Le peuple Attié (Atyé, Akyé, Akié) est une population de Côte d'Ivoire vivant au sud-est du pays, au nord de la ville d'Abidjan, particulièrement à partir de la commune d'Anyama, dans la région des Lagunes. Il fait partie du groupe
L'attiéké est un mets traditionnel ivoirien fait à base de manioc.
Il est reconnu comme un peuple très jovial et festif qui a l'art des concerts avec des groupes musicaux reconnus au niveau national et africain. Les Attié parlent une langue du même nom : l'Attié (ou Akyé). L'Attié est une langue kwa parlée au sud-est de la Côte d'ivoire.
Dialogue de salutation en Attié: A: Min lé bouh ahin!! B: Ahooo, bou ahélê hooo! Ahin: bonjour / ahélê (réponse).
Les Wê(guéré et wobé) et sénoufo/Gouro. Les yacouba et les peulh.
En français je t'aime. En ebrie mai bou hê... Mê bou layê en Attié.
Chez les Attiés, au cours de la fête des générations, la classe d'âge dirigeante passe le flambeau à une autre classe d'âge qui, ayant ainsi atteint l'âge de la maturité, aura à son tour à gérer les affaires du village. Ce passage de flambeau permet de marquer la transition entre l'adolescence et l'âge adulte.
Aya en Attié où Mien bô jineu ( je te demande pardon) excusez pour l'orthographe.
Soninké : « Nouari »
yabo est la traduction de "oui" en Soninké.
Les Évènes est une ethnie du groupe des Toungouses du nord de la Sibérie et du nord de l'Extrême-Orient russe.
La Côte d'Ivoire compte 69 ethnies, réparties en quatre groupes: les Akan représentent environ 42% de la population, les Mandé environ 27%, les Voltaïque environ 16% et les Krou environ 15%.
La Chine, premier producteur d'attiéké L'attiéké est une semoule humide et amidonnée, à base de manioc râpé ou broyé, fermenté, puis cuit à la vapeur.
L'atchèkè de sa vraie appellation, est originaire des peuples Ebriés ou « Tchaman » situé au sud de la Côte d'Ivoire. Peuple majoritairement lagunaire, ils sont répartis sur toute la ville d'abidjan. L'atchèKè est l'un des accompagnements principaux de ce peuple.
Fabrication de l'attiéké
Le manioc est mis à fermenter dans l'eau pendant des jours, séché au soleil, broyé, essoré, séché et vanné puis mis à cuire à la vapeur. Toutes ces étapes permettent d'éliminer l'acide cyanhydrique que contient naturellement le manioc.
Dites-lui: « Na moula », qui est la traduction de « Je t'aime » en soninké.
Ce Hari est le mot qui était utilisé par les soninké pour désigner Dieu quand ils n'étaient pas encore musulman.
haxu toxo, yanpa sont les meilleures traductions de "pardon" en Soninké.
Turc : » Pardon »ou « Özür dilerim » ou « Üzgünüm » ou « Afedersiniz »
La Fatchué ou fête de génération
Cette cérémonie initiatique qui marque le passage d'une étape à une autre dans la vie des jeunes filles et garçons des classes d'âge qui composent une génération.
Les origines de la fête de l'igname remontent à la période coloniale. Il s'agissait d'une fête dédiée à vouer un culte aux divinités. Et ceci pour les remercier de l'abondance des moissons venant des champs, dont ils seraient les créateurs.
Depuis le 18ème siècle, le FOKWE est pratiqué dans le village d'Anyama-Adjamé, au Sud de la Côte d'Ivoire. Les membres du FOKWE sont chargés d'assurer la sécurité des personnes et des biens avant d'assumer des responsabilités politiques, administratives, économiques et sociales dans le village.
Haoussa (Nigeria Niger) : Ina Sonki (à une femme) / Ina Sonka (à un homme) Swahili (Comores, Kenya, Congo, Tanzanie, Ouganda) : Ninakupenda. Zoulou (Swaziland, Malawi, Mozambique, Afrique du Sud): Ngiyakuthanda. Wolof (Senegal): Dama la bëgg.