls à décider. La construction de l'estime de soi, tout au long de l'enfance, est influencée par trois facteurs principaux : notre apparence physique, notre comportement social et notre rendement académique.
Ce sont quatre types d'influence sociale qui vont être présentés dans ce chapitre : la formation des normes dans les groupes, l'influence majoritaire, la soumission à l'autorité et, enfin, l'influence minoritaire (voir Nugier et Chekroun, 2011 pour une présentation synthétique de ces différentes formes d'influence ...
L'amour, le respect, l'empathie, l'honnêteté, l'autonomie et le pardon sont les valeurs fondamentales dont toute famille a besoin pour connaître le bonheur.
Les valeurs familiales font ainsi souvent référence à ce qui se passe au niveau des couples : cohabitation, mariages, ruptures, parentalité... Mais elles peuvent aussi être étendues à tout ce qui a trait à l'exercice des liens familiaux, comme les solidarités intergénérationnelles.
La famille est fondée sur le mariage, union complémentaire entre un homme et une femme, constitué d'un lien formel et stable, librement contracté, publiquement affermi et ouvert à la transmission de la vie.
La famille a une valeur pragmatique : il est commode de rester ensemble quand on a la même provenance ; la connaissance de nos antécédents peut avoir un intérêt médical. Elle a aussi une valeur proprement morale, qui ne se dit qu'avec confusion dans les termes du « sang » ou de « l'honneur ».
La famille transmet à l'enfant, dès son plus jeune âge, le langage et les codes sociaux les plus élémentaires (apprendre à manger « correctement » par exemple), mais aussi les valeurs et les normes qui l'aideront ensuite à développer des relations sociales. Elle joue donc un rôle important dans la socialisation.
Vous l'avez étudié les années précédentes, la famille joue un rôle essentiel dans l'intégration social des enfants au sein de la société. Ce sont les parents qui, au cours de la socialisation primaire apprennent à l'enfant les règles de vie essentielles pour vivre en société: langage, propreté, politesse, etc.
Fonder une famille c'est aussi transmettre la vie, ses gènes, ses connaissances, ses valeurs, ses passions, son patrimoine. La transmission est riche de sens.
Il s'agit d'une zone de bienveillance, un premier cercle de sociabilité, de solidarité et de réconfort, restreint mais solide, au sein duquel les individus savent qu'ils peuvent compter les uns sur les autres. Vivre ensemble ne signifie pas que l'on partage les mêmes valeurs.
La famille, c'est bien plus qu'un groupe d'individus partageant un espace physique et psychologique commun: c'est un système social naturel avec ses propriétés, son propre ensemble de règles, des rôles prescrits pour chacun de ses membres et un système de pouvoir structuré.
Le rôle de la mère est essentiel dans la transmission d'une culture de classe. La profession du père compte plus pour la réussite scolaire des filles que pour celle des garçons. Les mères plus instruites laissent leur enfant tâtonner, alors que les mères moins instruites ont tendance à faire à la place de l'enfant.
ensemble constitué par le père et la mère, les enfants, les petits-enfants, les oncles, les tantes, les neveux, les nièces, dans la mesure où leur lieu de résidence est le même.
La famille parfaite n'a pas besoin de gérer les conflits, l'amour règne toujours ! Le vivre ensemble familial est naturellement harmonieux. Pas de dispute, de compétition, de jalousie… L'affection, le respect et la complicité règnent, faisant du quotidien un cocon presque trop vitrine.
66 % des familles sont « traditionnelles » (soit 5,3 millions de familles où tous les enfants résidant dans le logement sont ceux du couple), 25 % sont monoparentales (soit 2,0 millions de familles où les enfants résident avec un seul parent, sans conjoint cohabitant) et 9 % sont recomposées (soit 717 000 familles où ...
Une famille heureuse et épanouie est une famille dont les membres ont appris à réguler leurs émotions, à exprimer leurs émotions négatives et à les accepter.
Une famille doit générer et donner de l'amour, de manière à montrer son affection. Ceci peut se faire par le toucher, le regard, un sourire ou un mot d'encouragement. Une famille stable exprime et donne son amour mais aussi son appréciation à ceux qui en font partie.
L'amour. La première chose qui devrait nous unir à nos proches n'est pas le sang mais l'amour. Les gestes affectueux sont une forme de communication qui existe entre un couple de parents et leurs enfants. Par la chaleur partagée, nous nous identifions au groupe auquel nous appartenons.
La famille étendue regroupe dans un même lieu plusieurs générations. Cette famille est dominée par un patriarrche. La famille souche regroupe une ou plusieurs générations mais avec un seul couple par génération. La famille nucléaire réunit les parents et un ou deux enfants non mariés.