Qu'en est-il des solutions robotiques ? Certes, la robotique industrielle a une valeur ajoutée environnementale : efficacité énergétique, réduction des besoins en matières et des rebuts, etc.
L'automatisation par une robotique avancée et l'intelligence artificielle n'affecteront pas seulement les postes exigeant des compétences élémentaires. Il y a également des gains économiques à réaliser dans la réduction du temps consacré aux tâches et services quotidiens exécutés par des collaborateurs plus confirmées.
En revanche, la robotisation croissante est aussi synonyme de création de nouveaux emplois, car le coût moins élevé des marchandises favorise le développement d'autres entreprises. De plus, la productivité augmente, et les avantages concurrentiels de l'automatisation engendrent de nouveaux emplois.
La complexité L'autre inconvénient majeur de la robotique est la complexité liée à la programmation et au débogage. Ces opérations complexes, réalisées par des ingénieurs aidés de techniciens sont chronophages, demandent beaucoup de rigueur et une connaissance approfondie des langages de programmation.
Entraîné sur un certain type de matériel, il peut rejeter jusqu'à 284 tonnes de CO2. Soit l'équivalent de 5 voitures donc, ou de la consommation en CO2 d'une personne de 56 ans depuis sa naissance. Le coût de ce calcul est estimé entre 1 million et 3,2 million de dollars.
L'intelligence artificielle : quel impact sur l'environnement ? Les IA reposent sur des infrastructures numériques. Celles-ci ont une consommation d'énergie non négligeable et émettent donc des gaz à effet de serre.
Un robot est un outil industriel programmé pour effectuer des tâches de façon automatique. Il supplée à l'homme dans les tâches dangereuses, génératrices de TMS ou rébarbatives. Il se compose d'un bras polyarticulé, d'une baie de commande et d'un pupitre de programmation.
D'autre part, les robots peuvent devenir des perturbateurs affectifs pour l'homme. Prendre l'habitude d'humanoïdes dociles où la question du consentement ne se pose pas, peut provoquer un risque de banalisation de certains comportements et se répercuter sur les femmes humaines.
L'intelligence artificielle fait peur car elle n'a pour seule limite que les capacités humaines à développer des programmes toujours plus élaborés. Le plus important est d'éviter les dérives que peut provoquer une telle technologie, par exemple avec la reconnaissance faciale.
Les robots sociaux captent des informations émotionnelles (expressivité gestuelle et verbale de la personne), les interprètent (capacité de raisonnement) et y répondent (capacité de simulation). Surtout, ils peuvent adapter une réponse selon le profil de l'utilisateur ou l'historique des interactions.
Les robots sont intensivement utilisés dans l'industrie, où ils effectuent sans relâche des tâches répétitives et avec rigueur. Dans les chaînes de montage de l'industrie automobile, ils y remplacent les ouvriers dans les tâches pénibles et dangereuses (peinture, soudage, emboutissage, etc.).
La robotique pour la productivité et la compétitivité
Tout en restant un produit standard facile à maintenir et ayant une longue durée de vie, le robot apporte une grande flexibilité dans les process de manipulation, d'assemblage et de contrôles des produits grâce à sa vitesse.
La mauvaise nouvelle tient au creusement des inégalités, pour diverses raisons. Premièrement, les robots viennent grossir l'offre effective de main-d'œuvre totale (travailleurs plus robots), ce qui fait baisser les salaires dans une économie de marché.
Al-Jazari, l'inventeur des premiers robots de l'Histoire.
Les robots dits explorateurs permettent, quant à eux, de remplacer l'Homme dans certaines situations, plus ou moins dangereuses ou inaccessibles, telles que l'exploration de l'espace.
On attribue par exemple à Archytas de Tarente (IVème siècle av. J-C.) ce qui est considéré comme le premier robot de l'histoire de l'humanité, bien avant les premières horloges et automates dont nous avons des traces physiques : un pigeon de bois capable de voler, propulsé par de la vapeur.
Inconvénients et risques de la technologie
La technologie a des inconvénients qu'on ne peut plus ignorer. Bon nombre de technologies polluent l'environnement d'une façon ou d'une autre. La voiture produit son lot de CO2 ; l'ordinateur est difficilement recyclable ; et l'industrie pollue la nature.
Les inconvénients d'Internet
Internet peut entraîner une addiction et empêcher certaines personnes de développer des relations réelles en l'emprisonnant dans des relations virtuelles. De plus, Internet peut freiner des pratiques saines comme la lecture.
désagrément, embarras, ennui, importunité.
D'autre part, les robots peuvent devenir des perturbateurs affectifs pour l'homme. Prendre l'habitude d'humanoïdes dociles où la question du consentement ne se pose pas, peut provoquer un risque de banalisation de certains comportements et se répercuter sur les femmes humaines.
Un robot ne peut porter atteinte à un humain ou rester passif si un humain est en danger. Il doit obéir aux ordres donnés par les humains. Il doit protéger sa propre existence par-dessus tout, sauf si celle-ci met la vie d'un humain en danger.
Une aide au quotidien
Les premiers robots ont été les robots ménagers : du mixeur au multicuiseur, ils permettent de gagner du temps et de l'énergie. Quant aux voitures, elles sont déjà dotées de systèmes automatisés destinés à aider l'homme dans sa conduite : régulateurs de vitesse ou systèmes de guidage.
Les acteurs du numérique, qu'ils se tournent vers la téléphonie, le spatial ou l'agriculture semblent d'accord : les nouvelles technologies ne sauveront pas la planète.